Je bosse le 24 octobre , le 25 je vais peut être pouvoir me libérer
Et St Brieuc ça serait top je suis à 45 minutes max, l’année va être chargée 
Avec HF, j’espère juste que les températures seront même un poil inférieures qu’annoncées: je crains vraiment ne pas pouvoir le coup sinon 
En bon breton dès que ça dépasse 25° j’aime pas trop, et pourtant j’ai supporté les 38° et 40° de 2022 (en faisant du non-stop concert).
Y’a toujours de l’espoir 
justement en une journée du vendredi non stop en 2022 nous étions totalement détruits
Ca fait 45 ans que je dis que je déteste la chaleur
Le mur d’ eau était très utile pour se rafraichir!
Alors oui , mais vu que c’est un circuit fermé, il vaut mieux ne pas passer dessous avec une plaie ou avec sa bière à la main 
J y avais même pas pensé, pour la plaie 
Par contre, j’ avais mis un tish blanc neuf ( Sijjin découvert au Courts of Chaos en mai juste avant) …Avec l’eau, ma ceinture en cuir rouge que j’ avais depuis presque 8 ans, a déteint dessus!! 
Pour l’ALCATRAZ le 10/08.
deg, je vais devoir choisir entre MACHINE et FU MANCHU.
Je pense que Machine Head va être choisi. Sauf s’il pleut à mort de chez mort. La j’irai à l’helldorado.
l’an passé, il y avait CLUTCH qui commencait juste aprés ARCHITECTS.
En tout cas, il y a de quoi faire entre 16h et 1h du mat’
C’est le problème de leur programmation ou tout se chevauche.
Ayant deja vu 2 fois Machine Head sachant que leur setlist ne bouge pas trop, ce sera Fu Manchu pour moi et la fin de MH.
j’adore leur programmation mais voilà les clashs derrière^^
Allez on laisse pas refroidir la machine !
Y a des gens du forum au Rock in Bourlon ce samedi ?
Même question pour le Levitation d’Angers, les gens de la Valley (et des MS) ?
L’automne va être bien chargé : enchaînement de ces 3 dates sur Montpellier dans le cadre du Ex Tenebris Lux, qui plus est à la maison des Choeurs, endroit que j’affectionne particulièrement.
Je vais pouvoir un peu me rattraper j’espère du concert d’Arabrot sur lequel j’ai fait l’impasse au HF pour cause de canicule…
Le concert d’Arabrot était absolument magnifique 
Je vais jeter un œil de plus près à la programmation de ce festival qui m’attire depuis sa création : j’ai également fait l’impasse sur Årabrot, tant la brèche caniculaire avait déjà considérablement réduit ma capacité à ramer ! Et accessoirement, j’affectionne les écrits théoriques d’Antonin Artaud qui ne me semblaient pas compatibles avec l’heure du goûter et la pleine lumière.
Quand la prog sera complète, je me botterai les fesses pour faire un post de récap’ comme l’année dernière.
En revanche, le principe du Ex Tenebris c’est que les concerts sont étalés sur les mois d’octobre/novembre, du coup pas très pratique pour celles et ceux qui viennent de loin. Mais certains concerts sont bookés sur une salle avec plusieurs soirées d’affilée comme c’est le cas là.
Je n’y serai pas, mais ne manque pas Health, c’était super au Hellfest
C’est une sacré programmation ! Rien qu’Author & Punisher ! 
Pour Årabrot, le concert sera probablement chouette, mais le set spécial proposé au HF était tout simplement fou !
Petit up pour l’XTREM FEST près d’Albi (81) fin juillet avec le RO!!
Bien content de pouvoir voir Novelists que je n’ai pas pu inclure dans mon RO au HF 
Nouvelle annonce du Westill !
Avant cette édition du Hellfest, je n’aurais pas été spécialement emballé de les voir à l’affiche Westill, mais j’ai bien aimé leur passage au HF avec ce mélange de mise en scène théâtrale kitsch et de concert, j’ai trouvé ça très plaisant ! Content de pouvoir les revoir au Westill !
