Festivals - Annonces & Reports

Merci pour les messages ( je ne savais pas ce que c’était des reels :sweat_smile: )
Et merci pour les reports, c’est très bien fait et c’est pas mal pour voir l’avis d’autres.

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C’est bien connu, dans tous les concerts, de Rammstein à Céline Dion, y aura toujours un con… avec un drapeau breton

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Qu’il soit Breton ou non, le drapeau en fest fait presque toujours chier !

De mémoire, il y avait eu des drapeaux bretons de distribué avant le concert de l’artiste Breizhoo de l’année. Par contre, je ne sais plus si c’était au Motoc 2022 ou 2023…

Oui, mais après, c’est plus les paroles de la chanson (à la vie à l’armor des fatals, si jamais :slight_smile: ).

Au vu des réactions, tout le monde ne la connait pas ici. J’aurais dû garder les vers, peut-être que ça aurait aidé à comprendre qu’il s’agissait d’une citation (car loin de moi l’idée de m’en prendre à ce beau pays où j’ai quelques racines)

Pas de Rise & Fall cette année à Niort :sob: :scream:

Pourtant, il y avait bien un début de programmation er ces concerts sont maintenus :
06/10/24 : Dvne + My Diligence
25/10/2024 : Horskh
29/10/2024 : Rhapsody Of Fire
Avec aussi Lofofora au Diff’art de Parthenay et Total Chaos + Svetlanas + Alma à Bressuire

Un message a été fusionné à un sujet existant : [Jeu] Titr-O-Rama

Effectivement très bon le stand sénégalais, je m’y suis nourris que là !

Ils seront à Tours le 9/10

Petit rappel pour ceux qui seraient dans le coin ce week-end, le Festival Tomahawk à Querrien (29), pour sa 10ème & dernière édition !

Toujours le même principe, entrée libre, du son dans tous les styles, avec notamment du punk, du noise & du thrash demain soir et samedi.

De la bière, plus locale que ça tu meurs, la fameuse Couille de Loup, bien connue des bénévoles du HF :beer:

Le tout dans une ambiance chaleureuse et conviviale, on encourage la scène locale, attention ça déménage dans ton village ! :metal:

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A propos de la Couille de Loup, j ai retrouvé ce vieil article

Ou

Ah, ah…je reconnais ce tish…j ai son frère :laughing:
C’est aussi la bière au Samaïn Fest, bien sûr

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Sacré personnage le Vincent, je me rappelle de ses débuts, on était cobaye sur chaque brassin qui sortait, et on avait en plus la chance de l’avoir à la pression au bar du bled, époque bénnie ! :sweat_smile:

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Les premiers noms du :

Courts Of Chaos 2025

◾ Nemedian Chronicles (Heavy Power - France)
◾ Varathron (Black Metal - Grèce)
◾ Tonnerre (Hard Rock - Canada)
◾ Hasturian Vigil (Black Metal - Irlande)

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J’ai enfin fini le deuxième report de ton week-end chez Pelagic et quel plaisir de les avoir lus ! Tellement plaisant que j’en ai loupé mon arrêt de bus et me revoilà à attendre l’autre bus, dans l’autre sens, pour rebrousser chemin.

C’est marrant car il y a des groupes où l’on ne pense pas l’inverse mais presque ! Il y’en a d’autres cela dit ou je te rejoins à 100% sans les avoir jamais vus (Year of No Light pour ne citer qu’eux). Et Hippotraktor, as-tu été un peu compensé de ta déception de ne pas voir Psychonaut ? Stefan de ces derniers en fait partie, cela t’a peut être réchauffé un peu le cœur.

Question : pourquoi les requins ont disparu ? On aurait presque cru que tu étais rassasié après le samedi mais ton report du dimanche prouve le contraire.

Merci encore pour cette lecture !

Prochaine lecture : le report de Gonzo (pas dans un bus, j’attendrai le RER pour encore plus de risque de louper l’arrêt). Et puis j’irai dans un autre topic où une chronique m’attend.

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Ça fait un moment que j’ai des signets mis pour Pelagic part II et le Motoc de @Gonzo49ers mais j’ai pas eu le temps cette semaine, faut dire qu’avec ces deux là il ne suffit pas de lire, il faut écouter après ! :partying_face:

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Et fait gaffe, il y aura interro surprise après :smile:

:face_with_open_eyes_and_hand_over_mouth: Bon, je note que je te dois… un ticket RATP (ça change des bières) !

En ce qui concerne Hippotraktor, je n’ai pas été bouleversé mais c’était un bien meilleur moment que prévu. Le cadeau qui remplaçait Psychonaut était le set de The Ocean.

