Je note
Merci du report !
Les Montagnes Hallucinés étaient dans le recueil que j’ai relu il y a de ca 2-3 ans Je note pour Providence !
C’est clair que tu donnes envie (euh), l’affiche est badass en plus
[spoiler=Affiche][/spoiler]
Je trouve l’affiche très représentative du film oui ^^
ta critique me donne encore plus envie de le voir. Pas au ciné hélas comme tu le rappelles
Et dire que guillermo del toro devait faire les montagnes hallucinés… j’en bave encore…
Avant Providence de Moore je conseille Néonomicon (ca devrait te plaire corkage) qui une sorte de préquel.
Vu hier sur netflix : Le Fléau de Breslau. C’est pas un film d’horreur mais un thriller polonais. Je le mets là car ils n’ont pas lésiné sur le côté gore du film. (un peu trop parfois).
Je note, je note !
Très bonne vidéo d’un Youtuber que je ne regarde à mon avis pas assez, vu la manière très complète dont il traite la plupart de ses sujets.
(Oui je regarde des vidéos bizarres avant d’aller dormir)
Et le torture Pomme on en parle ?
La pire des tortures c’est d’être abonné à Saint Symphorien non ?
Je n’avais rien contre toi… jusque maintenant {)
Fais gaffe j’ai encore regardé Hostel la semaine dernière, pas que ca me donne des idées
Colour Out Of Space est sur amazon prime
Yes c’est ce qu’avait annoncé le président des Hallucinations en ouverture du film, allez y et faites vous votre avis ! Autre retour sur un film dans le cadre du festival : ce samedi, j’ai continué mes Hallucination Collectives de Lyon par le visionnage de The Lodge sur grand écran. Bon, quand le festival était initialement prévu (avril), le DVD / Blue Ray n’était pas encore sorti, et le film avait été peu projeté en France. Là, le film reste toujours rare en salle, mais l’effet est moindre puisque le film est sorti en DVD / BR cet été. Mais les organisateurs du festival ont décidé de le garder dans la prog, le film étant intéressant à voir dans les conditions cinéma.
Le pitch : Richard (Richard Armitage) est en train de se séparer de sa femme, et de de se remettre en couple avec Grace (Riley Keough), une jeune femme au passé trouble, rescapée d’une secte au sein de laquelle a eu lieu un suicide collectif. L’ex-femme de Richard vit très mal le divorce et finit par commettre l’irréparable. Les deux enfants du couple, Aidan (Jaeden Martell) et Mia (Lia McHugh) vivent très mal la chose et reportent la responsabilité sur la nouvelle compagne de leur père. Ce dernier, afin d’essayer de tisser des liens entre les enfants et son amante va proposer une semaine à la montagne. Les enfants refusent initialement, puis vont finir par céder. Richard emmène tout son petit monde au chalet, et va les laisser une semaine sur place. Ça n’était pas la meilleure idée du monde…
Veronika Franz et Severin Fiala, duo de réalisateurs Autrichiens, ont fait pas mal parler d’eux avec la sortie de leur premier long métrage, Goodnight Mommy, que j’avais personnellement beaucoup aimé. Là, ils sont partis pour l’Amérique, ce qui pouvait faire craindre une certaine dégénérescence de leur cinéma assez « auteurisant ». A ce niveau-là, on pourra constater qu’ils sont restés totalement intègres. Concernant mes ressentis, ils sont hélas un peu mitigés.
Commençant par les points forts, car il y en a plusieurs. Tout d’abord c’est superbement réalisé, avec une lumière superbe, et des cadrages que j’ai trouvé sublimes (notamment beaucoup de plans avec des symétries parfaites pour moi). On retrouve bien la patte des deux réalisateurs, et sur ce point ils sont sacrément fortiches. Au niveau du scénario, on retrouve des points de similitude avec Goodnight Mommy, déconstruction de la famille, passage de l’enfance à l’adolescence difficile.