Le GMM c’est quoi ? Tout simplement le Graspop Metal Meeting. Un festival de métal dont la première
édition s’est faite en 1986 (au début, c’était un festival plutôt mainstream qui s’est reconverti en 2005 sur
notre musique préférée).
Le festival se situe à Dessel, petite ville belge à proximité d’Anvers. Nous sommes donc en Belgique
Flamande et le français n’est pas la langue officielle !
L’objectif de ce post est de donner des infos sur le festival à ceux qui n’auraient pas de chance à la grande
loterie ou souhaiterait faire une pause et/ou changer de festival.
Après 13 Hellfest, je ne me retrouvais plus dans l’orientation du festival (je ne m’étendrai pas là-dessus, il y
a déjà eu moults débats sur ce sujet sur le forum). Plutôt que de faire le grincheux, j’ai préféré (avec les potes),
revendre les pass (bien entendu à des membres du forum) et cherché un autre endroit.
Le choix s’est posé sur le graspop pour les raisons suivantes :
Il restait des places !
En termes de temps de trajet, venant de Haute-Savoie, comparé au Hellfest, cela faisait à peu près la même durée
La prog : de nombreux groupes en commun avec le Hellfest, le concept d’ouverture en moins
Le graspop se déroule le même week-end que le Hellfest ce qui nous facilitait la gestion de nos congés
Le prix du pass (je reviendrai plus tard sur le budget)
Petit point : Je ne propose pas de photos sur ce post. Trois raisons toutes simples :
Je suis un très mauvais photographe
En fest, mon téléphone reste dans mon casier
Il y a plein de photos de qualité prises par des professionnels sur le net
Argument complémentaire de mauvaise foi : je ne veux pas me faire engueuler parce que je sature le
serveur du forum avec des photos sans lien avec le Hellfest.
Le prix du pass du graspop était à 309 €. Certes moins cher que le Hellfest mais il y a des choses à prendre en compte :
Les concerts démarrent plus tard (premiers concerts à 12h), il y a donc moins d’artistes (184 pour le hellfest contre 148 pour le graspop)
Le camping est payant (nouveauté de l’édition 2025) : 35 € par personnes Je reviendrai plus loin sur le camping et ce qui y était proposé
Le parking est payant : 17 €. Et la blague à connaitre : si tu sors ta voiture du parking et que tu reviens, tu dois repayer les 17 €. Côté voiture, le côté pratique est la gratuité des autoroutes en Belgique.
En résumé :
| Hellfest | Graspop | |
|---|---|---|
| Pass | 349 | 309 |
| Parking | 0 | 17 |
| Camping | 0 | 35 |
| Total | 349 | 360 |
Donc sur le prix, on est quasi équivalent.
Après, il y a les faux frais : la bouffe, les boissons
Au niveau bouffe, il y a du choix et de la qualité. Mais la déception a été le prix ! Tout est super cher, que cela soit sur les stands graspop ou les stands privés (exemple : portion de frites : 7 €, assiette kebab, pulled pork bun 17 €) et en termes de quantité, c’était un peu chiche. Heureusement, il faisait chaud et on avait moins faim.
Au niveau boisson, la 25 cl de Jupiler, la bouteille d’eau était à 3.5€ et le 50 cl à 7€. Il n’y a pas de proposition de pichet. Et franchement, entre la Jupiler et la Carlsberg, il n’y a pas photo : je préfère la jupiler !
Si l’offre de parking est payante, le graspop met un gros point sur les mobilités douces :
Parking à vélo (et nombreuses pistes cyclables pour arriver sur le site)
Système de navettes depuis la gare de Mol qui déposent devant l’entrée du site
Un accord avec le système ferroviaire belge qui donne droit à une réduction de 50% pour se rendre
sur le site du graspop
En utilisant un système de mobilité douce, cela donnait droit un jeton vert. Il est par la suite possible d’échanger ses jetons verts contre des goodies. Donc, on voit un effort pour la promotion de la mobilité douce.
