Intéressant, publication fessebouc en direction des français :
https://www.facebook.com/alcatrazmusic/photos/a.10150270086836007/10160210877911007
Fessebouc du fest toujours : Praying Mantis remplace Loudness. :horns:
Bon, CR du premier jour.
Il y a eu du changement cette année niveau infrastructures et disposition :
-l’entrée / pose des bracelets se fait là où il y avait le chapiteau pour les tests covid l’année dernière, autrement dit sur le parking entre la rue et le terrain de foot. Des ganivelles auraient été les bienvenues pour organiser les files, et mettre les affichettes d’affectations en plus gros et sur la bâche du chapiteau pour les pass 3 jours ça aurait été plus lisible.
-niveau scènes :
#la Swamp a été très nettement agrandie, on est passés d’un chapiteau de cirque à une grande tente façon Altar / Temple mais encore plus haute me semble - t - il, et surtout avec la partie haute au - dessus de la face d’entrée fermée. Avec le contrejour c’est un peu chiant pour sortir -visibilité pas top- mais ça permet de plonger l’intérieur dans une pénombre relative propice à la mis en valeur des groupes même en pleine journée. En revanche ce qui est dommage c’est que je trouve la scène en elle - même pas plus grande qu’avant alors que vu les dimensions de la tente c’est possible.
#l’Helldorado qui est la nouvelle 4ème scène est en fait l’ancienne Swamp. Elle a été implantée à la place de la Morgue.
#ladite Morgue a été donc déplacée entre le Présidio et la salle de Sport.
Pour le reste :
-niveau déco ça n’a pas changé à part la tôle ondulée qui pare les stands à gauche de la Prison.
-niveau propreté le système d’« éco - coins » mis en place cette année porte ses fruits : quasiment rien de jeté par terre. Les supports en cartons qui permettaient à un festivalier d’emporter jusqu’à 6 bières en même temps ont été tout simplement supprimés. Par contre les gobelets ne sont toujours pas recyclables… J’ajoute que les « éco - coins » servent aussi pour les petites bouteilles d’eau fraiche distribuées gratuitement. Remarque à ce sujet : elles ne sont distribuées qu’entre 14H et 19H, et l’orga a bien pris soin de prendre des bouteilles avec des bouchons qu’on ne peut pas enlever (enfin si bien sûr mais juste pour boire comme avec un biberon), histoire que ces tordus de festivaliers ne puissent pas s’en resservir.
-l’eau justement il y a toujours les robinets avec les deux blocs de sanitaires, mais elle est marquée non potable. Perso j’en ai bu quelques gorgées, c’est vrai qu’elle n’a pas très bon goût mais je n’ai pas été malade pour autant (et pourtant j’ai un système digestif sensible). Franchement tout ça est ridicule en plus de ne pas être écolo (alors que l’orga a fait une grosse com’ là - dessus), ça aurait été bien plus simple de garder l’eau potable aux robinets des sanitaires et d’autoriser es festivaliers à rentrer avec leur bouteille ou gourde comme au Hellfest. Leur com’ n’a pas été claire là - dessus, sur fessebouc on comprend que seuls les camelbacks sont autorisés, dans les faits on peut rentrer avec une bouteille sans problème.
-un truc pas écolo non plus : les gros spots d’éclairage du site restent allumés en permanence donc même en pleine journée.
-niveau merch l’inflation est aussi là : 60€ le sweat à capuche du fest et 35€ le t - shirt Voïvod acheté en cadeau d’anniversaire pour un copain. Alors je veux bien admettre que les temps sont durs pour tout le monde et que le sweat est de bonne qualité (basé sur la marque West Coast Shoppers avec qui l’orga a un partenariat), mais ça fait cher quand même. Du coup je ne dépenserai rien de plus ce week - end.
-niveau affluence je trouve qu’il n’y a pas moins de monde que l’année dernière qui avait pourtant vu ses pass 3jours, 3jours VIP et à la journée VIP sold out (cette année seuls les deux derniers le sont).
