Ah et le live déja dispo et chapitré par groupe, vraiment quel bonheur. Je me refait LLNN là
Et le son est de qualité qui plus est !
Quoi de mieux qu’un nouveau fest pour chasser le blues de la fin d’un festival ?
Le Up In Smoke (stoner, doom - près de Bâle en Suisse - du 4 au 6 octobre) publie aujourd’hui sa répartition par jour et je viens de prendre une place pour samedi. Au programme : Lowrider , Daevar, Tar Pond, Messa mais aussi Pentagram pour leur dernière tournée européenne, Monster Magnet, Valley Of The Sun…
Wolvennest, Monolord, Greenleaf, Slomosa… sont aussi sur l’affiche du vendredi et du dimanche. C’est un « petit » fest sympa et bien organisé. De mon côté, je pense que je ferai un crochet par Genève sur le retour pour aller voir Einstürzende Neubaten le dimanche.
suite et fin du 4 ème jour
SONATA ARTICA (+++) on a eu les classiques du groupe de power metal finlandais, magnifique set on sentait la joie du combo suite à l’annulation de 2022
RED FANG (+++) du stoner, le groupe était en pleine forme il a joué ses classiques et la foule était au rdv
ROTTING CHRIST (++), du black metal grecque, je connais pas très bien le groupe mais j adorais l’ambiance
BARONESS (++) dernier concert pour moi de ce Motocultor 2024, on finit par du Sludge ambiance garanti sous le chapiteau
Voilà fin de cet excellent Motocultor 2024
29 groupes vu en entier
@ bientot
Ca c’est un peu amélioré alors : en 2023 (ou 22 ?), Powerwolf avait joué 50 minutes alors qu’ils étaient tête d’affiche.
Petit report sur le Barbeuk Fest II près de Nantes, ainsi que sur le Crossroads, une salle près de La Rochelle.
Le festival était vendredi et samedi, dans un champ, dont l’adresse nous avait été communiquée au dernier moment.
Côté organisation, rien à redire : il y avait tout ce qu’il fallait. Toilettes sèches et urinoirs (enfin je crois : c’était écrit « pipi debout » mais je ne suis pas allée voir) en nombre suffisant, avec du papier toilette (au moins le vendredi) ; un grand espace avec des tables, des chaises et des bancs, abrité sous une tonnelle, ce qui était une bonne idée vu la météo peu clémente ; 2 bars avec des bières et des softs locaux ; deux stands pour manger, locaux et sympas même si j’ai trouvé la barquette de frites un peu petite. Je n’ai pas trop aimé le système de carte (uniquement vendue par 20€) à faire tamponner pour la nourriture, la boisson et le merch du festival. Petite originalité sympa : en plus du merch classique du festival, on pouvait faire imprimer (enfin, transférer) le dessin du festival sur son propre t-shirt (ou autre). Et un stand de merch artistes plutôt bien fourni. Rien à dire sur le camping puisque nous avions réservé un hôtel dans la banlieue Nantaise.
Côté groupes, le vendredi était le jour qui nous avait fait venir, avec Holy Mother et Burning Witches. Le samedi nous attirait aussi, avec une journée thrash, et en particulier Heathen que nous avions apprécié à l’Alcatraz 2 semaines auparavant. De relativement petits groupes, mais de bonne qualité, y compris les groupes d’ouverture (ceux du vendredi en tout cas), locaux et régionaux.
Par contre, côté ambiance, nous avons été déçus. Entre ceux qui n’étaient pas intéressés par la musique et préféraient rester assis à boire un coup, ceux qui avaient un peu (beaucoup) abusé des bières locales et du pastis (pas local pour le coup !), et les locaux qui étaient venus parce que c’était à côté mais semblaient surtout intéressés par le physique des membres des groupes, finalement peu de gens étaient là pour la musique et l’ambiance s’en ressentait. J’avais parfois l’impression d’être toute seule à réagir aux tentatives des chanteurs pour faire crier la foule… Du coup, c’est sur une impression mitigée que nous avons quitté le festival (pluvieux) pendant le dernier groupe vendredi soir : des groupes plutôt bons mais un public pas à la hauteur.