Quant aux requins (que j’avais prévu de remplacer par des pieuvres pour marquer la différence entre les deux journées), j’ai tout simplement oublié (et pas eu le temps d’y revenir depuis)…

Merci en tout cas de lire ces reports. :pray:

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Petit Retour sur la 12ème édition du Mennecy Metal Fest

Le MMF (Mennecy Metal Fest) est un petit festival à taille humaine, organisé par la municipalité, lové dans un petit parc entre le théâtre, la médiathèque et des locaux techniques. Au milieu coule une fontaine, bref, on est invité dans un petit parc cossu, et pas dans le champ d’à côté. Mine de rien, c’est toujours appréciable et témoigne de la volonté d’offrir, pour les artistes mais aussi pour les festivaliers, un accueil de qualité.

Le MMF dure 3 jours et, malgré la qualité des têtes d’affiches et petits groupes du vendredi et du dimanche (Korpiklani, Rise of the Northstar et Dark Funeral notamment), l’organisation aura fait qu’on n’a pu faire que le samedi.

« Grisés » par une météo un peu maussade, ce n’est que vers 14h45 que l’on arrive sur le site, toujours bien organisé et fluide, malgré la convention de tattoo qui se tient à 10m de l’entrée. Le parking, un peu juste, avait finir d’offrir ses places, et nous avons donc du faire quelques centaines de mètres pour trouver une place un peu plus loin, comme beaucoup et rien de bien grave. Nous avons cependant raté Gonezilla et Tanork dont je ne pourrais donc pas dire grand-chose.
C’est donc avec le set de Daturha sur la petite scène qui débute en font que nous entrons sur le site, prenons nos petits jetons de saucisses et de bière (oui c’est à l’ancienne), pour faire un petit tour au merch, faire le tour du site, puis voir la seconde moitié du set. Daturha, nous aura offert un set de death mélodique sobre, idéal en fond de festival et efficace, mais duquel je n’ai malheureusement pas vraiment retenu grand-chose, ni fausse note, ni réellement de coup de cœur. Idéal cependant pour débuter.

Vient donc le moment de se placer sur la grande scène (la Menn’stage comme on dit), pour découvrir le set de Onigami. Visiblement locaux de l’étape, ce groupe nous offre un numetal qui sent bon les années 2000, les baggys et le lycée. Mais il le fait bien, avec une bonne énergie et ponctue son set basé essentiellement sur leurs derniers opus (Deathwish et Sakurai-Kai) de reprises de Linkin Park et de Limp Bizkit, histoire de confirmer qu’on avait compris d’où venait l’héritage. Bonne énergie, communication avec le public efficace, on pourrait seulement reprocher au chanteur à la voix et aux cheveux les plus clairs une maitrise modérée de l’anglais, qui nuit un peu à la qualité des reprises. On est clairement sur un groupe local, de qualité, qui ne peut pas encore prétendre aux gros festivals, mais qui mérite plus que l’ouverture des MJC de grande couronne.

On repart sur la petite scène, et vers un son moins léger avec un petit coup de cœur de cette édition et le set de Gravekvlt. Pas forcément évident à qualifier, même s’il est difficile de ne pas voir du Motorhead en plus poisseux, Gravekvlt embrase la petite scène malgré le crachin et une communication inexistante grace à un son lourd comme du doom, teigneux comme du punk, avec un saupoudrage de black qui aurait débordé. Bref, du Black-n-roll, oui, mais pas que, et un groupe à écouter, mais surtout à voir. C’est teigneux, ça sent l’extrême, et les fesses moulées dans des jeans comme dans le glam des eighties. Un bien joli pot pourri.

Après une petite pause pour découvrir les (trop petites) commodités qui gardent malgré tout le miracle de rester propres toute la journée, le bar sponsorisé par Bouledogue (bière locale de qualité, avec une excellente blonde, et de l’IPA et de la pale ale à la noix de coco mais qui seront indisponibles dès le milieu d’aprem) et le stand de frites /sandwichs qui arrive, on ne sait trop comment, à gérer sans qu’il y ait de queue, il est venu le temps de se remettre devant la Menn’stage pour les autres « locaux » de l’étape, puisqu’il s’agit des Essonniens de Tijuana, Locomuerte. Le public à l’air d’apprécier ce combo qui reprends des airs hardcore chicanos et fait semblant de parler espagnol (mais revient au français au-delà des invectives écrites en amont), et tant mieux pour lui. Moi, je ne comprends pas. Il y a un peu de groove, bien sûr, c’est du crossover un peu punk, un peu thrash. Mais vraiment, la sauce ne prends pas.

