On ne joue pas avec les nombres mais avec les chiffres. Tu mets le doigt sur une des différences entre les deux. On se fiche de sa valeur ou de ce qu’il désigne, on fait pas des maths. Dans « -1 », le chiffre est juste 1, c’était bon. Ta proposition était jouable. Mais peut-être que j’aurai dû ajouter « symboles divers » à la liste des éléments accotés à un chiffre ?.. En tout cas dans ton exemple, le « - » est le même symbole que le « tiret » que j’ai mentionné alors y’avait pas discussion.
J’ai une proposition potentielle dans ce goût-là aussi. Je ne sais pas si je vais la jouer parce que… c’est un projet sonore japonais à peine audible et avec mes acouphènes, je suis presque sûr de ne plus percevoir sa musique comme avant :rolleyes:
Si tu as joué selon ta préférence, tu as bien fait, tu es pardonné et tu peux revenir dans le jeu
J’adore Tool… mais j’aime pas cet album, ou plutôt c’est clairement celui que j’aime le moins de toute leur disco. Je sauve deux titres, Jambi et The Pot, et je jette le reste. L’artwork est moche et le packaging fait Pif Gadget en plus. Je sais que tous les jeunes fans préfèrent cet album-là ou Lateralus mais perso j’ai connu MJK quand il avait du charisme et la rage (et quand il chantait en hachant bien les syllabes 8o ), Undertow et surtout Aenima restent indétrônables pour moi.
Je savais que tu aimais particulièrement c’est deux là. C’est amusant, car je prends le chemin dans l’autre sens (et qui sait, peut-être qu’un jour l’envie me prendra de faire demi-tour).
Pour ma part Tool fait partie des groupes dont j’aime tous les morceaux, sans exception (mais pas au même degré bien entendu).
Undertow est celui que j’aime le moins. Aenima est particulièrement percutant et si je l’aime bien plus que sont prédécesseur je ne l’écoute pas autant que les suivants.
Les trois derniers sont donc ceux que j’apprécie le plus… Je crois que ça s’explique par le fait qu’ils sont davantage constitués de morceaux longs et planants, un format qui me touche particulièrement. Maintenant, en choisir un parmi les trois derniers, c’est impossible pour moi (ça dépend des jours et de mon humeur en réalité, exactement comme avec Marilyn Manson par exemple).
10,000 Days… c’est par cet album que j’ai commencé l’aventure. Avant de l’écouter intégralement je n’avais écouté Tool qu’une fois, plusieurs années avant (je ne saurais absolument pas dire quel(s) morceau(x))… et je n’avais pas accroché.
En tout cas, c’est marrant que tu « sauves » The Pot, car c’est pour moi le morceau le moins intéressant de l’album (et peut-être même de leur discographie) dans le sens où je le trouve très décalé du reste, le seul single du groupe à mon sens… que j’adore pourtant.
Après 0, 1, 0, 1 vient 2 (avec quand meme 1 en bonus):
Ensiferum - Two of Spades (album One man army)
Un morceau qui me fait bien planer avec son break disco
skullnbones non pour Pro-Pain je ne craignais pas mais j’en ai 2 à venir qui ont chaud mais je vois que tout le monde fait comme moi et poste dans l’ordre du coup oui le jour x je vais poster à 00:00
J’aime The Pot justement parce qu’il se distingue des autres titres. J’aime la ligne de chant de Maynard en intro et je me souviens avoir été très surpris lors des premières écoutes car j’avais du mal à reconnaitre sa voix. Les autres morceaux de l’album me paraissent hyper caricaturaux pour du Tool. Ils y font ce qu’ils savent faire : des compos longues et complexes. Pour moi, Undertow et Aenima sont des films d’auteurs (frais, sombres, confidentiels, difficiles, sensibles, nerveux, singuliers,…) là où 10.000 Days (et même Fear Inoculum, qui inclut pour moi le morceau le plus faible de toute leur disco : Culling Voices) est le gros blockbuster US (qui cherche à en mettre plein les yeux et à te faire consommer du pop-corn mais n’offre rien de fondamentalement nouveau à part quelques gadgets déjà obsolètes).