Samedi matin au petit déjeuner : mon homme et moi discutons du festival et nous décidons de laisser tomber le deuxième jour et de faire presque 2 heures de route supplémentaires pour aller revoir jouer Holy Mother du côté de La Rochelle, au Crossroads. C’est une petite salle avec un bar et un magasin de musique attenant, un peu dans le style du Black Lab près de Lille. Bonne pioche : malgré le peu de monde présent (c’est le mois d’août, les habitués du lieu sont encore en vacances et les vacanciers à la soirée années 80 qui a lieu dans le secteur…), Holy Mother a su charmer les personnes présentes qui ne les connaissaient pas avant le concert. Il faut dire qu’entre le chanteur avec sa voix à la Dio et le guitariste monté sur pile électrique, ils assurent sacrément. En bonus, comme on est arrivés en fin d’après-midi, on a pu discuter avec eux car le bar (et donc la salle) a ouvert dès 17h. Ils se souvenaient de nous lorsque nous les avions vus au printemps, ce qui est toujours sympa. Du coup, on s’est fait un devoir de se remuer un maximum pour entraîner les autres spectateurs. Et 3 covers de Dio ont achevé de dérider les plus timides.
En résumé : un excellent week-end grâce à un changement de plan impromptu.
Fais le festival des gueules de bois ce week-end. Vendredi soir excellent avec Maid of ace, exploited et mass hysteria entre autres. Samedi interrompu a 21h par le préfet à cause des orages, peu de temps avant le concert des toy dolls. Dégouté…
Mais force et courage aux organisateurs !
Maid of Ace ?! Génial! Dommage pour The Toy Dolls Quelle déception pour le public qui s’est déplacé et pour le groupe!
Après la sécurité c est important …ça a été si important que ça le temps?
Ainsi que les excellents Verdun !
Le Pelagic Fest annonce ses dates pour l’édition 2025 (23 et 24 août), le nom de quatre artistes (Ihsahn et Psychonaut qui avaient annulé au dernier moment - ainsi que A Burial At Sea et Bear) et la mise en vente des early bird tickets.
Les places partent vite ou on a le temps de prévoir en 2025?
Il restait encore des places disponibles quelques jours avant le début du festival. J’avais pris ma place mi-avril, donc je dirais qu’il n’y a pas d’urgence.
Pelagic Fest, samedi 24 et dimanche 25 août, Maastricht.
Report du samedi.
Le festival se tient à la Muziekgieterij, à 10 mn à pieds du centre de Maastricht (Pays-Bas), dans un ancien bâtiment industriel en briques, et dans deux salles d’à peu près 1100 et 400 places ainsi que – pour trois performances - dans le foyer qui sépare les deux salles. Les concerts sont proposés en alternance, sans chevauchements. Ainsi, le début d’un concert coïncide avec la fin du précédent. C’est parfait… et c’est épuisant quand on veut tout voir, tout entendre et tout ressentir (mettez-moi une note de musique et j’arrive en courant (bon, des fois, je repars en courant aussi !)).
Pelagic Records est un label berlinois de post-rock et de post-metal (mais pas que) parfois instrumental (mais pas que, loin de là) avec des groupes essentiellement européens (mais…pas que : deux sont américains).
Les locaux sont franchement très beaux (ou en tout cas correspondent à mes goûts). Le côté industriel est préservé, la brique rouge côtoie le métal noir. C’est probablement le plus bel endroit qu’il m’aie été donné de visiter pour des concerts.La grande salle est climatisée. Sa scène est haute, presque au niveau de ma pomme d’Adam, et dispose d’un balcon. La petite salle possède quelques piliers mais aussi des marches qui permettent de très bien voir la scène si l’on est derrière et, dans la mesure où elle n’est pas climatisée, c’est probablement la seule zone tropicale humide des Pays-Bas depuis l’indépendance de l’Indonésie.
