Salut,
C’était ma sixième édition du Hellfest, et les plus sont innombrables pour moi : bravo à l’orga.
En revanche, ce fût ma première à être tributaire du service de navettes nocturnes, car je dormais cette année dans le centre de Clisson les trois soirs.
Et là, je vais être moins dithyrambique.
Hormis le prix de deux euros, la chauffeuse de minibus sympa, le Monsieur dynamique qui faisait ce qu’il pouvait afin de maintenir en l’état des files d’attentes virtuelles, et la Dame qui récupérait lesdits deux euros dans le car avant son départ, des choses sont à revoir.
Pas de point clair d’attente (où est le départ pour Nantes ? Où est celui pour Clisson ?) ; pas de certitude d’en avoir une passé une certaine heure, notamment le jeudi (ma copine a été contrainte de descendre au Bourg à pied ce soir-là) ; pas de files d’attentes nettes et donc justes ; des incivilités à la pelle et aucune discipline de la part de nombreux festivaliers livrés à eux-mêmes ; pas de régularité dans les flux de navettes et de cars ; des délais d’attente trop longs (une heure en moyenne à deux heures du matin) ; pas de poubelles autour du rond-point (re-incivilités), etc…
Et une question : le dernier soir, un chauffeur de minibus officiel à refusé les quatre euros (deux X deux) que ma copine et moi lui tendions, sans nous donner d’explications (pas un mot, y compris sur la destination et/ou le fait qu’il y avait peut-être eu réservation de la part de ceux qui nous sont passés devant…) ; visiblement il était très fatigué, et a préféré prendre les quinze euros de candidats au trajet situés après nous dans la file d’attente pour Clisson : est-ce que des tarifs à quinze euros étaient prévus ? Nous regrettons qu’il ne nous ait donné aucune réponse à notre question, pourtant aimablement posée en dépit de la fatigue.
En cas de réponse négative, l’orga devra jeter un coup d’œil chez son prestataire. Quoi qu’il en soit, ce service est véritablement perfectible.
Pour le reste, pas de souci, amitiés, et à 2019.