L essentiel : son bon, groupes qui se donnent et apportent du plaisir! salle sympa!
Après une orga se fait des benefs sur le bar et la bouffe…si c’est trop cher, y a moins de consos !
Pour les crashs barriére, y a plein de salles ou de fests qui n en n’ont pas et c’est bien…plus de proximité avec les musicos
Les barrières pour du black metal ça passe, mais pour un groupe bordelique genre Landmvrks y’aura des blessés, il y aura des slammeurs. sachant que y’a 0 sécu derrières les barrières.
C’est bizarre ton impression, le groupe ne se prend pas au sérieux ?
Je les ai vus au MetalEarth Fest (Brest) il y a 2 ans, j’ai un peu de mal à comprendre ce que tu as ressenti ?
Ou tu voulais dire « se prennent au sérieux » peut-être ?
Deuxième édition d’affilée pour ma part (cette année uniquement le samedi). Mon Top :
- Black Bile : 3ème fois, hâte de les revoir le 11/11 au Ferrailleur ! Ils commencent les compos pour le prochain album. Je ne désespère pas de les voir au Hellfest en juin prochain (de préférence sous la Temple et pas à 10:00 du matin SVP).
- My Dilligence
- Dvne
Petit bémol concernant la petite scène Pluton pas toujours accessible sauf à sacrifier les derniers morceaux du groupe précédent. Juste vu une partie d’Inaï…
Prochaines sorties en ce qui me concerne:
02/11 Westill - Vallet (peut-être aussi le vendredi 01/11 si j’arrive à me libérer)
11/11 Black Bile + Subterraen + The Ascending - Nantes
30/11 Shaârghot - Saint-Avé
03/12 Monkey3 - Nantes
13/04 Eisbrecher - Rennes
Juin 2025 Hellfest - Clisson
Liste bien sûr à compléter !!!
Non non, ils se prennent pas au sérieux.
Quand je vais voir un groupe de BM je ne souhaite pas voir un chanteur qui fait des blagues entre deux morceaux, qui fait dit « ça fera des vues sur youtube »…
J’imaginais un truc beaucoup plus mystique en terme de jeu de scène vu la qualité des albums.
Au final c’était plutôt une sorte de pièce de théâtre de Kamelot a petit budget (je parle du jeu de scène)
Car musicalement sur album j’adore
Très belle liste de concerts !
Nous ça sera:
28 Novembre: Cradle Of Filth/ Mental Cruelty a Lyon
15 février: Pantera/ Power Trip à Paris
17 février: Manowar à Esche-Sur-Alzette
17 Mai: Sister Of Mercy à Aix en Provence
19 Juillet: Iron Maiden à Nanterre
Sans doute le Sylak et l’orange Metallic Fest pour nos festoches de l’année !
Bien entendu,je ferais des reviews sur les topics dédiés !
Les concerts sans crash, c’est la vie !
Y en a pas au Molotov ou à l’espace Julien… (Marseille). C’est l’essence même des concerts de Punk / Hardcore. Landmvrks l’a fait 2 fois à l’espace Julien… Je n’ai vu aucun blessé…
Évidement que cette proximité là a des risques… Le bassiste de Anti-Flag m’avait ouvert le menton avec sa basse… (3 points de sutures, 1 t-shirt, la set-list et un médiator). J’en garde un excellent souvenir .
ça s’écrit Esch-sur-Alzette ; à ne pas confondre avec Esch-sur-Sûre qui est plus au nord … non, non, inutile de me remercier pour cette minute culturelle luxembourgeoise.
Du coup, tu enlèves les barrières ou tu mets des crash barrières, car les barrières sont inutiles, elles bougent, elles sont pas solide et y’a 0 sécu pour gérer ça.
Si y’a un blessé c’est pour l’orga
Au moins on va pas se tromper de salle, merci bien
Esch, j’y serais jeudi soir pour POWERWOLF, HAMMERFALL.
Je suis complètement d’accord : les barrières classiques pour les concerts, c’est dangereux si ça pousse derrière pour récupérer des mediators ou autres. J’ai eu super peur dans un pub en Grande-Bretagne où ça a poussé à la fin pour récupérer ce que lançaient les musiciens. La barrière devant moi est tombée et j’ai eu du mal à ne pas la suivre avec les gens qui poussaient. Bon, je l’ai dit au gérant du pub et maintenant ils ont renforcé les barrières pour les maintenir un peu plus.
Tu vas kiffer : j’étais à Amsterdam samedi et j’ai été époustouflée, même si j’ai déjà vu Powerwolf 7 ou 8 fois. Je ne veux pas te spoiler mais ce qui ce passe pendant 1589 est très émouvant. Et puis encore plus de feu et de pyro !!!
Quant à Hammerfall, ils étaient magistraux !
Rien du tout…
C’est la base pour ce genre de musique. Tu montes sur scène (quand y en a une) et tu repars en slam et ainsi de suite.
Et en plus il y a toujours un truc en petits caractères sur les billets disant que, grosso modo, tu y vas à tes risques et périls.