Le son est particulièrement soigné par ailleurs, avec des bruitages et une bande originale permettant de poser une ambiance très lourde, avec beaucoup de musique assez dissonante. Là, du coup, c’est le pied à voir sur grand écran (tout comme pour les plans magnifiques cités précédemment), et je pense que l’effet sera beaucoup moindre sur petit écran.
Les acteurs sont bons, notamment Riley Keough qui gère bien la frontière entre la normalité et la folie. Mia est aussi très touchante, notamment avec sa poupée, dans laquelle elle a « réincarnée » sa mère, assez bouleversant. Sinon, on n’est pas dans un film d’horreur à proprement parlé, plus un drame psychologique, sans débordement de sang, mais un film avec une réelle ambiance très pesante, accentuée par ce chalet perdu au milieu de nulle part dans la neige, qui fait qu’il a sa place sans souci pour moi dans ce topic.
Maintenant, comme dit en début de ces lignes, je suis un peu mitigé car en ce qui me concerne (ceci restant mon avis bien sûr) j’ai eu plutôt du mal avec le rythme du film. C’est quand même très très lent, il ne se passe pas forcément des tonnes de choses, et même si l’ambiance est totalement réussie, cette lenteur a eu un effet assez soporifique sur moi. Alors, j’étais peut-être dans un mauvais jour, peut être fatigué, mais du coup je n’ai pas apprécié pleinement le film, et c’est dommage puisque j’avais l’occasion de le voir au cinéma. Je re tenterais certainement un autre visionnage un jour (hélas sur petit écran), et peut être que mon avis changera du tout au tout.
Au final, on ne va pas non plus bouder notre plaisir, on est quand même sur un film largement au-dessus de toute la production cinématographique actuelle. Maintenant, le mieux ça sera de vous faire votre propre avis
Vu colour out of space. Je ne vais pas être aussi dithyrambique que toi corkage. J’ai trouvé l’adaptation intéressante car on retrouve le ton général de l’histoire surtout le discours d’intro et de fin. Le plus c’est l’aspect visuel et les couleurs qui sont le sujet du film. J’avais discuté avec François Baranger (illustrateur de 2 nouvelles de lovecraft) qui m’avait dit qu’il aurait bien aimé adapter cette histoire en BD sauf qu’il ne voyait pas comment retranscrire une couleur qui n’existe pas. J’ai une BD de l’histoire chez albin michel en noir et blanc, du coup c’est plus simple. J’ai fait un petit parallèle parfois avec From beyond qui utilisait aussi ce rose violet.
Je n’ai pas aimé ni trouvé utile de rajouter le côté wiccan qui au final ne sert à rien. En fait l’entité extraterrestre exploite les failles de la famille qui n’est pas si saine au début. J’aurai préféré qu’ils soient vraiment unis et que ce soit plus pernicieux avec une montée en puissance de la déchéance de chacun. Cage surjoue comme dans nombre de ses films mais heureusement qu’il est là pour porter cette adaptation. Il faudra que je le vois en vo car le doublage est peut-être en cause. Attention j’aime beaucoup Cage c’est un vrai acteur qui a su jouer dans des rôles très différents avec plus ou moins de succès.
Un peu déçu donc pour ma part, mais je suis trop immergé dans le mythe et proche de la folie …Ph’nglui mglw’nafh…
Vu colour out of space. Je ne vais pas être aussi dithyrambique que toi corkage. J’ai trouvé l’adaptation intéressante car on retrouve le ton général de l’histoire surtout le discours d’intro et de fin. Le plus c’est l’aspect visuel et les couleurs qui sont le sujet du film. J’avais discuté avec François Baranger (illustrateur de 2 nouvelles de lovecraft) qui m’avait dit qu’il aurait bien aimé adapter cette histoire en BD sauf qu’il ne voyait pas comment retranscrire une couleur qui n’existe pas. J’ai une BD de l’histoire chez albin michel en noir et blanc, du coup c’est plus simple. J’ai fait un petit parallèle parfois avec From beyond qui utilisait aussi ce rose violet.