-niveau parkings la feinte des années passées -se garer dans la rue du fest en passant par les petites routes voisines- est tombée : les barrières gardées ont été placées plus près, autrement dit la rue perpendiculaire a été laissée libre d’accès mais celle de la rue du fest ainsi que celle du lotissement en construction voisin ont été fermées. Pas grave, il y a plein de places de parking pour se garer dans la perpendiculaire, ça fait 2 - 3 minutes à marcher en plus seulement. Bon là vu que j’y vais plus tard je devrai marcher encore un peu plus -hier je me suis garé juste à coté de la barrière de la rue du fest- mais c’est pas un drame non plus. Anecdote : un truc que j’ai trouvé très belge : étant à ma voiture pour bouffer j’ai pu assister à une relève de la garde. En général la relève arrive AVANT que l’autre parte. Pas là, elle est arrivée 20 minutes APRES. Donc pendant 20 minutes pas de gardes, et évidemment les festivaliers arrivés entre - temps en ont profité pour passer…
Sinon niveau chaleur ça a été supportable, merci le vent qui soufflait par moments. Evidemment j’ai oublié ma casquette, mais à mettre de la crème solaire sur le crâne et à s’hydrater régulièrement ça le fait.
A suivre pour les groupes, là je repars au combat.
Suite et fin.
Je rajoute ceci au niveau général :
-j’ai dû être un des rares couillons -vous allez comprendre pourquoi j’emploie ce mot- à acheter un sweat, car étant passé devant le merch du fest dans l’après - midi de Dimanche j’ai constaté que le prix était passé de 60 à… 40€. :mad:
-je me suis consolé en achetant une plaquette de jetons (30€ les 10 quand même :mouais: ), que j’ai dépensé essentiellement dans les excellentes glaces artisanales que vendait le même stand que l’année dernière ( [url=http://www.beugniesleschocolats.be]www.beugniesleschocolats.be , un peu de pub c’est grandement mérité). Cette fois j’ai gouté celle à la fraise, tout aussi délicieuse que celle au chocolat noir.
-la bière de base est passée de la Jupiler à la Primus. Heureusement pas de changement niveau goût, c’est tout aussi insipide. 
Passons aux groupes vus :
Vendredi :
-Warkings : j’avais écouté 2 - 3 extraits de leur dernier album et j’avais trouvé ça assez sympa. Niveau mythologie ils mélangent tout et son contraire mais musicalement ça donne un truc pas mal pour commencer la journée.
-The Night Flight Orchestra : ayant été déçu par l’annulation de leur tournée (probablement pour cause de vente de billets insuffisante) j’en attendais pas mal. Je suis un peu mitigé, d’une parce que malgré les efforts de Speed la mayonnaise n’a pas vraiment pris (il a quand même réussi à faire faire une chenille à une partie du public présent), de deux parce que pour moi il aurait dû moins blablater pour donner plus de dynamique. Après passer en plein après - midi sur la Prison en plein cagnard (les choristes se mettront régulièrement à l’ombre en fond de scène) c’est casse - gueule donc je ne lui en veux pas. Au passage les deux choristes étaient toujours les mêmes, la nouvelle arrivera probablement après.
-Lorna Chore : du metalcore moderne, c’est pas pour moi. j’ai très vite lâché l’affaire.
-Uli Jon Roth : j’ai été surpris de ne pas voir une copine de fest à la barrière qui est ultra - fan, j’ai vraiment vérifié. En tout cas les valeurs sûres il n’y a que ça de vrai : Uli a délivré un super set comme seul des artistes comme lui savent le faire. Avec le recul c’est assez dommage qu’il passe si tôt.