J’ai toujours vanté la qualité d’organisation du hellfest et là quelle bonne surprise : la même qualité !
Une super équipe sur place (dans la mesure ou le festival appartient à Live Nation, je ne sais pas trop si les gens sur place sont bénévoles), toujours souriant, faisant l’effort de nous parler en anglais, toujours prêt à rendre service.
Grand bravo et merci à eux !
Une fois enfin arrivé à Dessel sur le site du graspop, la première chose à faire : garer la charrette. Un moment émouvant puisque la dame à l’accueil m’a tout expliqué en flamand… Bon, j’admets on lui a demandé s’il était possible de nous redonner les explications en anglais, ce qu’elle a fait avec un grand sourire !
Bonne surprise pour l’organisation du parking, puisque 2 bénévoles vous guident pour vous garer. Je vois déjà venir les mauvaises langues : non ce n’est pas à cause de ma conduite ou ma plaque française. Ils le faisaient avec tout le monde !
On charge le chariot avec le matériel de camping et direction “The Crypt”, le camping ou l’on avait pris nos places. Nota bene : j’ai la forte impression que le chariot de transport était ’accessoire mode des festivals de l’année
Seconde bonne surprise : même pas 10 minutes de marche et nous voilà devant notre camping ! (Pour le
camping “Boney Yard”, il fallait compter 10 minutes de plus.
L’entrée du camping est bien visible, une arche avec du personnel de sécurité. L’ensemble du camping
est délimité par des barrières.
Nous avons le droit à une petit fouille de nos affaires. Contrairement au Hellfest, le verre est interdit sur le camping (les couteaux aussi). A contrario, certains types de bruleurs à gaz sont autorisés …
Une fois notre campement monté, petite visite du camping. Et là, ce qui avait été vendu sur le site était bien présent :
Un bloc sanitaire
Un bloc avec des algeco pour les toilettes
Un bloc avec Urinoirs
Un bloc avec point d’eau
Deux blocs douche (un pour homme et un pour femme). Sous les tentes de douche, des rangées de
cabine individuels séparés par des bancs (avec des crochets).
Points importants :
reproches. De même, les queues ont, à toute heure, été raisonnables. Tant pour les douches que pour
les toilettes.
• Les allées entre les différents espaces sont bien construites. On peut aisément circuler en toute
sécurité / fluidité.
Dans notre préparation de notre festival, nous avions vu la possibilité de précommander des bières
fraiches pour l’arrivée. Et comme nous sommes de faibles caractères, bien entendu, la commande avait été passée.
Direction le camping Boney Yard. Ce dernier est à une dizaine de minutes de “The Crypt” et
touche l’espace festival. Il est plus adapté à ceux qui souhaitent s’éclater toute la nuit. Petite larme nostalgique, quand j’étais jeune, j’étais capable de l’assumer 
Et là. À l’entrée de “Boney Yard”, un autre market (plus grand que celui de l’autre camping), ou l’on pouvait trouver également des salades, friandises apéro, espace cosmétique … A côté, autre chose que j’ai trouvé très bien un camion qui proposait aussi bien de louer que d’acheter du matériel de camping (de la tente à la trousse de toilettes). Certes les tarifs n’étaient pas du plus avantageux, mais cela peut vraiment dépanner !
Autre point important, on est beaucoup plus à l’est et les nuits sont bien plus fraiches qu’au hellfest. 31° en journée, 13° pendant la nuit… IL vaut mieux bien s’équiper.
Petite soirée sympa le mercredi soir sur le camping avec rencontres avec nos voisins. Si vous souhaitez aller au graspop, je conseille fortement un petit niveau d’anglais. Là-bas, les francophones sont minoritaires. Enormément de Flamands (en même temps, c’est chez eux), d’allemands et de hollandais.
Le côté sympa, c’est que ce sont des populations que l’on ne fréquente pas forcément tous les jours,
donc ces discussions ont réellement été un enrichissement culturel.
