Vu Nebula deux fois - Hellfest 2018 et Molotov (Marseille) 2022 - et je me réjouis de les revoir au Up In Smoke fin septembre. C’est un mélange idéal de psych et de stoner avec des morceaux aussi enfumés que mélodieux. Pour découvrir, il y a des pépites dans la plupart des albums (ne pas louper « To the center » sur la galette du même nom) mais les deux derniers (« Holy shit » et « Transmission from mothership Earth ») sont d’excellentes portes d’entrée dans cette magnifique nébuleuse. 
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Merci pour ces recommandations ! 
ça tombe bien, j’ai commencé par « Holy shit » 
Dommage qu’ils ne passent pas vers chez moi…
c’est rigolo c’est chez moi en Touraine mais pas possible d’aller au concerts pas de tram ou de bus 
de chez moi
Zut alors !
T’es dans quel coin ? Si t’es motivé pour une des 2 dates, je peux ptêt voir si je connais quelqu’un qui vient dans le secteur…
Chambray les Tours au sud de Tours
Premier concert de réouverture de la Meca !! Bon même semaine que le Paris Hardcore Fest donc si je n’arrive pas à choper ma place vendredi, je Switch sur ce concert la
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Pour ceux qui n’auraient pas encore leur place pour la date Psychonaut/Doodseskader au Petit Bain (honte à vous )
→ https://www.noisemag.net/concours-psychonaut-doodseskader-paris-petit-bain-6-octobre/
Et pour la réponse à la question, j’accepte de vous la fournir contre… je vais y réfléchir 
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J’ai aussi la réponse
Vous fournissez la réponse d’abord et vous réfléchissez après ? Si oui : moi moi
Un indice : c’est un super groupe
Mais Karajuju trouve que le groupe est plus dynamique en live qu’en studio !
Amateurs de Thrash, ne ratez pas cette date dans l’Ouest au Warehouse à Nantes le 22/10/2023:
DESTRUCTION - RAZOR - ENFORCER - CRISIX 
Infos et billeterie:
40 Years of DESTRUCTION au Warehouse Nantes • Warehouse (warehouse-nantes.fr)
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BIG | BRAVE + Pray, Lyon, le Périscope, lundi 11 septembre.
« L’ostentation gâte la prière » a dit le calife Ali, qui n’était pourtant pas présent hier. Maud Gibbons, la guitariste de Pray (stoner instrumental, Lyon) en est l’antithèse parfaite, tant son jeu épuré et juste, sans une note de trop, a tutoyé les cieux. J’en aurais poussé des soupirs d’aise si j’avais su où trouver de l’air dans cette salle à l’air irrespirable.
Big | Brave, ensuite, commence sans commencer. Une espèce de balance finit par trouver son équilibre et débouche sur « Carvers, farriers and knaves » et son cri primal, qui est le titre inaugural du dernier album. On a à peine le temps de se demander ce que des sculpteurs, des maréchaux-ferrants et des équarrisseurs font sur cette même charrette. Et puis on oublie parce qu’après tout - comme on dit - ce n’est pas la mort du petit cheval et puis si, finalement, le canasson est mort, les fleurs se fanent et la chair se corrompt. Rien ne se perd et tout se transforme, et nous aussi on est transformé. Rien ne se transforme, tout se perd, et c’est bon d’être perdu. Le sculpteur est là parce c’est de sculpture qu’il s’agit : le modelage du son. La batterie impose une arythmie fatale, colonne vertébrale d’une scoliose magnifique. Les guitares, qui produisent de rares accords, et des désaccords encore plus rares, planent au-dessus et au devant des amplis, ou sont plantées à leur perpendiculaire. Tout est dans le jeu des larsens et des feedbacks contrôlés. C’est parfois du Dead Man joué par Sunn O))), et parfois l’avènement du Steve Reich. C’est toujours du Big | Brave, grand et courageux. Par-dessus ce mur du son, et les mille subtilités qui le lézardent, la voix de Robin Wattie, que l’on qualifie de cathartique. Les musiciens, qui étaient encore trois quand je les avais vus l’an passé (Cave 12 de Genève), sont maintenant quatre depuis la tournée d’avril - et le concert qui sera pour moi la pierre angulaire du dernier Roadburn : un morceau de lave, rêche, brûlant, fumant, émetteur de fréquences sonores et radioactives. Oui, il faut quatre cavaliers pour une apocalypse. Ils ont joué « Nature morte », le dernier album. Nature morte et palpitante. Ça vit, la mort ? Tout se fane et tout s’étiole, et la vie réapparaît dans un cycle sans fin : c’est pas ça, la définition du parfait feedback ?
A la fin, on se retrouve englouti par cette lourdeur. On reste là, comme englué : la marée était en noir.
On se retrouve dans une toile de Soulages : du noir, et du plus noir encore, de l’épais et du plus épais encore. C’est ça la vie - plus belle la mort - et Soulages disait la vérité : soulagement.
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C’est cool de voir que certaines choses ne changent pas: c’est toujours un plaisir de lire tes reports.
Oh que oui…et en moi pointe une petite touche de jalousie devant cette prose et certaines formes employées… j’aurais aimé les trouver moi-même
Chouette report pour un groupe ô combien classe mais assez difficile d’accès. Puisse ce report donner envie aux gens de découvrir Big Brave !
En voilà une belle tournée ! Suffocation accompagné de Sanguisugabogg, Entreprise Earth et Organectomy. Que de la finesse en perspective !
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Impressionné par ton report !! Merci 
Rooooh le genre d’affiche qui me tente bien.
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Blod rejoindra (DOLCH) et ISOLATIONSGEMEINSCHAFT le 26 Octobre a Joué-Lès-Tours (37).
La chance…
c’est chez moi 