Moi dans 2 mois à Vars (05) j’ai Big Flo et Oli, pour la 16éme édition de Vars en scéne, un autre style…
Hello ! Avant l’annonce des premiers noms du Mystic (en Pologne) dans quelques minutes, je checkais un peu le lieu et les précédentes éditions… ça à l’air trop cool comme endroit
Est-ce que certains parmi vous y sont déjà allé et si oui qu’est ce que vous en avez pensé ?
Y’a un vlog de The Doom Dad.
UP IN SMOKE FESTIVAL, Pratteln, Suisse (journée du samedi uniquement)
Preamp Disaster (Lucerne, Suisse)
Plutôt indifférent à la maison. Mais ici, le côté post-metal, post-rock prend le dessus. Ça commence planant et ça monte lentement mais sûrement, avec une touche de sludge dans le chant. Pas d’esbrouffe, juste un groupe qui fait son truc à fond et ça vous emplit. Encore un bon groupe de cette belle scène suisse, et une façon idéale de lancer le festival.
Djinn (Rennes)
Ils pratiquent quoi comme sorcellerie, ceux-là ? M’ont jeté un sort ? Ont caché des glands de Broceliande dans leur slip ? Et Chloé Panhaleux, harpie harpiste qui ondule et chante et harponne, elle a mangé le champignon le plus bizarre de la forêt ? Rennes, c’est chaud, c’est brûlant : Rennes déneige. Sorcellerie de la harpe électrifiée, équilibre parfait des riffs répétitifs, de la lourdeur et des envolées psyché. Avec ce groupe capable de pondre un Blind à rendre sourd, un Black circus mélancolique taillé en blue Djinn. J’aurais bien repris un petit verre de Djinn en plus.
Samavayo (Berlin)
Samavayo, ça m’emmerde un peu à la maison, avec leur stoner standard qui casse pas trois ailes à un papillon de plomb. Surtout les keep on rollin’ qui me mettent sur la jante. Et puis là, dans la pénombre du Z7, la basse est lourde et groove, si lourde qu’on abaisse le pavillon et qu’on se laisse emporter. Le cerveau se casse. On n’est pas à 1000 lieux de 1000Mods. C’est le cul et la nuque qui écoutent. La jante, non, la gente féminine ne s’y trompe pas. Ça danse. C’est bon.
Daevar (Cologne, Allemagne)
10 ans que j’attends de voir ce groupe (en fait, 1 an 1/2, mais ça m’a paru long). Je connais chaque morceau : j’ai bien fait mes Daevar. Du doom de la plus noire espèce, agrémenté d’une voix féminine réverbérée (Pardis Latifi, chant et basse, radieuse) et de mélodies vocales belles et simples, avec quelque chose d’oriental. Le son est tellement lourd qu’on ne sait pas s’il illustre la destruction ou la reconstruction du monde, mais moi je veux bien le reconstruire avec elle. Dans un festival, il y a des hauts et des bas : ça c’est un véritable haut (de Cologne).
Valley Of The Sun (Cincinnati, USA)
Du stoner pur jus à la 1000Mods, encore, mais en plus fin et mélodieux. Les pieds dans la vallée, la semelle brûlée, la tête dans l’héliosphère. Des morceaux lourds et lumineux. On était tous là à trimballer notre joie comme des bousiers heureux, d’un côté à l’autre de la vallée, et - décisif, pas des Sysiphes - pas envie de s’arrêter.
The Machine (Pays-Bas)
Dans la famille Colour Haze (celle qui roule des mécaniques), je voulais… le rouleau-compresseur. Non ? Le robot-mixer. Ah, non plus ? Bon, ben, ce truc, là, à mi-chemin du robot et de l’humain : The Machine. C’était bien, mais sans plus. J’ai peut-être un peu accusé le coup (grosse journée de boulot, petite nuit, quatre heures de route). Pas retrouvé le son de Colour Haze non plus, cette guitare chaude et boisée. Welcome to machine, disait Pink Floyd. Mais je n’ai pas réussi à déboulonner la porte d’entrée. Colour Haze en noir et blanc.
Lowrider (Stockholm, Suède)
J’ai un gros faible pour Refractions, album du covid. Réfraction : comme un miroir. Un truc dans lequel on se (re)voit. Sernanders krog assis sur une ligne de basse monstrueuse, quelques bonnes ruades sur Horse you rode on, le nouveau single, une Ode to Ganymede sublime où Kyuss et Floyd se bécotent sur un clavier, Pipe rider pour terminer. Beaucoup de classe, un son chaud, propre et équilibré, comme un désert de velours. Un voyage vers Ganymede en 1ère classe, auquel il n’a manqué qu’un grain de folie pour être parfait.
Daily Thompson (Dortmund, Allemagne)
Très heureux de revoir Daily Thompson - déjà présents l’an passé pour un concert enthousiasmant, d’entendre leur grunge joyeux et de profiter de la joie de jouer de Mercedes Lalakalis, la bassiste aux cheveux bleus. Que des tubes, qu’ils soient issus de Chuparosa, leur dernier album, ou de God of Spinoza. Un I’m free tonight fou et Manchu, vers la fin, et un final en roue libre sur une ligne de basse infinie, colonne vertébrale souple et élastique de ce concert euphorique.