Je n’ai pas aimé ni trouvé utile de rajouter le côté wiccan qui au final ne sert à rien. En fait l’entité extraterrestre exploite les failles de la famille qui n’est pas si saine au début. J’aurai préféré qu’il soit vraiment unis et que ce soit plus pernicieux avec une montée en puissance de la déchéance de chacun. Cage surjoue comme dans nombre de ses films mais heureusement qu’il est là pour porter cette adaptation. Il faudra que je le vois en vo car le doublage est peut-être en cause. Attention j’aime beaucoup Cage c’est un vrai acteur qui a su jouer dans des rôles très différents avec plus ou moins de succès.
Un peu déçu donc pour ma part, mais je suis trop immergé dans le mythe et proche de la folie …Ph’nglui mglw’nafh…
Ah clairement, si tu es fan de Lovecraft, je peux comprendre que tu n’ais pas le même ressenti En ce qui me concerne, j’ai lu difficilement un peu de Lovecraft dans ma jeunesse, j’ai ré essayé il y a 4-5 ans, au final je n’y arrive pas : je n’accroche pas à sa prose, c’est hyper descriptif pour moi, et sa narration m’ennuie. Je comprends parfaitement son impact sur l’horreur contemporaine, aucun souci, mais pour te dire, je crois que je n’ai même jamais lu La Couleur Tombée de l’Espace. Du coup, j’ai vu le film sans aucun à priori sur l’histoire Pour Cage, je l’ai trouvé juste énorme en ce qui me concerne, mais beaucoup trouve qu’il surjoue dans le film. En tout cas, cool d’avoir ton avis sur le sujet, surtout de la part d’un fan de Lovecraft ! Un autre aspect qui joue aussi, autre que la VO (vu en VOST dans mon cas), c’est l’aspect cinéma versus petit écran. Je l’aurais découvert à la télé, je pense pas que mon ressenti aurait été si dithyrambique (vraiment très dommage que le film ne bénéficie pas d’une sortie en salle)
Des adaptations de Lovecraft au final il y en a eu très peu. Par contre « inspiré de » il y en a beaucoup plus.
En adaptation j’ai bien aimé la malédiction d’arkham, dagon, réanimator et le cauchemar de la sorcière.
Dans les inspirés : le territoire des ombres, nécronomicon, l’antre de la folie, from beyond, the thing, le prince des ténèbres. Au final beaucoup de Brian Yuzna, Stuart Gordon et John Carpenter.
Il faut que je vois celui là aussi, dans un autre genre : [url=https://www.youtube.com/watch?v=bwqJ9IXn4WU]https://www.youtube.com/watch?v=bwqJ9IXn4WU
Hier j’ai découvert The Life And Death Of A Porno Gang qui est ressorti chez Tetro Vidéo avec la VOST : très bonne surprise en ce qui me concerne. On est pas dans le film d’horreur pur et dur, même s’il y a quelques images bien gore et que cela traite de sujets assez graves. Ca vient de Serbie, et personnellement je trouve que ça prête beaucoup plus à réfléchir sur pas mal de sujets que le très connu A Serbian Film.
Une sorte de road movie, où une troupe mettant en scène un théatre porno dans le début des années 2000 en Serbie va se heurter à la brutalité policière, à la rudesse des milieux ruraux, et va finir par déraper dans le tournage de Snuff Movies.
Des personnages que j’ai trouvé hyper touchants voir émouvants, c’est très bien joué, avec pas mal d’humour par moment. Cela reste un film à ne pas mettre entre toutes les mains (pas mal de nudité, une ou deux images pornographiques, de la violence par moment, du gore, mais sans jamais tombé dans l’outrance), honnêtement cela faisait longtemps que je n’avais pas vu de film dans ce genre « underground » qui m’ait autant plu.
Pas exempt de défauts (cela traine un peu en longueur sur le milieu du métrage j’ai trouvé), mais une très très bonne surprise en ce qui me concerne, que je conseille donc vivement.