7 5 8 6
Voila surement pas le meilleur titre de ce disque mais il me permettra de jouer avec les 10 chiffres en 7 jours . Two Against Three est l’un des titres bonus inédits extrait d’une édition anniversaire des 25 ans de l’album My Life In The Bush Of Ghosts de Brian Eno + David Byrne parue en 2006.
C’est avec ce morceau que j’ai découvert Elder il y a quelques années, via un Dailymix Spotify (une playlist conçue par des algorithmes se basant sur mes goûts musicaux). Très hâte de les voir une première fois à l’occasion du Hellfest, à condition qu’ils restent à l’affiche. #hope
@ Poulain : Je comprends bien ton avis concernant Tool et leur évolution, je ne le partage pas mais ce que tu racontes est légitime et cohérent. Et même si je ne suis pas fan de blockbusters j’aime beaucoup Culling Voices
Je suis assez d’accord avec la passe d’arme sur Tool.
Je penche plutôt du côté de Dog, je trouve que certains morceaux de 10 000 Days (Wings, Right in Two, le pont de Rosetta Stoned) et, de façon un peu outrancière, sur Fear Inoculum, montrent l’aboutissement de ce qu’ils pouvaient accomplir au niveau de la composition et des structures. Mais effectivement peu de prise de risque et un sentiment pesant de déjà-vu.
Et je suis partagé sur The Pot qui est leur morceau de loin le plus pop, mais qui comporte son lot de plans addictifs (ce riff de basse et ces breaks de batterie…)
Bon aujourd’hui, on part en Nouvelle-Zelande
Un album que j’adore…mais numérotation des albums sauf le dernier . Ça colle ou c’est HS?
Amenra- Mass VI - Plus près de toi https://m.youtube.com/watch?v=ZigbHyzHses
Leurs concerts font partir ailleurs…y compris en accoustique… Quant à celui de 2020 en « visio » c’était filmé de façon sublime…
Dans le cas des groupes qui numérotent leurs albums depuis le premier, ça passe.
Ce serait HS dans le cas d’une série d’albums autour d’un concept unique décliné en parties ou en chapitres, comme les Memoria Vetusta de Blut Aus Nord, les Partikel de Merzbow vs Nordvargr ou les Disintegration Loops de Basinski.
7 5 8 6 2 3 —> Zut, j’ai une autre référence concernant le combo 2-3 à laquelle je suis plus attachée… mais c’est trop tard !
Pour le 1, j’ai l’embarras du choix…
Alors voilà un album intitulé Number One sorti en 2005, fruit de la collaboration de trois artistes iconiques des musiques expérimentales : KK Null, Chris Watson et Z’EV. C’est l’un des premiers albums du label Touch que j’ai écouté de ma vie et qui deviendra l’un de mes labels préférés. KK Null = Kazuyuki Kishino, grand nom de la noise japonaise, également guitariste chanteur dans le groupe de metal Zeni Geva et divers groupes de noise-rock. Chris Watson est l’un des membres fondateurs du groupe anglais proto-industriel Cabaret Voltaire qui s’est reconverti dans le field recording, c’est à dire la prise de son en milieu naturel. Z’EV était un percussionniste américain considéré comme l’un des pionniers de la musique industrielle. Le contenu de l’album est donc très riche. C’est un voyage sonore dans des contrées ni vraiment hostiles ni vraiment hospitalières, plutôt surréalistes et organique. Ça s’écoute de préférence au casque, dans un endroit calme et confortable, en fermant les yeux pour favoriser l’immersion.
Le disque se compose de 5 pièces. Voici la dernière :
Et même si je ne suis pas fan de blockbusters j’aime beaucoup Culling Voices 
