J’ai ajouté Ni, avec un lien vers le post pour la description ci-dessous (j’ai repris le texte de présentation de Rock in Bourlon) :
Le quatuor Lyonnais mets les étiquettes en PLS depuis 2009. Math Rock ? Noise ? Metal ? Jazz ? Plutôt les 4 à la fois. Entre Mr Bungle et Meshuggah, entre Igorrr et Botch, Ni distille sa musique complètement folle en restant toujours pertinent, entre moments de rage pure et parties ambiantes. Ni est toujours complexe, dissonant et hirsute et sa redoutable inventivité
alliée à son inattendue facette dansante en font une sommité de la niche musicale française.
Le trio norvégien basé à Oslo trace sa route depuis 2018 entre improvisation Jazz totalement libres, paysages Krautrock psychédéliques et avalanche de Fuzz. Les 3 musiciens surdoués se transforment l’espace d’un concert en une seule et même entité pour mieux jammer avec votre âme.
3e post et ensuite il faudra me débloquer. Mes chouchous, mes compatriotes de sang : Cisnienie !
Le quintet de Katowice régale avec sa musique le cul coincé entre le Jazz et le Rock, en refusant obstinément de choisir l’un ou l’autre, pour notre plus grand bonheur. Cisnienie étire ses thèmes répétitifs jusqu’à la transe, avant de tout envoyer bouler dans une tornade de Noise jubilatoire, le tout en se basant sur des sonorités aventureuse, grâce notamment à une formation singulière (Piano, Basse, Saxophone Baryton, Violon Électrique, Batterie). Un Ovni sublime, un groupe rare, qu’on est tellement heureux d’accueillir pour leur première apparition en France.
Alors pour la culture commune, Ozric, c’est un monument de l’underground space rock/prog, quelque part entre un Hawkwind intrumental, Gong et Tangerine Dream. Le groupe est né dans les années 80, et s’ils ont toujours été très rares en France (comme beaucoup hélas), ils ont un vrai public un peu partout ailleurs.
Un peu de live parce que c’est toujours meilleur comme ça :
Performance plus longue, en festival au Sunrise ici :
Pour Orsak:Oslo, voici le texte de leur page Bandcamp
Orsak:Oslo is a dark slow brew containing of psych, dystopian post-rock and trippy space blues.
With their monolithic and melancholic instrumental pieces, this is music for the active listener.
O:O is a marriage between impulsive improv and thoughtful composition, later melodies and new harmonies are carefully woven in, layer by layer.
With a reverence and underlying devotion to the aura and musical preconditions laid down from the start, the result is raw, unpolished and true.
Je veux bien créer une playlist Deezer avec un à trois morceaux max de chaque groupe. Je la mettrai en collaborative donc n’hésitez pas à ajouter vos morceaux favoris des groupes que vous avez ajouté dans la liste (je propose qu’on essaie de s’en tenir un maximum aux groupes qu’on ajoute nous-même, sinon ça va vite être le bordel).
Et Frost* même si je crois qu’il y a maintenant de la voix, leur 1er album prog instrumental vaut le détour.
Milliontown n’était pas instrumental non plus. Le titre d’ouverture, Hyperventilate, est un instru, mais le reste est chanté.
Du coup, je réécoute, ça fait quelques années que je ne l’avais plus fait tourner, ça fait une fin d’après-midi plus calme après Sepultura.
Je rajoute Step in Fluid à la liste. Le groupe initié notamment par des musicos de Trepalium et Klone offre un mélange de Funk, Jazz, metal et percussions diverses ultra groovy et Funky ! Un vrai plaisir à écouter, ça passe aussi bien pour se rebooster le matin, que pendant des travaux, et même juste avant de dormir, pour souffler un peu avec une touche de bonne humeur instrumentale.
Edit : Merci pour cette bonne idée de topic @PeteBondurant !
Dragunov (post Black) groupe de Nantes dont Gonzo49ers a parlé dans son topic
Je les ai vus avant Mutoïd Man au Ferrailleur en septembre 2023…
Juste 2…avec un decor et des lights specizles…Très prenant
Aluk Todolo (Black instrumental)
-" vu " au Samaïn Fest ce week-end- très beau …
Groupe ricain qui est en version instrumentale depuis 2021.
Ils ont sorti leurs albums précédents en 2 versions : avec et sans chant
Ils se sont séparés de leur chanteur en 2021.
Leur dernier album éponyme est exclusivement instrumental.
The Lumberjack Feedback (tiré d’une chronique Metalorgie) :
Rappel des faits : les barbus Lillois cassent nos bouches, écrasent nos certitudes depuis au moins 2013 et un EP posant les fondations d’un bulldozer sludge/metal qui s’émancipera avec le premier album, Blackened Visions, vigoureusement plombé, entraîné par deux batteries symbiotiques. Cette déferlante instrumentale couchée sur disque fut également une révélation scénique, pour le charisme irrésistible des protagonistes, mais surtout pour la puissance dégagée, souffle intense et continu qui en défrisera plus d’un.e.