En gros, je cite l’article de Ouest France, qui lui-même reprend les termes du contrat d’assurance et la communication d’Albingia :
exclusion « Ebola, la grippe aviaire et les pandémies de type Sras (syndrome respiratoire sévère) ». En fait « Syndrome Respiratoire Aigu Sévère », mais bref.
-mais « Sont seulement garanties les manifestations qui auraient été souscrites avant la reconnaissance officielle par les autorités françaises ou l’OMS desdites pandémies. »
Donc le contrat a bien été signé avant la reconnaissance officielle de la pandémie (1 à 0 pour Hellfest Production), reste probablement à prouver qu’il ne s’agit pas d’une pandémie virale type SRAS, et là il y a arbitrage vidéo.
Sachant que les compagnies d’assurance ont des armées d’avocats… Il faudra attendre…
Y avait un petit encart sur le HF au journal de M6 ce soir, on y voyait Ben Barbaud sur le site du festival expliquant que c’est là que devaient se tenir les deux mainstages, suivi d’un extrait vidéo de ces fameuses mainstages, daté du 21 juin 2019 d’après la légende. On y voyait donc les écrans en mode vertical avec les décors marins autour…
Oui en effet, j’ai cru comprendre au départ qu’il était considéré comme un SARS (ou SRAS en français). Après je ne suis pas spécialiste dans le domaine. Et n’ai pas eu d’infos là dessus depuis. A suivre…
Les journalistes se discréditent si bien eux-mêmes. :rolleyes: Pour peu qu’on connaisse le sujet abordé (chacun de nous a des domaines de compétences pros ou privés), on constate que le traitement est souvent approximatif, voire pire. Ils font tout pour que les gens y croient, et souvent ça marche ! Peut-être moins en presse écrite. Mais c’est désespérant…
Merci pour l’article ! Quand on le lit on se dit que le Hellfest est en position de force, quand même. Espérons que le festival remporte ce bras-de-fer, au moins par principe.