Pourquoi sa tigresse ? C’est un stéréotype sexiste. J’ai cru lire quelque part que Matt était lui même en formation infirmier psy, tout mâle qu’il est ! C’est sûr qu’il ne répond pas aux canons fantasmagoriques de l’infirmière fine et sexy nue sous sa blouse… ] Encore que : vêtu d’une fourrure rayée et lascivement allongé sur un canapé… :lol:
Roh la cruche, j’avais oublié :lol:
Bon Matt Pike répète après moi : bleu, rouge, vert, violet, gris, noir et le reste, sans oublier le tube de purge si utilisation d’une unité de prélèvement.
@ Alyann: je te zut
@ ZZchr: 1- j’ai dit que si je viens en 2017, je viendrai en infirmiere a l’apero, pour celebrermon diplome
2- La schizophrenie et le dedoublement de personnalite (tres rare, sauf dans les oeuvres de fiction) n’ont aucun rapport.
3- La folie de l’infirmier psy exacrebe l’empathie et la comprehension des patients et de leurs actes
@Gwenn: Mon ex-tigresse (la maman de mes enfants) est infirmiere ]
Les troubles dissociatifs de l’identité ne concernent pas tous les schizo certes (qui sont souvent d’abord des « entendeurs de voix »), mais sont un des symptômes de la maladie schizophrénique (et de quelques autres moins connues), me trompè-je ?.. Et surtout c’est un raccourci pratique : 13 lettres au lieu de 31 !
Néanmoins, n’ayant jamais aimé la psy, je n’entrerai pas dans un débat technique puisque tu baignes dedans (professionnellement, je veux dire) et m’en remets à tes explications !
Quant à la folie de l’infirmier psy, elle m’inquiète un peu tout de même :lol:
Pendant un temps le labo d’analyses local nous fournissait ce genre de flacons… eh bien je pense effectivement que ce n’était pas du luxe que de préciser : « attention ne retirez pas cette languette, il y a en dessous l’aiguille qui servira au prélèvement PAR LE LABO !!! »
Ainsi, la schizophrénie ne doit pas être confondue avec le phénomène de personnalités multiples (qui peut concerner les troubles dissociatifs de l’identité). L’amalgame est pourtant courant, et le terme schizophrénie (ou ses dérivés) est souvent utilisé à tort, notamment dans la presse ou le cinéma, pour désigner une entité aux facettes multiples, parfois antagonistes, ou un tiraillement entre des propos contradictoires.
Des bien trop courts et passionnants cours de psychiatrie que j’ai reçus, j’ai retenu que la schizophrénie était un syndrome psychiatrique dans lequel le sujet a l’impression angoissante d’avoir des pensées qui ne sont pas les siennes, en d’autres termes de coexister avec un autre esprit dans son propre corps (plutôt flippant n’est-il pas?) Est-ce bien cela Herr Doktor Matt Pike?
Y a plusieurs sortes de schizophrenie: avec des tendances paranoiaques, avec voix (exterieures et interieures), la schizophrenie catatonique (genre la personne reste immobile pendant des heures…en gros, le corps ne repond plus), etc… bref, parler de schizophrenie, c’est comme parler de grippe, il y a plein de formes differentes.
@MegaRalf : pareil, mais la psy ne m’a jamais vraiment branché. Je n’ai donc pas cherché à retenir plus que le nécessaire. Et puis les choses ont évolué. Les bipolaires, on les appelait maniaco-dépressifs à mon époque ! Quant aux prises en charge, y compris médicamenteuses… C’est pourquoi je ne peux entrer dans un débat approfondi avec Matt qui est, lui, plutôt un spécialiste dans le domaine
@Matt : j’espère que tu as autre chose comme cours que Wikipedia ]