Je crois que nous avons tous ressenti les mêmes choses, rien que du bon… ou presque 
Le truc Argentin, poppy gay SM core bidule…
]
8) comment dire ? une erreur de casting, surement :lol: M’enfin les gouts et les couleurs ]
Si le premier groupe, n’a pas démérité au vu des conditions (il me semble que la capacité du CCO, doit se situer dans les 650 places), c’est vrai que les set de Krisiun et Nile auraient mérités une foule un peu plus dense. Peut-être que le concert du lendemain au radiant - et même si l’affiche était moins extrême, Eluveitie, Amorphis et Dark Tranquility (+ nail to obscury) - a dû (pu ?) soustraire quelques dizaines de spectateurs potentiels…
dommage, mais entre un nombre de gigs importants, des budgets d’afficionados parfois serrés, les dispos en semaine et l’omniscience des grands fests à grosses dépenses… pas facile. A moins de 25 euros la place, ce n’était pas exagérer, loin s’en faut
Deux groupes, que je connais bien tant par leur discographie, que par le nombre de concerts vus (11 pour les Brésiliens, 12 pour les amer-loques, qui soient dit en passant ne le sont pas, ni amers (le karlito est devenu jovial, fini les coups de pieds dans la gueule des fans qui voudraient monter sur scène, comme quoi
et encore moins loques, le départ de Dallas TW, s’il a pu faire craindre une notoire basse qualitative, manque, certes, mais n’est pas irremplaçable, la preuve).
Question son, quasiment à chaque fois, Krisiun débarque avec un son dégueulasse (au rayon dégueu, dans le genre craddle ou dark fufu… ) étonnement, là, c’était clair et propre. La puissance du power trio dans toute sa splendeur. Pas de choix osé de set-list, juste le parti-pris de ne pas jouer black force domain. Pourquoi pas, on en a eu une autre :horns:
Quant à Nile, débarquer avec Sacrifice unto sebek, c’était un peu surprenant. Le morceau titre de Vile Nilotic Rites (qui viendra plus tard), aurait été plus… convenu ?
J’ai eu un peu peur sur le coup de feu. le son manquait d’un poil de puissance et d’attaque. Manifestement la réduction du volume sonore, imposée aux salles, perturbe un peu, les premières sensations. Par contre, bien vite, le côté technique, les subtilités, la richesse musicale… sont ressortis gagnants.
Une bonne 12aine de titres, les classiques (lashed to the slave stick, Kafir, call to destruction… et l’intemporel black seeds of vengeance, pour clôturer cette communion) et quelques derniers nés… On en aurait tous repris 4 ou 5 de plus.
et oui Kollias a toujours 3 poumons, toujours aussi impressionnant (et efficace) le bonhomme.
Une bien belle soirée !
et un salut amical, à tous ceux et toutes celles, croisés là-bas.