Un touriste breton dont la voiture est immatriculée 22(Côte d’Armor) est en vacances à Marseille. Il descend le Boulevard d’Athènes pour se rendre sur le Vieux Port. Il est 14 heures et comme d’habitude, c’est le grand embouteillage. Devant la voiture du breton se trouve celle d’un Papi marseillais.
Le-dit Papi change de file en permanence, un coup à droite, puis à gauche, puis il revient à droite et ainsi de suite.
Ulcéré, le breton s’énerve et parvient enfin à le dépasser. Arrivé à la hauteur du papi, il se penche vers sa fenêtre de droite et hurle : « Alors le vieux, vous arrêtez de changer de file sans arrêt ! On roule à droite un point c’est tout ! »
Le brave papi, qui a sa fenêtre ouverte, regarde le breton d’un air complètement étonné et lui répond : « Oh fada ! Ici on est à MARSEILLE ! On roule ni à droite ni à gauche ! »
Le conducteur breton n’en croit pas ses oreilles et enchaîne : « Ah bon ! Et vous roulez où à MARSEILLE ? »
Le Papi lui rétorque alors : « Eh, comme d’habitude couillon, on roule à l’ombre ! »
Un motard fonce sur sa Guzzi à 110 km/h sur une route déserte quand il se trouve nez à nez avec un petit moineau. Il fait tout ce qu’il peut pour éviter le malheureux oiseau, mais, rien à faire, la collision est inévitable !
Il voit, dans le rétroviseur, la malheureuse petite bête faire des pirouettes sur le bitume, puis tomber sur le dos, ailes étendues.
Pris de remords, il s’arrête, ramasse la bestiole inconsciente, achète une petite cage, et l’y installe douillettement, avec un peu de pain et une soucoupe d’eau pour quand elle se réveillera.
Le lendemain, l’oiseau se réveille, voit les barreaux de la cage, le morceau de pain et la soucoupe d’eau, se prend la tête entre les ailes et s’exclame :
« Nom d’une buse ! J’ai tué le motard et me voilà en taule ! »
Un cultivateur alsacien demeurait juste à côté de la frontière lorraine et son voisin d’à côté était un lorrain.
Les deux gars s’étaient toujours bien entendus, jusqu’à ce qu’un événement fâcheux vienne troubler cette harmonie.
L’Alsacien avait une poule qui pondait tous les matins et il allait ramasser l’oeuf frais pour son déjeuner.
Un beau matin, l’Alsacien aperçoit sa poule sur le terrain du Lorrain.
Elle pond son oeuf et le lorrain le ramasse.
L’Alsacien sort de la maison en vitesse et demande au Lorrain de lui redonner l’oeuf.
Celui-ci refuse car, dit-il, l’oeuf a été pondu sur sa propriété et lui appartient donc.
Les deux hommes argumentent pendant un bon moment, jusqu’à ce que l’Alsacien propose une solution.
Ecoute… Nous, en Alsace, quand on a un litige qu’on ne peut pas régler et qu’on n’a pas de juge pour trancher, on utilise la méthode des couilles dures.
C’est quoi ça ?!? Demande le Lorrain.
C’est ben simple. Je te donne un coup de pied dans les couilles et je calcule combien de temps ça te prend pour te relever.
Ensuite, tu me donnes un coup de pied dans les couilles et tu calcules combien de temps ça me prend pour me relever.
Celui qui s’est relevé le plus vite a gagné.
Le Lorrain accepte.
L’Alsacien s’en va mettre ses bottes de sécurité, se prend un élan en courant et donne un bon coup de pied dans les couilles du Lorrain.
Le pauvre gars tombe par terre et hurle de douleur…
Il lui faut plus de trente minutes pour se relever.
Lorsqu’il a finalement réussi à se relever, il dit:
J’aime beaucoup!
Quelques courtes de ce grand Monsieur: Raymond Devos
-Un croyant, c’est un antiseptique.
-Se coucher tard nuit
-L’autre jour, au café, je commande un demi. J’en bois la moitié. Il ne m’en restait plus.
-La grippe, ça dure huit jours si on la soigne et une semaine si on ne fait rien.
une femme va à la prison pour rendre visite à son mari qui vient d’être condamné à 40 ans de réclusion.
Dès qu’elle entre dans la salle des visites, elle l’étreint et s’exclame avec des larmes dans les yeux:
Oh! Roger, 40 ans, Roger.
Et le mari répond:
Eh bien, mon amour, que vas-tu faire ?
Oh, Roger …! J’ai parlé au juge de l’application des peines qui s’occupe de ton dossier…
Et qu’a-t-il dit, ma chérie ?
Il m’a dit que pour chaque fois que je faisais l’amour avec lui, il réduirait d’un an ta peine de prison…
Quoi? Mais quel misérable ce salaud, cet abuseur… Et qu’as-tu répondu à ce fils de p…?
Bah, Roger! Nous en parlerons à la maison, ramasse tes affaires, on s’en va !!!
Devant sa banque, un trader gare sa Porsche flambant neuve, histoire de frimer devant ses collègues.
Au moment où il commence à sortir de sa voiture, un camion arrive à toute allure et passe si près qu’il arrache la portière de la Porsche puis disparaît aussi vite.
Le trader se rue sur son portable et appelle la police. Cinq minutes après, les flics sont là. Avant même qu’un des policiers n’ait pu poser la moindre question, le trader commence à hurler :
Ma Porsche turbo est foutue. Quoi que fassent les carrossiers, ce ne sera plus jamais la même ! Elle est foutue, elle est foutue !
Quand il semble avoir enfin fini sa crise, le policier hoche la tête avec dégoût et lui dit :
C’est absolument incroyable à quel point,vous autres banquiers, vous êtes matérialistes ! Vous êtes si concentrés sur vos biens que vous ne pensez à rien d’autre dans la vie.
Comment pouvez-vous dire une chose pareille à un moment pareil ? sanglote alors le propriétaire de la Porsche.
Le policier répond :
Vous n’avez même pas conscience que votre avant-bras gauche a été arraché quand le camion vous a heurté.
Le banquier regarde son bras avec horreur et hurle :