Il est jeudi, fin de matinée, on va enfin pouvoir aller découvrir ce pour quoi nous avons fait le voyage.
On quitte the Crypt et direction le festival. Tout d’abord, on traverse des bois, cela nous amène à la “gare routière” du graspop, ensuite, on arrive à l’entrée du “Boney Yard”, une longue allée décorée à traverser et on arrive sur le festival. Tout d’abord une zone de merch. Cela ressemble, grosso-merdo, à 2/3 ruescomposés de stand. Comparé au Helffest, la “zone commerciale”, ne m’a pas trop emballé. Essentiellement des patchs. Mon portefeuille en a été très heureux ! On retrouve également, un espace tatouage /piercing et massage.
Trêve de blablas et passons au principal. Une fois la “zone commerciale” passée, on arrive enfin à la zone concert !
Point de cathédrale mais une arche à passer avec un premier arrêt pour le scan de bracelet (ce dernier doit être également scanné lors de la sortie. Pas con, ils sont capables de connaitre le nombre exact de personnes dans la zone concert).
Ensuite passage par un portique de sécurité avec selon les cas, une fouille en plus. Côté sécurité, ils ne font pas semblant !
Point important : on n’a jamais passé plus de 5 minutes pour passer cette arche d’entrée
Et là la différence avec le Hellfest se fait tout de suite ressentir :
festival ou la musique était au coeur des préoccupations. Mais bon, quand est habitué, cela surprend.
Allez c’est le moment d’oublier le Hellfest et découvrir cette nouvelle aire de jeu !
Pour présenter cela, parlons des scènes. Il y en a 6 :
La marquee : une grande tente (plus grande qu’altar et temple réunie)
Le metal dome (un peu plus grand que temple)
La jupiler, une scène open air
Le classic rock café. Une sorte de hard rock café (espace pit et sinon tables tabourets et bar)
mélangeant prestation scénique (DJ metal set, karaoké party : à ton tour d’être le chanteur d’un
groupe sur une scène, concert de groupes moins connus comme sur la hellstage)
La north stage. En gros, mainstage 1 (plus petite qu’au Hellfest)
La south stage. En gros, mainstage 2 (plus petite qu’au Hellfest)
Les lecteurs assidus (oula, j’ai l’impression d’écrire pour mediapart là ! 
) auront bien remarqué que je ne spécifiais pas de style pour chaque scène. La raison est très simple : il n’y a pas vraiment de style attaché à chaque scène. Pour être honnête, c’est quelque chose qui m’a quelque peu perturbé au coursde ce weekend. Il m’est arrivé plus d’une fois de dévier de mon running order en fonction de l’humeur dumoment. Au hellfest, c’est simple. Tu te dis, bon ben là j’ai plutôt envie de stoner et tu traces à la Valley. Là, tu te fais tout le tour de l’espace concert pour trouver ton bonheur du moment.
D’un côté, il y a north et south qui joue en alternance et sont bordés de coin bouffe, bar et blocs sanitaires (urinoirs, toilettes, point d’eau). Il s’agit d’un grand rectangle avec une très légère pente.
Une séparation : il s’agit d’une grande tente ouverte avec table et bancs. Quelque chose de très agréable permettant de se restaurer à l’ombre. De l’autre côté de cette tente, la marquee et en face d’elle le merch artiste.
Sur le côté de la marquee, le merch festival et quelques stands de bouffe permettent de séparer cette scène de la jupiler, du metal dome et du classic rock cafe.
Après un premier tour complet, on se repère très bien dans l’espace concert. C’est bien organisé. Un seul truc négatif, les scènes se polluent très vite mutuellement. Mais bon, on apprend à se placer pour éviter ce désagrément.
A l’exception de la tente repas, il y a très peu d’ombre sur le site. Heureusement, nous avons eu des chaleurs moindres que ce que vous avez eu au Hellfest.
Deux espaces merch sont présents sur le site :
Le merch graspop
Le merch artiste
Les merchs sont des stands comme les autres. Pour les trouver, c’est très simple : suivre la queue
Pour le merch festival, le graspop propose un click & go. Je pense que nous serons tous d’accord pour dire que c’est ce qui manque au Hellfest.