A partir d’ici, petit changement d’atmosphère dans le festival, avec un lâcher de viande saoule sur les alpages.
Pentagram (Washington D.C., USA)
Bobby Liebling (chanteur de Pentagram) est fascinant. On dirait un écho du passé, une parodie sur pieds, un dinosaure qui a traversé les âges et qui a giclé sur scène comme une tache de sperme dans un vieux ciné porno. Talonnettes, pattes d’éph’, chemise en soie semi-transparente, il se trémousse en un déhanchement prostatique, la main sur le pelvis quand il ne l’a pas sur le paquet. Il multiplie les air guitar, mais aussi les air cunnis dont il nous gratifie à chaque morceau. Libidineux et priapique, on dirait un Sam l’aigle des Muppets échappé de l’asile pour obsédés sexuels. C’est un fossile d’une autre époque. Et pourtant le concert est bon. Les morceaux du prochain album se laissent écouter. Les classiques font remonter de la nuit des temps une époque révolue. Dans Pentagram (comme dans Saint Vitus d’ailleurs), on perçoit encore le petit artisanat du doom, la PME de l’Enfer avant qu’il ne se multinationalise, cette naïveté sombre, ce bricolage qui parviennent à évoquer les premiers Sabbath - une époque révolue pour le meilleur et pour le pire. A ce propos, la pochette de Be forwarned, avec une femme endormie et abusée…
Dans Pentagram, on entend la fin des années 60 et le début des 70, on entend Jim Morrison - on sent que les Doors gardent les Portes de l’Enfer - et l’on goûte encore au petit lait psychédélique de Cream et autres vaches laitières (pochette d’ Atom Heart Mother). Pentagram, c’est un trou noir qui s’engloutit lui-même, un dessin et un dessein qui n’a plus lieu d’être, un terreau fait de nos déjections - fertile.
Messa (Italie)
C’est mon 6ème concert de Messa. Je les ai vus dans une toute petite salle derrière le périphérique brondillant en 2017 - on était 40. Je les ai vus en formation élargie dans le minuscule Périscope, et sous le crépuscule et dans la boue du Hoflärm avec un Leah qui se nourrissait des étoiles. Je les ai vus souvent et j’anticipais de la lassitude. Par ailleurs, il y a eu le couple qui bousculait tout le monde au milieu du 2ème morceau pour se placer au 2ème rang avant de se tirer, en bousculant les mêmes personnes, dès le suivant… les deux filles qui ont pensé que le 3ème rang était l’endroit parfait pour une longue, longue discussion… les français qui hurlaient et le type qui couinait comme un cochon derrière moi et malgré ça, malgré ça, Leah et Rubedo ont tout emporté. Il y avait ceux qui étaient comme à la Messe et ceux qui étaient à la ramasse. Un concert de Messa trie le bon grain de l’ivresse.
Monster Magnet (New Jersey, USA)
C’est avec un Dave Wyndorf rondouillard, assis sur un tabouret de bar, la guitare calée sur la bedaine et la goûte au nez, que se tient le concert de Monster Magnet. Wyndorf est collé à son tabouret comme un aimant géant à son frigo. Concert carré et efficace du groupe : on sent les pros qui envoient du lourd même quand les moyens sont légers. Un concert écourté de 15 mn par rapport à l’horaire prévu, avec une fin un peu longuette sur un Space Lord façon foire à la saucisse de Red Bank, New Jersey, lancé par un Wyndorf en mode Club Med - Club Médicaments.
Tar Pond (Suisse)
La nuit, la fatigue qui nous mache les muscles et les idées. Quelle belle idée de terminer en pataugeant dans un étang de goudron (Tar Pond). Certains sont englués dans l’alcool ou dans la dope, d’autres dans les notes de ce dernier concert. Le doom le plus lourd et le plus lent qui soit, pour enfoncer le clou dans le cercueil de cette longue journée. Tout se termine par un Blind clairvoyant : si la journée ne nous a pas rendu sourds, ni à la joie ni à la mélancolie, la nuit ne devrait pas nous rendre aveugles à celle-ci. A regretter : l’attitude un peu expéditive de Thomas Ott à la fin du dernier morceau : les plumes ET le goudron ?
Messa
Daily Thompson
Daevar, Valley Of The Sun, Lowrider
Samavayo ( + pour la basse d’Andreas Voland), Monster Magnet, Tar Pond
Djinn
Preamp Disaster
The Machine
ou ( pour l’attitude, pour la musique)
Pentagram
Désolé pour la qualité des photos… J’ai un smartphone pas très performant !
Westill j’aimerais bien, pas encore fixé.
Si je pouvais amener les ados ça serait cool.
Black Bile passe aussi à Nantes le 25 octobre mais avec 4 h AR et fin du taff à 17h30 …
On a du se croisé à pacé, j’étais le seul avec un t shirt mellon collie