-Vola : dans la file d’attente pour la pose des bracelets j’échange quelques mots avec trois personnes dont un couple de voisins lillois. Le mec me parle de ce groupe de prog pas facile à voir en concert. Je ne sais plus comment c’est arrivé, mais je me suis retrouvé à aller les voir. Belle découverte que ce groupe venu du Danemark.
-Stratovarius : les piliers du power ont exécuté un set convaincant, mêlant avec énergie titres du prochain album et tubes bien connus. Un set très helloweenien.
-My Sleeping Karma : conseillé par un copain que je retrouverai au Motocultor le week - end prochain (ce ne sera pas le seul conseil, voir plus loin). Du prog, uniquement instrumental. Sur le papier le deuxième point devrait être négatif pour moi (voir mon avis sur Steve Vai au Hellfest). Et pourtant j’ai vraiment apprécié, pour plusieurs raisons : c’est tombé au bon moment après le set de Stratovarius, c’est joué par des gars qui de par leur attitude sur scène montrent une réelle passion pour ce qu’ils font (je suis très sensible à ça), et en fait il n’y a que le prog qui peut bien se marier avec de l’instru seul. Belle découverte là aussi.
-Igorrr : syndrome Jinger. Avec tout de même un petite différence : 2 - 3 riffs ont titillé mes tympans, mais alors niveau compos ça a été un nuage de points d’interrogation dans ma tête.
-the Darkness : c’était en face d’Igorrr, allons jeter une oreille. Ça n’a pas dû me marquer car je n’en ai gardé aucun souvenir.
-Napalm Death : c’est bourrin, mais j’ai toujours aimé l’énergie incroyable et les valeurs que porte Mark « Barney » Greenway (d’ailleurs il portait un t - shirt siglé « Hunt Saboteurs Association ». Étant intrigué par le mot français j’ai noté ce nom, et après une rapide recherche il s’agit d’une association anti - chasse). Ses concerts devaient être sympas sous l’ère Maggie.
-Voïvod : j’avoue avoir été un peu déçu, d’une par le public était assez clairsemé, comme pour Flotsam et Jetsam au Hellfest. De deux parce que je m’attendais à un set aussi barré que le dernier album que j’ai écouté sur le chemin du fest et que ça n’a pas vraiment été le cas. Ceci dit contrairement aux américains les québécois ont salué leur public à la fin du set.
-Sólstafir : les islandais ne m’ont pas déçu du tout eux par contre, un set puissant et planant. Les deux premiers titre étaient longs et quasiment instrumentaux, déroutant mais audacieux et, à la fin, payant. En fait ce que j’aime chez ce groupe c’est cette mélancolie qui vous tient l’âme bien au chaud. Et l’Islande est une terre fertile pour ça. Au passage il faut croire que la Suède aussi, car c’est grosso modo ce qu’Evergrey décrit dans le titre « Call Out the Dark » de leur dernier album.
-Accept : je pensais zapper la fin du « Hoffman band » comme les appelle le Fab puisqu’ils démarraient à la même heure que Sólstafir, mais juste quand je sors de la Helldorado « Teutonic Terror » un titre que j’aime bien se fait entendre. Et merde. J’ai donc assisté aux trois derniers titres, et c’était quand même sympa même si sans surprise (les sempiternels « ohohoh » sur « Balls to the Wall »).
Samedi, ma plus petite journée puisqu’elle n’a commencé qu’à 16 H avec :
-Krisiun. j’avais bien aimé le titre « War Blood Hammer » écouté sur un autre forum, en live ce death brésilien (on ne pourrait pas avoir du black ou de heavy pour changer un peu ? ) rend pas mal non plus, j’ai passé un bon moment.
-Vio - lence : alors là gros coup de gueule contre l’orga. :mad: Ils ont échangé de créneau au dernier moment avec Eyeatgod qui passaient initialement avant, aucun message de la part de l’orga pour prévenir, seul le running order sur l’appli a été changé. Du coup je n’ai vu qu’un titre et demi, et rien que ça c’était bien… vio - lent.