Il n’y a… que 33 pas pour aller d’une salle à l’autre (j’ai compté) ! Si l’on fait 20 trajets entre les deux salles, puis six pas résolus pour aller au bar, cela fait pile 666 pas. Vous croyez vraiment que c’est un hasard ? Question n°2 : vous êtes-vous fait vacciner ? Question n°3 : et si la Terre n’était ni ronde ni plate mais avait la forme d’une fesse de canard et que c’était un complot de la NASA et des fabricants d’éponges, vous reprendriez encore une fois des cacahuètes (puisque vous êtes coincés au bar pour ne pas faire le 667eme pas) ? Et les canards d’ailleurs : ont-ils des fesses (pour aller chier dans leurs canards WC) ? Ces réponses, et bien d’autres, sont à trouver dans les Coffee Shops de Maastricht - interdits aux étrangers. Encore un complot ?
Entre les 2 salles, un foyer cosy avec des tables rondes en bois, un sofa, des fauteuils et des néons aux couleurs chaleureuses. Plusieurs dizaines de bières sont proposées au bar allant de la Primus aux bières d’abbayes.
Près de l’entrée, un petit peu de merch avec les artistes très disponibles et présents parfois sur l’ensemble du week-end - j’ai discuté avec les deux mecs ultra sympas de Nyos, ils espèrent vraiment être invités au Roadburn, et avec Dávid Máko de The Devil’s Trade - et de petits stands de nourriture végétarienne ou vegan.
Le son des concerts est excellent de A (Årabrot) à Z (Ze Ocean). Quelques petits larsens (des larcenets ?) vite maîtrisés en combat ordinaire. Il est temps de s’immerger dans les 24 concerts proposés, de descendre lentement mais sûrement dans cet univers pélagique et de voir quelles merveilles et quels monstres aux dents acérées nous allons rencontrer.
Thot (Bruxelles)
Mes chouchoux (de Bruxelles) dès le début de la journée. L’annonce est faite qu’il s’agit là du dernier show d’Anaïs Elba avec le groupe, ce qui me laisse les jambes flageolantes plus sûrement que la pinte de bière que je descends. Double batterie : le son du groupe est beaucoup moins pop que sur galette et laisse place à un torrent de décibels. Thot, messager des Dieux, inventeur de l’écriture, a parfaitement rédigé le script de la journée à venir
Les morceaux qui m’ont marqué : Céphéide, Supercluster et surtout l’envoûtant – et torride – et assez pop Hüzün.
Wuw (Paris)
Un quintet qui joue du Floyd instrumental et alourdi dans une lumière tamisée. Un bien meilleur moment que pressenti.
Lost in Kiev (Paris)
Un post-rock un peu plus groovy et coloré que celui de WuW avec quelques parties électroniques samplées et ajoutées. J’ai vraiment aimé Prison of mind chanté / hurlé par Loïc Rossetti de The Ocean.
Playgrounded (Athènes / Rotterdam)
Des gréco-bataves (pas batcaves, hein…). Ils commencent par The Swan et c’est bon cygne. Puissance et calme dans un même morceau, du heavy rock avec des morceaux de post-metal dedans. Un chanteur classieux et un super groupe de Valley.
Les morceaux qui m’ont marqué : The Swan, Tomorrow’s rainbow, Our fire.
Oh Hiroshima (Kristinehamn, Suède)
Un peu sage et statique au début mais Secret youth et Humane réchauffent l’atmosphère, avant le sublime et romantique Holding rivers, ce Creep du post-rock dans lequel Sigur Rós et Radiohead se télescopent. Wild iris et Ascension achèvent de me faire entrer entièrement dans le festival avant une fin en forme de descente de Drones.
Les morceaux qui m’ont marqué : Holding rivers, Wild iris, Ascension.
Hippotraktor (Malines, Belgique)
Ça porte bien son nom, et on parle ici d’hippopotames, hein, pas de poneys. Headbang général dès le premier morceau, le mur du fond et le mur du son ont reculé de trois mètres. Son puissant et élastique, salle remplie à ras bord, ils étaient attendus comme mémère attend pépère le 8ème samedi du mois - les bigoudis en moins. Un morceau a le très beau titre de Manifest the Mountain et oui, la montagne s’est manifestée et on a pris cher / sherpa.