Après cette déception, une autre se profile mais pour des raisons toutes autres. En effet, sur la petite scène débute le set des thrasheux angevins de Arcania. Un set de qualité, un style qui n’est pas mon préféré mais qui est fait avec passion et qui marche bien. Mais la, il pleut, et il est difficile de s’asseoir. On décide donc d’abréger le set, de prendre un café et de se poser un peu à la voiture pour reprendre des forces. Une petite demi-heure à écouter le groupe de loin (oui, on n’est pas garés loin comme au Hellfest) et à se dire qu’on aurait plutôt du faire la pause pendant Locomuerte.

Ragaillardis, nous revoilà cependant devant la grande scène pour le set de l’Opium du peuple. L’opium du peuple, c’est des reprises de standard du métal, mais surtout de variété française en version punk-métal-fourre-tout avec un peu de cabaret. Déjà vus il y a quelques années au festival Sur les pointes, je n’avais pas été conquis et j’y vais donc, non à reculons mais sans entrain. Et pourtant, ce coup-ci, j’ai été cueilli et ça marchait très bien, enchainant les classiques, les blagues de mauvais gout pour finir sur un Pow-wow au biniou de bon aloi. Comme quoi, d’un jour à l’autre, les groupes peuvent vraiment varier. Il faut cependant dire que la choriste se baladait dans le festival avec son teckel aux yeux vairons, de quoi conquérir tout métalleux.

D’ailleurs, même si cette année, les artistes ne font plus la queue aux saucisses avec nous, c’est un des points sympas du festival, les artistes viennent globalement se balader dans le parc et regarder les autres groupes, comme tout le monde, même quand on est une tête d’affiche (souvenir d’une queue des commodités avec Mikael Stanne de Dark Tranquility il y a 3 ans).

Retour encore une fois sur la petite scène avec encore un coup de cœur et le retour du Doom de Fatima, venus présenter leur nouvel album sorti la veille. Un groupe que je trouve excellent en live, découvert par ailleurs dans une édition précédente du MMF. Lourd, efficace, avec une voix lente et parfois plus grunge que gutturale, c’est un groupe qu’on ne peut que chaudement recommander. Le public, même un poil clairsemé, ne s’y trompe d’ailleurs pas.

L’heure est venue de retourner vers la Menn’stage pour découvrir la tête d’affiche du jour, le rock à monstres des finlandais de Lordi. Un set court de 55 minutes, qui amène à enchainer les « tubes » du groupe, qui joue de ses costumes, évidemment, mais offre également un son de qualité, efficace, avec un monstre chanteur haranguant la foule avec ses « oui, oui ? Oui, oui oui », répétitifs (mais le comique de répétition, ça marche aussi). L’ensemble du groupe joue par ailleurs ensemble avec plaisir (si tant est qu’on le distingue sous les masques, mais c’est l’impression rendue), avec une petite mention supplémentaire pour le bassiste sautillant (et pas que parce qu’il nous a lancé un médiator). Bref, pas le groupe le plus indé, évidemment, mais une tête d’affiche efficace.

A la suite de cela, Avulsed lance son metal extrême sur la petite scène, mais, la fatigue commençant à naitre, on n’écoutera que de loin, sans pouvoir en dire grand-chose.

Vient cependant le temps de ma tête d’affiche, avec l’arrivée sur la Menn’stage du brise-glace teutons. Les allemands de Eisbrecher sont la, pour offrir leur metal industriel. Depuis leur découverte il y a quelques années au Hellfest, j’aurais du mal à être objectif sur Eisbrecher puisque je trouve que c’est Rammstein, mais en bien (sans la scénographie d’instapouffe – Mylène farmerien qui oblige à tout calibrer à la seconde près et enlève toute vie au live). Là, on a du metal indus, mais aussi des blagues, du frère jacques, de l’énergie à revendre, du sourire. Bref, je parade fier comme un poney avec mon tee-shirt affichant fièrement que Mennecy est la seule date française du groupe. Revers de la médaille d’un festival plutôt familial, avec la nuit tombée, la foule commence à se clairsemer, moins par désintérêt que parce que ce n’est pas vraiment dans les mœurs de finir à 1h.

Bref, un petit festival familial, bon enfant, aux tarifs raisonnable. Je ne peux difficilement faire autre chose que recommander et vous conseiller de venir avec nous l’an prochain.

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Merci pour ton report ! Bien content de lire ton retour sur Fàtima, que j’attend depuis pas mal de temps déja (concert annulé la dernière fois sur Paris :frowning: ).

Bien envie de découvrir Gravekvlt après ton report, merci !

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