-Life of Agony : autre conseil du copain cité ci - avant. Ça sonne bien, la voix de la personne qui chante -vous allez comprendre pourquoi je dis ça plus loin - est sympa, bluesy, pleine de chaleur humaine. Mais une question me taraude : si la voix est clairement masculine tout dans l’apparence de la personne qui chante -la gestuelle comme les habits- font penser à une femme. Et effectivement j’apprendrai par le copain d’un copain retrouvé sur le fest et que j’avais déjà croisé l’année dernière au même endroit qu’« ielle » est bien les deux. Un changement de sexe opéré il y a quelques années déjà car les grillages délimitant l’emprise du fest sont pour une bonne partie ornées de photos de groupes qui s’y sont produits, et une de Life of Agony datant de 2014 « lea » montre visiblement déjà opéré-e.
-Death Angel : excellent set des thrasheux californiens, carré et puissant.
-Katatonia : accompagné le copain retrouvé sur le fest, comme My Sleeping Karma ils sont arrivés au bon moment dans ma journée : après Death Angel leur prog était parfait pour reposer les oreilles en plus d’être fort agréable.
-Carcass : ça faisait un bail que je n’avais pas revu les deatheux anglais, de mémoire la seule fois c’était à mon premier Hellfest en 2010. C’était bien bourrin mais bien bon. :horns:
-Testament : encore du thrash californien, une réussite une nouvelle fois. :horns: C’était super et rare de les voir sur une grande scène comme la Prison, ils ont parfaitement su l’exploiter d’autant plus avec un public assez fourni. 
-Exodus : décidément le thrash de la côte Ouest était à l’honneur ce soir, là encore un groupe qui tape fort.
-Behemoth : je commençais vraiment à être crevé, mais je savais que si je les zappais je n’aurais certainement pas droit au même set au Motocultor où ils passent aussi ce week - end. J’ai bien fait, car j’ai eu droit à ce à quoi je m’attendais : un show dantesque. De la pyrotechnie, une belle scénographie, de beaux costumes (qui ne se sont pas restés à l’aéroport cette fois ) et un groupe qui a été à fond du début à la fin et qui a su exploiter au maximum l’occasion d’être tête d’affiche d’un fest de taille respectable. Bravo les polaks ! :horns:
Dimanche
-Praying Mantis : j’avais gardé un très bon souvenir de ce groupe de heavy vu au Court of Chaos 2018, j’étais donc content que ce soit eux qui remplacent Loudness. Mon avis n’a pas changé, c’est du très bon et même de la valeur sûre.
-Diamond Head : je ne connaissais que de nom, l’ayant vu plusieurs fois sur des affiches de fests où je suis allé. Passer de la musique classique sur son entrée de scène ce n’est déjà pas très courant, mais en plus un morceau que je connais et que j’aime bien -Holst : Les Planètes, Op. 32, H 125 - 1. Mars, qui apporte la guerre- ça m’incite clairement à tendre l’oreille. Et j’ai bien fait, car cet attelage de vieux briscards aux instruments et de jeune chanteur talentueux et énergique à la voix bluesy a tapé dans le mille. Si ils repassent dans un fest ou même viennent en concert pas trop loin de chez moi j’irai les voir à nouveau. :horns:
-Lacuna Coil : bien, mais la setlist m’a semblé moins convaincante qu’au Hellfest. Cependant des titres percutants, dont un dont j’ai encore le refrain en tête.
-Benediction : j’avais beaucoup aimé ce death anglais au Muscadeath 2018 et j’ai aussi aimé Scriptures leur dernier album. Allez savoir pourquoi j’ai été moins emballé cette fois malgré un set tout à fait correct. Ils repassent au Muscadeath de cette année, tant mieux car je n’aime pas rester sur une impression comme celle - là car j’ai toujours le sentiment d’être passé à coté d’un excellent concert.
