Voici à nouveau les Burning Heads, avec le titre Make Believe extrait de l’album Be One With The Flames paru en 1998. And when I open my eyes, I got no place to stare, dès l’intro. C’est LE disque de mes années lycée. Forcément, je ne pouvais qu’adhérer au contenu de l’album étant donné qu’à sa sortie, je portais déjà fièrement depuis plusieurs mois un tish manche longue du groupe avec ce logo détourné qui figure sur la pochette. En tant qu’orléanais fan de punk-rock, cet album représentait le Saint Graal absolu : notre groupe local venait ENFIN de signer avec le label référence du genre qu’était Epitatph. Bon, c’était Epitaph Europe et pas Epitaph US mais on s’en foutait, c’était quand même Epitaph bordel Aussi, à cette période, j’habitais une tour à Olivet située à quoi ? 200m de la salle dans laquelle le groupe allait se produire pour promouvoir cet album Je me souviens que j’avais fantasmé le matin du concert quand j’ai vu par ma fenêtre passer… une fourgonnette. Je m’étais convaincu tout seul que c’était le groupe et j’ai eu la banane toute la journée C’est aussi dans ce logement que j’ai vu pour la première fois le film Sleepers (Barry Levinson, 1996) que diffusait alors Canal+ en VOST. Grosse coïncidence et grosse surprise quand j’ai reconnu que tous les dialogues qu’on entend sur cet album proviennent en fait de ce film !
La dernière fois que j’ai vu les Burning sur scène, c’était en 2009, ça date. Que j’ai hâte de les revoir le mois prochain sur Reims dans leur nouvelle formule !
En bonus cadeau parce que c’est encore et toujours d’actualité (message subliminal inside) :fuck: :
J’ai notamment le souvenir d’un concert au Hellfest sur l’ancien site où la diva Geoff Tate avait été imbuvable, confronté à des problèmes techniques qui l’avaient rendu d’humeur massacrante.
I wonder if I’m alive
Breathe slowly
Open your eyes
Can you hear me?
Look at what’s in front of you
An endless journey
Our end
What do you see?
What do you feel?
Were we ever really alive?
You know this is the right choice
Let’s switch off together
Let’s float to no more
Goodbye to everything
Le hasard fait que j’ai eu envie de réécouter ce titre (nostalgie ? A moins que ca soit cette ligne de basse…)
Et bim qu’entends-je ?
Open up your eyes and look around
It’s just an illuuu hu hu hu haha, illusion
J’ai une théorie (validée par Élizabeth Teissier 8o ) : le hasard n’existe pas.
Voici Sonic Youth avec Titanium Expose, titre extrait de la BO du film culte Pump Up The Volume (Allan Moyle, 1990) que j’ai déjà évoquée. Open your eyes to see the TV set on low en intro.
Contrairement à d’autres, je n’ai pas d’allergie particulière au diptyque load/reload (avec une préférence pour ce dernier, grâce à la participation de Marianne Faithfull et à la vielle qui a ravi mon côté trad).
Pas spécialement fan de Sonic Youth, dont je ne connais que ce titre grâce au même film, le fameux hasard fait que je l’ai écouté ce matin-même à 3h dans ma bagnole…
Mais y’a pas de hasard, c’était Uranus aligné avec Neptune ascendant Sagittaire, donc normal ! Les étoiles ne se trompent jamais ([url=https://hitek.fr/actualite/nostradamus-propheties-pour-2022_32415]la preuve).
Pour aujourd’hui, voici Tim Buckley, le père de son fils, avec Pleasant Street, extrait de l’album Hello and Goodbye sorti en 1967. But you opened your eyes à 1mn49s
J’avoue, pour celui-là, j’ai requis l’aide d’un ami (darklyrics.com pour ne pas le nommer) : le morrceau s’appelle Avantasia, sur le premier du diptyque.
Le titre seul n’est pas disponible sur YT, il faut sauter à 33:24 : https://youtu.be/9MgMiQd4Was?t=2004
J’aimerais bien les revoir dans un prochain Hellfest (vus en 2013, ça commence à remonter…), d’autant plus que le dernier album en date, Moonglow, a beaucoup tourné chez moi.
Cette semaine, on joue (ou pas) avec le sujet / thème / défi suivant :
Le corps humain.
Notes et rappels :
Toutes les consignes du jeu sont consultables [url=http://www.hellfest-forum.fr/viewtopic.php?pid=942370#p942370]ICI.
Cette semaine est aussi celle du défi à 6 contraintes. Pour remporter ce défi, le candidat devra proposer au moins 6 morceaux faisant référence à 6 parties différentes de l’anatomie humaine (membres externes ou organes internes) via le titre d’une chanson ou d’un album, le nom d’un groupe ou d’un artiste, les paroles d’une chanson.
Exceptionnellement, il ne sera pas permis de jouer avec les pochettes de disques cette semaine.
Relever le défi n’est pas une obligation.
Les propositions en référence aux « yeux » seront validées si et seulement si elles n’ont pas été jouées la semaine passée.
Yes là j’ai des idées…
Juste une précision, est-ce qu’on aura le droit de jouer en proposant la même partie du corps qu’un autre aura joué cette semaine, avec un autre groupe et album, titre ?
Je lance…la Peau
Avec Oathbreaker- Needles in your skin
Comme souvent, je joue avec le premier titre auquel je pense. J’analyserai plus tard pourquoi c’est celui-là, mais ça risque d’être la guerre dans ma tête :
De la langue au menu, avec Herod (ici en compagnie d’un featuring prestigieux, encore l’hasard des planètes), des Suisses bien sympas, le chanteur tenait lui-même leur stand merch au Centre Culturel Œcuménique (sa mère) de Villeurbanne en terres quenelloises, et quand il m’a demandé ce que j’avais pensé de leur set, ma réponse a dû lui plaire parce qu’il m’a donné deux autocollants et j’ai réussi à ne pas répondre « merci maîtresse » O:)
Oh que oui, même s’il y a eu évolution, elle est plutôt bonne. J’aime autant les anciens que les nouveaux albums.
Et eux au moins en live ne renient absolument pas leurs 1ers albums (au contraire d’Incubus par exemple qui ne joue plus rien de S.C.I.E.N.C.E. et parfois un ou 2 titre(s) de Make Yourself).
Et j’ai pu tester en live toutes les périodes de Deftones, vu plus d’une 10aine de fois, donc oui toujours au top !
Aussi, à cette période, j’habitais une tour à Olivet située à quoi ? 200m de la salle dans laquelle le groupe allait se produire pour promouvoir cet album 
Je me souviens que j’avais fantasmé le matin du concert quand j’ai vu par ma fenêtre passer… une fourgonnette. Je m’étais convaincu tout seul que c’était le groupe et j’ai eu la banane toute la journée 
C’est aussi dans ce logement que j’ai vu pour la première fois le film Sleepers (Barry Levinson, 1996) que diffusait alors Canal+ en VOST. Grosse coïncidence et grosse surprise quand j’ai reconnu que tous les dialogues qu’on entend sur cet album proviennent en fait de ce film !