Un peu trop brut de décoffrage pour moi, faut quand-même pas Hippotrakter mémé dans les sorties.
A Swarm Of The Sun (Stockholm, Suède)
L’essaim du Soleil ? Sérieusement ? Et pourquoi pas la face cachée de la Lune pendant qu’on y est ?
Un début en forme de post-Messe sombre et lancinante, puis des bruits de machine impolie / polyrythmique, des changements de signature du temps comme on signe un chèque au diable, du bruit, plus de bruit, c’est noise et ça cherche des noises,
Un chanteur, bretelles bringueballantes, pareil à un rabbin déchu et possédé par l’esprit d’une mouche tse-tse sous lentes amphétamines, on passe d’un funeral doom au Floyd le plus groovy, un trou noir dans lequel tombera même l’ampli du guitariste pour une longue interruption déguisée en drone.
Theremin de rien, c’était froid comme un soleil d’hiver et ça piquait comme des abeilles / c’était beau comme un chat noir qui vous regarde passer sous son échelle.
Si toutes les messes étaient comme ça, je crois que je croirais plus en moi.
Les morceaux qui m’ont marqué : tout le concert, tant le set (jusqu’à l’interruption pour cause d’ampli éclipsé) était envoûtant.
Glassing (Austin, Texas)
Un « glassing », apparemment, c’est une agression à l’aide de verre cassé ou d’une bouteille explosée. Eh bien, je les ai sentis, les tessons dans la gueule, surtout après la balade dans le cimetière d’A Swarm In The Sun. Jamais je n’aurais cru aimer ce concert. Merci le Roadburn pour m’avoir éduqué. 75% screamo, 75% de black et au milieu de tout ça, un tapis de soie pour le repos du guerrier. "De l’autre côté du miroir " s’intitule leur dernier album. Alors Alice a dû se faire quelques piercings, mettre un coup de but dans la psyché et recoller tout ça au hasard. Mais au milieu de l’album, cette citation : "Les yeux des autres sont autant de miroirs déformants qui tuent à petit feu" (Simone Piuze). Les albums et les miroirs : ça fait réfléchir. Emporté par la force, la contemporanéité et la sincérité du propos. Un groupe pour @Enufsed . On parie qu’on les revoit très, très bientôt au Roadburn ?
And So I Watch You From Afar (plays Megaufana) (Belfast, Irlande du Nord)
Vous voulez savoir ce qu’est la quintessence du post-metal instrumental, le joyau brut du genre et le canon du culte ? C’est eux. Et c’est pourquoi je ne les ai pas vus de loin (contrairement à ce que suggère le nom du groupe) ni quitté des yeux, pendant qu’ils jouaient leur dernier album Megaufana, en entier. Leur post-metal instrumental, c’est comme si vous chevauchiez un Pelican avec les ailes d’Icare, à toujours essayer de s’approcher du Zénith (de Nancy).
LLNN (Copenhague, Danemark)
Pour ceux qui pensent qu’LLNN est un remake bagayant d’LN et les glaçons, ce n’est pas le cas. Premiers mosh pits du fest, et pas pour faire semblant. C’est lourd, violent et déterminé.
Ça ne s’arrête pas pour admirer le paysage et d’ailleurs, y’en a plus de paysage : tout à brûmé - flammes et gaz ont tout ratissé. Imaginez la nénette de l’Exorciste hurlant parce que son jouet préféré est cassé. La violence, le désespoir - et réussir à mettre une éthique et un geste artistique là-dessus, c’est costaud. Je te les enverrais directement à l’Engine room de Tilburg ceux-là (ils y sont probablement déjà allés).
Nyos (Finlande)
Punk, rugueux, expérimental : Thelonious Monk est sorti du cimetière en emmenant Johnny Rotten et Terry Riley avec lui (comment ça il est pas mort, Riley ?) et ils ont inventé la transe acido-tellurique avec de vrais morceaux de Finlande dedans. Du maths-rock avec des angles vraiment aigus et des idées pas du tout obtues.