-Suffocation : encore un groupe que je ne connais que de nom. Du Brutal Death ça pourrait faire beaucoup après Benediction. Curieusement c’est passé comme une lettre à la poste, et même mieux que Benediction avec le recul.
-Tesseract : vu au même endroit en 2019, j’avais gardé le souvenir d’un groupe de prog qui jouait encore plus lentement que du prog, ce qui donnait un résultat chiant à mourir. Cette fois quand le groupe a commencé à jouer je me suis demandé si c’était bien le même que j’avais vu. 8) Ils ont dû abandonner le prog en prenant un virage à 180 degrés, car ce que j’ai entendu était une espèce de metalcore moderne machintruc. Ceci dit le résultat, lui, a été le même : je n’ai pas aimé du tout ! :lol: C’est un des très rares cas où je peux dire :« plus jamais ! ». Au passage le public a été le plus clairsemé que j’ai vu de tout le week - end pour la Prison. Ah, et inutile de vous dire que je me suis barré assez rapidement.
-Abbath : alors je connais les échos négatifs sur Olve Eikemo, qu’il fait régulièrement de la merde. J’ai dû avoir de la chance car j’ai eu droit à un excellent set, avec un Eikemo qui a super - bien tenu le pavé devant un public conquis.
-Korpiklaani : j’ai aimé ce groupe, mais cette fois j’ai dû me rendre à l’évidence : je suis passé à autre chose. En fait j’avais commencé à avoir des doutes au Motocultor 2019, mais cette fois c’est clair. En tout cas leur « metal à boire » a été apprécié, au point que le chanteur a fini le set limite la larme à l’oeil. Faut dire qu’un groupe comme eux aussi haut sur l’affiche d’un fest de cette taille ça doit être rare, d’ailleurs je n’ai pas compris moi qui pourtant l’aimais bien.
-Arch Enemy : Alyssa je t’aime ! {) Elle a été flamboyante, on n’a vu qu’elle. Faut dire qu’elle a tout pour elle : la beauté, la voix (aussi bien en clair qu’en growl), le charisme. Avec une position de tête d’affiche et avec un public encore nombreux pour un passage en dernier un Dimanche ça ne pouvait donner qu’un set énorme. :horns: Un groupe qui a fait du chemin depuis la première fois que je les ai vus à mon premier Hellfest en 2010 (avec l’ancienne chanteuse donc). Au passage je me dis qu’une nana comme Alyssa fait bien plus pour le féminisme qu’une Alice Coffin ou qu’une Caroline de Haas.
Bilan : alors honnêtement j’ai fait de supers concerts comme les fois d’avant, et en plus j’ai recroisé des gens avec qui j’avais fait connaissance l’année dernière, sans compter le gros progrès sur la propreté du site. Mais c’est la première où je me suis dit en rentrant à l’hôtel pour la dernière fois :« enfin fini ». Serais - je devenu trop vieux même pour des fests de cette taille ? C’est étrange car même pour le Hellfest je n’ai pas eu cette réflexion. On va voir ce que ça donne le week - end prochain pour le Motocultor.
Merci pour le report… l’affiche envoyait vraiment du lourd :horns:
Pas autant que le Brutal Assault ou le Summer Breeze pour moi, mais largement de quoi se faire plaisir quand même. :horns:
Sinon les replays dispos :
Merci pour le report demes 
Yes merci pour le report Si j’habitais dans le Nord Est aucun doute que j’irais là bas tous les ans.
T’as pas l’air d’aimer les trucs un peu trop alambiqués / sophistiqués ahah. Igorrr, Jinjer (avec deux J 8.( ), Lorna Shore, TesseracT, des groupes réputés excellents en live pourtant ^^
Eh oh y a pas que lui, les brutes c’est des brutes 
Ah mais le fait que je n’aime pas n’enlève en rien le fait que oui ce qu’ils font ils le font bien. 
On avait justement eu cette réflexion avec un copain pour Jinjer à l’Alcatraz 2019.