[Mode ironie] @Rikoo, veux-tu le contact du shop Graspop ? [Fin mode ironie]
On retrouve les mêmes gammes de produits qu’au hellfest à des tarifs équivalents. Ca, c’était pour le positif !
Après, il y a le merch artiste… J’ai vu dans les + et les – de cette édition 2025 que quelqu’un (désolé, je n’ai pas retenu ton pseudo) se plaignait de l’envolé des prix. Sur le graspop, les palmes reviennent à Iron Maiden (180 € la veste avec un back patch…) et Nine Inch Nails avec un hoodies à 75 €.
Certes, je savais être dans l’antre du mal en allant dans un festival Live Nation mais là, on dépasse les bornes de l’acceptable. Si, au moins, on avait une transparence sur ce qui est reversé aux artistes… Cela m’a fortement refait penser à la très bonne vidéo de the Doom Dad sur l’économie circulaire dans le business musical.
Quand même un point important ! J’avais déserté le Hellfest car je trouvais que finalement la musique n’était plus au coeur des objectifs. Bien entendu, il ne s’agit que d’un avis personnel qui n’engage que moi! Il y a déjà eu moults débats sur ce thème sur le forum. Je ne vais pas remettre une pièce pour le relancer.
J’ai été ravi sur le graspop de retrouver une population métalleuse qui respecte les codes (la petite tape sur l’épaule lorsque l’on souhaite passer devant, ça trinque et ça se fait la bise, ça fait attention aux autres…). Bien entendu, il y en avait quelques-uns qui n’ont pas dû être conçu avec le bon produit mais cela est resté anecdotique sur les 4 jours !
Honnêtement, cela faisait du bien de retrouver cela et m’a rappelé mes premiers Hellfest (le 2007,
d’ailleurs, @Ben, si tu as retrouvé ma paire de dock enfoncée dans la boue, je suis toujours partant pour les récupérer 
)
Sur l’ambiance, vraiment très bon, et même sur Mass Hysteria (groupe Français chantant en Français) qui nous a sorti une super performance et ce malgré l’accent anglais de Mouss …
Juste une chose, je pense que cela doit être culturel, mais le public est beaucoup plus mou qu’au Hellfest,moins démonstratif. Cela fait un peu bizarre, mais cela n’empêche nullement de vivre son fest comme on l’entend !
Même si j’ai dit plus haut que je souhaitais aller dans un festival où la musique serait au coeur des préoccupations, je dois bien avouer que la scénographie a un peu manqué (les lances flammes dès que la nuit tombe, les sculptures…), au final l’immersion n’est pas la même.
Un point important qui pour moi a été pour moi un point noir : les festivaliers sont des porcs !!! Dès la fin de l’après-midi, le sol devant les mainstages (north and south) devenait une vraie déchetterie ! Pourtant,l’organisation met à disposition tout ce qu’il faut au niveau poubelles. Sans me considérer comme écolo, cela donne envie de quelque coup de pieds au cul !!!
Sur un plan complètement subjectif, je dois dire que globalement, j’ai passé un très bon fest ! Je vais retenir que le positif : un bonne prog, une super organisation, du personnel tip top, souriant, sympathique et parlant anglais ce qui nous a bien sauvé la mise, et deux potes en or avec qui je me suis très bien marré.
Pour finir, pour moi le paradis, ce serait le juste milieu entre le Hellfest et le graspop. Autrement dit, retrouver un hellfest 2015 / 2016 ou la positivité du bilan ne se limite pas au nombre de post instagram (bien entendu, avis personnel qui n’engage que moi, etc etc…)
Pour ceux qui ont eu le courage de lire jusqu’au bout : merci ! et s’il y a des questions sur cette expérience graspop, je me ferai un plaisir d’y répondre dans la limite de mes connaissances.
Tu fais quoi l’année prochaine Graspop ou Hellfest?
