Tu ne peux pas !
Tu peux mettre un album Deezer, Spotify ou Bandcamp avec le casque ou une vidéo Youtube, pour le reste tu peux mettre directement le lien
Merci Pete, pour l’occasion je me suis créé un compte Spotify.
Pour le son d’aujourd’hui, pas de titre disponible sur YT donc, il faut aller chercher le 3ème titre « Blood » de cet album, où vous allez pouvoir entendre des pieds qui jouent comme des pieds (à partir de 4’).
Les habitués des bals trad’ auront reconnu le doux son du parquet qui vibre au rythme des danseurs.
Pat O’May est l’ancien guitariste de Marienthal (Rouen), émigré depuis en Bretagne. Il a une belle carrière solo depuis le début des années 90.
AHAHA ! C’est exactement le titre que je voulais proposer hier initialement (que j’inclus dans « ceux qui mettent tout le monde d’accord »)
Mais c’était tellement facile que j’ai préféré la voie de l’exotisme
Pour aujourd’hui, voici Drums Of Death, un disque que j’avais chopé juste pour son titre et sa pochette. Il s’agit d’une compilation sortie en 1997 regroupant différentes musiques jouées dans le cadre de cérémonies religieuses au Ghana (pour célébrer les morts ?). Il ne renferme que de la percussion traditionnelle centrée sur la répétition de motifs (censée provoquer tournis et transe ?). Il se trouve que j’ai eu la surprise de découvrir après coup que le disque était produit par John Zorn (Naked City, Painkiller, etc…) et designé par Ikue Mori (Electric Masada, batteuse de DNA, responsable des visuels chez Tzadik, etc…)
Un instrument que j’ai probablement entendu pour la 1ère fois à l’âge de 7 ans, dans le Within you, without you des Beatles, et qui a aussitôt charmé mon âme.
7 ans… Était-ce si tôt, le sitar ?
J’ai ensuite souvent écouté de la musique traditionnelle indienne et cela reste pour moi la bande-son d’un voyage de 3 mois en solo et sac à dos, à 19 ans, à travers l’Inde : nuits en train dans les compartiments de 4ème classe ou dans des guesthouses de seconde zone, errances nocturnes dans les rues de Varanasi, terrible beauté
des ghats de crémation, fulgurance des émotions devant ce monde si étrange (pour nous), si différent.
Il me semblait bien qu’il y avait une alternative, j’avais cherché dans le 1er message du topic où je pensais l’y retrouver. Merci à vous deux de votre aide.
Mais trop ! 8)
J’avais écouté cet album de Tortoise il y a bien longtemps, bien avant de connaitre et d’aimer Stevie, mais à l’époque j’avais pas adhéré et j’ai jamais récidivé. À l’écoute de ce titre, il conviendrait de réparer cet affront !
J’aime aussi BEAUCOUP cette pièce du père de Norah Jones dont je n’avais encore jamais écouté la musique ! En plus, j’ai toujours dit LA sitar (comme LA guitare), et non LE sitar (comme LE cigare), double honte à moi ! Mais je vous donne RDV dans quelques mois, j’ai envie d’être incollable sur Ravi et le sitar
Mon cher Poulain il me semble que la batterie pour Electric Masada est tenue par Joey Baron et que Ikue Mori s’occupe des laptops et de l’électronique.
Mais oui!
Elle a un boulot très intéressant aussi avec Kim Gordon et DJ Olive (#morewomenonstages) sur le Sonic Youth Record Vol 5.
Tiens j’aurais pu le mettre la semaine dernière celui-là !
Je continue sur la basse alors, ce sera Bill Laswell, pas ce que je préfère chez lui, mais ça me permet de rester cohérent avec ma contrainte personnelle d’avoir l’instrument dans le nom de l’album!
He ben moi, l’exotisme, je laisse ça aux autres, et pour tout dire, ça me chagrine un peu, tous ces « machins » (t’as vu, je reste poli) à mille lieux du Hellfest et de son univers…
Donc je continue dans l’évidence : non mais écoute-moi cette batterie comment elle te marave la gueule, ça tombe bien, elle est là pour ça, et si tu l’entends pas comme ça, c’est que tes réglages sont pas bons, Kevin ! :horns: ]
@Pete : J’ai aussi ce disque de Sonic Youth (et au passage, j’ai toujours cru que DJ Olive était français… mais en fait, non. Pfff…)
Ça s’appelle l’ouverture d’esprit ! Et puis je ne trouve pas ça si éloigné que ça de certains groupes qui jouent au HF, ou même de musiciens inspirés par des sonorités ou techniques venues d’horizons différents. Il existe des ponts entre tous ces univers. Regarde Sepultura qui a collaboré avec une tribu amérindienne sur Roots, son plus grand succès ! Je ne vais pas citer aussi tous ces groupes folkloriques qui jouent sous la Temple qui revisitent (pour le meilleur ou pour le pire, c’est pas la question) un certain héritage culturel. Y’a pas que des guitares dans la musique metal, hein !
Pour aujourd’hui, je vais jouer encore avec un extrait d’une compilation. Intitulée South Pacific Drums, elle se focalise sur les percussions polynésiennes cette fois. Je n’ai pas trouvé la pièce sur le net alors je l’ai uploadée. Elle est très courte, comme toutes les autres pistes qui composent le disque, et s’écoute en streaming en cliquant sur le lien ci-dessous :
« Y a pas que des guitares dans l’univers metal » : ah bon, parce que quelqu’un a-t-il dit le contraire ? Absolument personne ! Tu aurais pu enfoncer le clou en citant Jacqueline Desproges « l’ouverture d’esprit n’est pas une fracture du crâne », hihihi, huhuhu, hahaha.
Un titre que j’adore avec l’air qui revient la voix etc…Pourquoi celui-ci? A cause de la batterie qui lui donne le rythme et qui est repris .
Vu que Karajuju n’a pas posté sur ce thème, j ai attendu et maintenant voilà :
Alors, désolé Skull, mais on repart en zarbiland, mais avec un groupe qui aurait toute sa place au HF à mon avis (il faut juste qu’ils se reforment…)
Mes chouchous de Sleepytime Gorilla Museum, avec leur lot d’instruments fabriqués maison (la guitare à percussion, le Slide-piano log, le vikings Rowboat, le Sledgehammer Dulcimer, le Pape…) en plus d’instruments chelous préexistants (harmonica basse, bidons, spatules et batteries de cuisine, vilon de Stroh, ukulin…).
A l’honneur aujourd’hui, le Slide-piano log, une corde de piano (ou de basse selon les versions) clouée sur une planche, sur laquelle on joue en slide et éventuellement en la frappant avec une baguette, et électrifiée. Un son très singulier qui me hanta durant des années (comment reproduire ça ?)
La preuve en vidéo avec un extrait de leur dernier concert avec le génial « Powerless »
PS : dans Electric Masada, le batteur est bien Joey Baron, mais également Kenny Wollesen, vu qu’il y a 2 batteries complètes, Ikue Mori ne fait que les samples dans ce projet génial…
Zarbi, chelou, tout ça c’est très bien, vive les bruitistes complètement barrés ! Moi c’est les Erik Satie et compagnie qui m’embêtent. Comment ça, personne en a mis, encore ? HE BEN T’FACON JE CLIQUERAI PAS DESSUS ! :mad: :lol:
Ça, par contre, c’est super : dès que j’ai cliqué, Anna m’a envoyé 7 photos !