Boucles lancinantes, batterie épileptique. Du White Hills joué au double de sa vitesse, aussi barré que Darsombra mais sans les vaches. Quasiment de l’acid house jouée avec une guitare, une batterie et 40 samplers et pédales d’effet. Rien à voir avec les jolies galettes, ils ont mis le feu au foyer et c’était comme un secret show (Roadburn, encore, le grand frère, le modèle) mais pas secret.
The Ocean (plays Pelagial) (Berlin)
The Ocean, au Pelagic. c’est un peu comme le Grand Blanc : l’incontestable maître des lieux. Mais, malgré le film arty projeté derrière la scène, ce n’est pas mon truc, ni en live ni en croquette. Cette musique ne me parle que par moments, et ma seule envie, à cette heure-ci, après X h de concerts enchaînés, c’est de trouver un banc (mais pas de poissons). Je regagne la berge au bout de 5 morceaux.
Arms & Sleepers (Boston / Portland)
Et, pour finir, du trip hop au Pelagic. C’est un peu comme si on programmait du grindcore au sapin de Noël de l’Ehpad. Eh - vous méprenez pas ! J’espère bien que j’aurai du hardcore et du noise et le nouveau Couch Slut en exclusivité dans mon Ehpad en ruines ! Déchirer ses couches (slut) et envoyer valser la merde sur les tableaux d’amortissement de la comptable en chef, ça c’est punk ! Bref, Arms & Sleepers (« Ceux qui prennent les armes et ceux qui ne le font pas », une référence à la guerre en Bosnie), avec des tishs Alcest, Ken Mode et mon Sunn O))) qui dansouillent, et un patch Insomnium qui va jusqu’au bout de la nuit, c’est vraiment une bonne idée et ça permet de redescendre, de se poser et de terminer sur un… chill de raie (oui, je sais, cette vanne médiévale est bretonne, poitevine, d’Anjou et lamentable mais… vous l’avez ?).
Ta plume est un régal ! Encore !!
Les groupes sont cannons aussi !
A Swarm Of The Sun c’était super à écouter, je vais y revenir souvent !
NYOS un peu ennuyeux sur album, mais faut essayer !
Merci pour ce sublime compte rendu. Je confirme être un grand fan de Glassing depuis Spotted Horse. J’avais failli les voir au Havre (date improbable) mais le Covid a eu raison de ce premier rendez-vous…et oui je croise chaque année les doigts pour une présence au Roadburn. Du coup je suis un peu jaloux !
LLNN c’est devenu monstrueux en live, le chanteur est habité (aussi bien dans cette formation qu’avec Eyes) même s’il est parfois fringué comme s’il venait de faire un tennis pour assurer son classement 15/1.
Vus au Roadburn 2022 et sur la scène de l’Engine Room !!! Tu peux te faire embaucher pour la programmation aucun souci. Le meilleur concert fut l’an passé au Desertfest Antwerpen, c’était de la lave en fusion.
Concernant les jetons d’Alcatraz, j’espère qu’ils vont garder ce système, j’ai pu trouver 3 plaquettes par terre et j’ai pu manger comme un seigneur grace aux gens alcoolisés qui savent pas se contrôler ! Merci l’orga les pizzas, bun’s, frites ect sont excellentes !
Merci @Enufsed. Pas surpris que tu apprécies Glassing. Un (tout petit) bout de ciel m’est tombé sur la tête en rentrant de Tilburg, quand j’ai réalisé que je ne pourrai faire que les deux derniers jours du Roadburn pour raisons professionnelles. Mais l’annonce de Chat Pile a dû t’enchanter !
J’avais regardé la prestation de LLNN grâce au Live Stream du Pelagic, cela avait été une telle claque au Motocultor.
Maintenant il faut que je me trouve une vingtaine d’heures pour regarder tous les concerts au plus vite, tu m’as donné tellement envie.