Allé petit partage hors univers métal pour augmenter les chances de connais po /j’aime po.
Bon gros kiffe jazz/klezmer à la clarinette, saurez-vous laisser vos oreilles se faire chatouiller?!
Y’a même du bandjo à la fin pour les plus hostiles 
Ma participation du jour n’a rien à voir avec le metal. C’est un duo de musiciens Japonais qui font dans les « Heavenly voices », genre que je ne connaissais pas du tout avant de les découvrir.
J’écoute principalement pour des séances de « méditation » et je dois avouer que j’adore. Ils ont un effet apaisant que j’avais eu du mal à trouver ailleurs pour ces séances. Bon difficile de choisir un titre tellement leurs albums sont riches et différents mais en voici un d’un des albums que je préfère chez eux:
Un groupe hyper connu mais la chanson beaucoup moins… Je ne suis plus très sûre (c’est mon homme le « spécialiste » d’AC/DC) mais il me semble qu’elle n’est pas sortie en France et qu’il l’avait récupérée sur un import australien.
La seule ballade d’AC/DC à ma connaissance. Je n’ai jamais réussi à déterminer si c’était une chanson sérieuse ou une vaste blague vu les paroles. En tout cas, j’adore et c’est la sonnerie que j’ai choisi pour mon chéri sur mon portable.
Bien joué, j’avais jamais entendu ce morceau, pas terrible mais bon. Par contre, les paroles sont pas si tendancieuses, y a juste « you know what I want to do » et « I know how you want it to be » qui peuvent porter à interprétation… ce qui dépend donc du degré d’esprit mal placé de l’auditeur lui-même
C’est surtout que je trouve les paroles limite gnangnan :
« When you smile, I see stars in the sky
When you smile, I see sunrise »
ou
« If you leave me, you’ll make me cry
When I think of you saying goodbye
Oh the sky turns a, a deeper blue
That’s – that’s how I’d feel if I lost you »
C’est pour ça que j’ai du mal à croire que c’est une chanson sérieuse. Mais bon, je suis une des filles les moins romantiques du monde je pense…
Je vois… surtout connaissant le lascar 
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Super thème @Skullnbones, je vais enfin pouvoir proposer certains de mes artistes favoris que je n’ai jamais eu l’occasion de poster ici. On va rester dans la musique extrême mais pas dans le métal. Ce sont pour la plupart des grosses références dans leur domaine mais leurs albums sont rarement édités au-delà de quelques milliers d’exemplaires (mais le plus souvent, c’est 500ex.). Comme ils sont seuls et investis dans leur travail comme des artisans, ils sont très productifs et collaborent beaucoup entre eux. Leurs performances sont plutôt rares. Ils n’organisent pas de tournées mais se déplacent sur invitation au 4 coins du globe. Leur venue est toujours un petit évènement qui ne s’oublie pas.
Je commence gentiment avec un artiste que j’ai déjà évoqué une fois sur ce forum mais pas dans ce topic et qui avait suscité une violente réaction de rejet chez quelqu’uns : Kevin Drumm. Bon, en fait, j’ai déjà perdu mon pari puisque @PeteBondurant avait apprécié…
Bref, à l’origine, Kevin Drumm est un guitariste (américain, né en 1970). Après un apprentissage classique dans des formations rock/metal (où il sera très marqué par le groupe Slayer qu’il citera dans beaucoup d’interviews), il explore très vite les possibilités offertes par son instrument et concentre sa pratique sur la guitare préparée et l’improvisation libre. Il se fait rapidement un nom à la fois à Chicago en jouant avec les plus grandes figures de la scène locale et à l’international en publiant une série d’albums en collaboration avec le guitariste japonais Taku Sugimoto, instigateur du mouvement Onkyo. Dès lors, KD parvient à sonder une forme extrême et insupportable de la musique qu’est le quasi silence. Constatant sans doute qu’il ne pourrait aller plus loin dans cette direction, il décide d’explorer à fond l’autre versant extrême de la musique : le bruit. Cette recherche le conduira à la parution de son meilleur album à ce jour, le fameux et inégalé Sheer Hellish Miasma (= « Pur Miasme Infernal ») sorti en 2002, qui plonge ses auditeurs dans un voyage cacophonique éprouvant et sensationnel dans les entrailles du son et de la dissonance. Voici Hitting The Pavement qui dure près de 20mn mais qui n’est pas la pièce la plus longue de l’album. L’écoute au casque est fortement recommandée.
