Aller c’est bien beau de pondre un questionnaire mais il faut aussi y répondre 
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Album metal préféré (aka album que vous emmèneriez sur une ile déserte)
Je ne sais déjà plus ce que j’ai répondu quand la question a été posée dans la taverne. J’ai certainement répondu Pain of Salvation - Remedy Lane. Cet album est un must pour moi car en plus d’être du prog (et le prog c’est la vie), il est super varié et bourré d’émotions. Daniel Gildenlow est mon chanteur préféré tellement il est capable de moduler son chant.
Pour l’aspect album a emmener sur une ile déserte, peut être qu’effectivement je ne répondrait pas la même chose, car Remedy Lane est quand même assez triste et pour survivre il faut un truc plus positif. Donc ce serait plutôt Dream Theater - Metropolis Pt2 - Scenes from a Memory ou Blind Guardian - Nightfall in Middle Earth -
Album non metal préféré
C’est bien de poser des question mais ca aurait été mieux de réfléchir à la réponse avant
On va dire Anathema - We’re Here Because We’re Here ou alors Muse - Origin of Symmetry -
Premier album que vous avez acheté
J’ai un doute entre un best of Ennio Morricone et Smash d’Offspring. Je sais que j’ai acheté l’un des deux et me suis fait offrir l’autre. Et j’ai un souvenir d’avoir Smash dans le rayon CD de l’Intermarché de Boos, mais je ne sais plus si ca a mené à un achat ou à l’ajouter à ma liste de Noël. -
Album qui vous a fait basculer dans le metal
Il y a un album très important dans ma découverte du gros son c’est Nevermind de Nirvana (qui a aussi déclenché ma boulimie musicale). Mais ce n’est pas du metal. Entre Nevermind et ma découverte du metal il y a eu encore pas mal d’années, où j’écoutais Rock, punk et chanson francaise.
La bascule est venue avec Angra - Fireworks.
1999, 1ère fois que j’ai un vrai petit boulot d’été. Du coup j’ai du fric, je passe alors encore plus de temps à farfouiller dans les bacs de le FNAC, toujours dans les rayons rock et punk. Mais le rayon hard rock me titillait depuis un moment, pas pour la musique vraiment puisque j’imaginais que c’était trop violent pour moi, mais les pochettes d’albums me fascinaient, de vraies œuvres d’art ! Du coup à chaque fois avant de repartir je passais dans le rayon hard rock. Mais là avec un salaire complet d’argent de poche, je n’allais pas en rester là.
Mon cousin m’avais déjà vaguement fait écouter Angra mais j’avais assimilé ça à de la world music (avec le recul, je me dis que ce devait être Holy Land), donc ni une, ni deux je ressors avec Fireworks sans même l’avoir écouté il me semble.
« … Bordel… c’est pas possible !!!..nan mais…putain ! … ». Imaginez cette réplique avec l’air ébahi, l’oeil brillant, l’envie de rire tant mon cerveau retourné refusait de comprendre ce qu’il était en train d’entendre. Une claque, immédiate, comme jamais je n’avais eu et comme je n’ai jamais eu depuis. Jusqu’alors, je savais que la musique pouvait être puissance, mélodique, rapide…et là je découvrais qu’en plus de pousser tous ces adjectifs encore plus loin, elle pouvait aussi être très technique.
Oui j’ai donné plusieurs réponses à chaque question. J’m’en fout c’est moi l’organisateur !