Créée à Nantes en 2017, la formation a produit une démo l’année suivante, puis un album éponyme en 2021.
Ils sont adeptes d’un death metal old school avec influence thrash.
Le combo va entamer une série de 11 dates, le « Twisted Abominations Tour », au mois de mai, en 1ère partie des vétérans français du death metal : Mercyless.
Les 2 guitaristes de Nervous Decay officie également en tant que chanteur et guitariste dans Mental Vortex.
Le groupe est entré en studio en octobre et a enregistré 3 reprises de classique du death, dont « This mortal coil » de Carcass (vidéo) qui sortira, comme leur album, sur le label Great Dane Records
Encore un duo : Seb (guitares) et Tristan (batterie) qui évoluent ensemble depuis 2013. Ils sortent rapidement une démo en 2015, qui s’appelle 637, tous les morceaux durant 6mn37.
Leur 1er album : Korolev (nom du fondateur du programme spatial russe) parle évidemment d’exploration spatiale.
L’album suivant, Arkhipov, en 2020, porte le nom de l’officier de la marine russe qui s’est opposé à son supérieur qui voulait envoyer un missile nucléaire sur un bateau américain en 1962 pendant la crise de Cuba.
Le groupe Nantais s’inspire d’un univers post-apocalyptique soviétique, et propose une musique instrumentale qui va du post-metal au sludge.
Ampli Monkeys a vu le jour dans une ville habituée aux envolées rock : Carhaix (Vieilles Charrues, Motocultor).
C’est le batteur britannique Phil Horton qui en 2011, après une rencontre avec le bassiste Bernard Robic, décide de créer un groupe, bientôt rejoint par les 2 guitaristes Jean-Marie Ollivier et Tanguy Lamandé.
Pour le chant, la formation ne va pas chercher bien loin, puisque c’est Anais Ollivier, la fille du guitariste, qui s’occupe du micro et le choix est judicieux, sa voix s’inscrivant dans la lignée de Tina Turner ou Janis Joplin, ce qui n’est pas mal comme référence !
Les diverses influences des musiciens, ou le rock et le hard ne sont pas les parents pauvres, se retrouvent dans leurs compositions.
En 2020, Gaëtan Vezilier (guitare et chant) remplace Tanguy.
Commencé comme un one man band instrumental en 2021, Matthieu Bonfardin s’associe avec d’Anne Soazig Couëdel (oui, c’est bien breton, Nantais plus exactement) en 2022 pour créer Near Death Experience.
Matthieu a joué et enregistré tous les instruments, Anne Soazig, s’occupant du chant.
Il se dit influencé par Katatonia, Paradise Lost, Draconian, Black Sabbath, Moonspell…, elle par The Gathering, Nightwish…
Le 1er album est sorti hier, vendredi 12 avril 2024, sur le label M&O Music.
Ne pas confondre l’album avec l’EP (2 titres instrumentaux) sorti en 2021, avant la véritable création de Near Death Experience.
1 EP, 1 album :
2021- Brief is the light (EP)
2024- Brief is the light
Un des principaux endroits pour le rock et le metal à Brest, la salle peut accueillir 350 personnes dans le Club et 1300 dans la Grande salle.
L’endroit est aussi équipé de 6 studios de répétition qui font le bonheur des groupes locaux.
Des noms célèbres ont foulé les scènes : Suicidal Tendencies, Phil Campbell, Mass Hysteria, Gorod, Sidilarsen, Radio Birdman, Tagada Jones, SUP, Ultra Vomit…
Le lieu est spacieux et agréable avec ses 3 balcons qui entourent la fosse de la Grande salle pour voir les concerts d’en haut.
Un grand espace entre l’entrée/le Club et la Grande salle, regroupe le bar, des tables et le merchandising des groupes présents.
j’aime bien cette salle, mais selon moi, elle ne fait pas grand chose pour programmer des groupes rock extrème (Metal, hard rock et punk rock). C’est dommage.
je les ai vu en République Tchèque (Obscene extreme fest 2018).
Pour revenir à la Carène, il y a des concerts metal/rock mais trop rare. Ce qui m’étonne avec le succès des festivals metal français, durant ces 10 dernieres années…
PS : j’ai vu Psykup/Appolooza/Tranzat/Pictured/SUP/Black rain/Mass hysteria et AQME
Deux mots pour résumer le groupe : Heavyyy Metaaaaaalllll !!!
Pourquoi faire compliqué, depuis 2015 la formation de Pontivy (22) emmené par Cedric se voue entièrement à un heavy metal traditionnel accompagné cependant de quelques growls.
Cedric le guitariste est aussi le propriétaire du label Heavy Metal Breizh Records et organisateur du Heavy Metal Breizh Festival (5 éditions).
La dernière vidéo du groupe est la reprise du chant traditionnel breton Tri matolod (XIX siècle) popularisé par Alan Stivell lors d’un concert à l’Olympia en 1972.
2 albums :
2020- Combattre les ténèbres
2023- De feu et d’acier
Une seule soirée à La carène pour ma part.
Le Thundering Brest #1 avec Moonsorrow, Korpiklaani et Belenos il y a presque 8 ans jour pour jour.
C’est d’ailleurs con que l’association Echoes of West Horns ai disparu.
Comment définir le southern rock breton en un nom : Xavier Quemet
Le chanteur/guitariste Lorientais traîne sa très grande carcasse sur les scènes bretonnes depuis une quarantaine d’années, que ce soit avec Bounty Hunter (southern rock, hard rock) créé au milieu des années 80, The Dily Brothers Band (cover southern rock, hard rock), les toujours en activité What A Mess! (cover Deep Purple, AC/DC, Black Sabbath, Lynyrd Skynyd…), et bien sûr, depuis 2020, Gunsmoke Brothers Band.
Xavier s’est entouré d’une belle bande de desesperados puisque l’on retrouve :
Guitares
-Niko Beleg (Bliss Of Flesh, Pictured…)
-son frère Seb Ar Beleg (Pictured…)
Basse
-Tony Vasary (What A Mess!, Gengis…)
Batterie :
-Thibault Menut
Le 1er album vient de sortir sur Bandcamp et les pateformes de streaming et sera bientôt disponible en CD et double LP (version limitée).
Si vous aimez Molly Hatchet (la plus grosse influence du groupe), The Outlaws, Doc Holidays, Lynyrd Skynyrd et les grandes cavalcades entre 3 guitaristes, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Southern Rock will never die