Salut ! J’ai vu ce WE (et bien aimé) un « petit » film d’horreur sur Netflix : Le rituel.
Film anglais, qui se passe dans les espaces sauvages et les forêts de Suède.
Beaux paysages… Au début, j’avais envie d’aller y faire une randonnée. A la fin, un peu moins… :rolleyes:
Je ne regarde pas souvent ce genre de film, mais j’ai été surpris par le plaisir que j’ai pris en regardant ce film alors même que je devinais à peu près ce qui allait se produire par la suite. Comme si le plaisir n’était pas dans la surprise, mais dans le respect des codes « immuables » de ce genre de film. Ca fout un peu les jetons, non ?
Salut ! J’ai vu ce WE (et bien aimé) un « petit » film d’horreur sur Netflix : Le rituel.
Film anglais, qui se passe dans les espaces sauvages et les forêts de Suède.
Beaux paysages… Au début, j’avais envie d’aller y faire une randonnée. A la fin, un peu moins… :rolleyes:Je ne regarde pas souvent ce genre de film, mais j’ai été surpris par le plaisir que j’ai pris en regardant ce film alors même que je devinais à peu près ce qui allait se produire par la suite. Comme si le plaisir n’était pas dans la surprise, mais dans le respect des codes « immuables » de ce genre de film. Ca fout un peu les jetons, non ?
Je le connais pas celui ci, je me le note donc
Après, cela fait quand même longtemps que l’horreur ne donne pas dans la « surprise », j’ai du mal avec l’horreur moderne qui est quand même pas mal cadré par beaucoup de règles (souvent marketing), et reste plus amoureux des années 70-80 (même si heureusement on trouve encore des trucs très sympas de nos jours, mais c’est de plus en plus rare, et ca sort quasi jamais en salle)
Ce week-end, j’ai récupéré le Saint Graal. Je pensais vraiment jamais avoir l’opportunité d’acquérir la trilogie, que ce soit en DVD ou en Blue Ray, tellement les tirages sont rares. Et petit bonus, vu que je l’ai eu directement auprès du réal, j’ai une version signée
Bon, maintenant faut que je trouve le temps de tout regarder, et c’est clairement pas le genre de choses que je regarde en présence de ma chère et tendre (enfin, si, hier j’ai regardé le 1er opus, qui est le moins déviant, et déjà j’étais pas trop à l’aise)
@ corkage. Ca fait un peu c’est arrivé près de chez vous mais en beaucoup plus gore. Je me demande si à la fin les 2 trublions meurent car au moins dans le film belge il y avait ce côté salvateur de savoir que les tueurs étaient finalement punis.
Moi j’ai regardé « grave » ce week-end. Il y avait eu polémique et pas mal de gens choqué apparemment. Sujet intéressant, pas mal joué par de jeunes acteurs. Bien aimé la dernière scène mais je suis resté sur ma faim (jeu de mot pour ceux qui l’ont vu). J’avais préféré Vorace sur le même thème.
Aucun des protagonistes ne meurt dans la trilogie des August Underground (je les ais vu il y a bien longtemps). On pense effectivement à C’est Arrivé Près De Chez Vous, du fait du format. Le premier que je me suis fait hier ne montre pas grand chose en terme de gore, mais est quand même sacrément dérangeant du fait de son réalisme. Je me souviens que Mordum est largement pire. A noter l’apparition de Killjoy de Necrophagia dans le 2ème opus (ils sont bien potes avec Fred Vogel).
Grave, j’ai adoré, j’ai eu la chance de le voir en avant-première en présence de la réalisatrice. Je trouve que pour un premier long métrage, il est super maitrisé en terme de réalisation (le plan séquence pendant la soirée étudiante est bluffant). Et les acteurs sont bons je troige. Par contre, effectivement, le côté « des gens se sont évanouis », j’ai du mal à comprendre. Pas le même genre que Vorace (qui est juste énorme), même si ça parle du même sujet. Une très bonne surprise en ce qui me concerne