Une nouvelle incroyable est tombée la semaine dernière : après 15 ans à explorer le drone et l’ambient, KD semble vouloir revenir cette année à la noise avec l’annonce de la sortie prochainement de Sheer Hellish Miasma II !
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OOOOUUUUAAAAHHHH ! C’est le bout de l’extrémité de la pointe de la flèche ! Chapeau bas ! 
Je me rends compte que je n’avais jamais participé au Titr-O-Rama sur le précédent forum. Nouveau fofo, nouvelle résolution ?
Concernant la thématique de la semaine, celle-ci est bien compliquée pour moi : je ne sais jamais quand un groupe est connu ou non… des fois, j’écoute des trucs obscurs sans le savoir et inversement 
.
Mais je tente quand même avec ce titre :
Pour ceux qui ne connaissent pas (j’espère qu’il y en a beaucoup sinon je viens littéralement de louper ma première participation !), il s’agit du groupe Fallout qui n’a sortie, à ma connaissance, que deux titres, à savoir ce fameux « Rock Hard » ainsi que « Batteries Not Included ». Le groupe propose un Hard Rock teinté de claviers bien kitchouille.
Et pour l’anecdote, il s’agit d’un groupe dans lequel était présent… Peter Steele ! Avant Type O Negative et Carnivore, le Monsieur a donc fait son petit groupe de Hard Rock, ni vu ni connu. Et c’était vraiment bon, soit-dit en passant donc vraiment dommage qu’il n’ait pas continué dans cette voie également, préférant le Thrash de Carnivore et le Gothic de Type O Negative.
En espérant vous avoir fait découvrir un truc. Sinon, ba désolé !
Ce n’est pas du métal mais de la musique des Andes. Avec cette chanson, j’espère que ceux qui ont été dans l’altiplano ressentiront de nouveau cette émotion extraordinaire de voyager dans un bus déglingué, blindé à raz bord d’indiens aux habits multicolores, silencieux, fiers et malicieux. Vous aimez ? Un petit souvenir : en Bolivie, à plus de 4000m d’altitude dans un tout petit village, un gamin jouant cette chanson à la flûte, en courant, tandis qu’on crachait nos poumons de dahu des plaines
Bonjour, nous avons une question, qui nous a été posée par Mésa Couphaine (de Vourremersipa dans l’Aine) :
« Ouais, euh, alors le créateur du jeu a écrit « Le « jeu » consiste à proposer chaque jour de la semaine un morceau DE MUSIQUE à partir d’un thème défini chaque lundi », d’où ma question : une suite de sons assimilables à des bruits exempte de toute mélodie (et de toute structure) peut-elle être assimilée à de la musique ? »
Alors, la musique c’est du bruit et du silence. Ainsi que la variation et l’organisation du rapport entre les deux.
L’harmonie et la structure sont des conventions sociales très fluctuantes dans l’espace et dans le temps.
Déjà en 1952, John Cage posait le débat avec son œuvre 4’33’’ qui n’est composée que de silence et avouait être fasciné par le bruit de son frigo. Et encore, John Cage était un compositeur assez imprégné de l’acceptation bourgeoise de la musique de ses contemporains.
Donc 70ans après, je pensais que le débat sur « qu’est-ce qui est de la musique ? » était clos.
Et franchement, après Beast in Black, je trouve ce Kevin Drumm très relaxant. Au casque, c’est assez hypnotique et apaisant.
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J’irais beaucoup plus loin dans le temps que MaNuNoize en citant le manifeste futuriste de Luigi Russolo qui date de 1913 et qui s’intitule L’Art des Bruits.
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Alors, pour apaiser @Skullnbones je propose cet extrait d’un « opéra sans mots » (et sans mélodie)
J’en ai déjà parlé ici, j’ai même peur que certains affreux récidivistes soient capables de connaître et même d’apprécier.
J’ai trouvé que le solo de voix, mais le live complet (avec basse et batterie) se trouve ici
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Tu triches, on a fait le même concert à la Villette, sans se connaitre, il me semble 
Non, je déments formellement : je n’étais pas à la Villette.
J’étais au Lieu Unique à Nantes.
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C’est fou, quelle coïncidence ! Je n’étais pas à la Villette ni au Lieu Unique mais j’ai vu Patton moins d’un mois après l’enregistrement de cette vidéo dans le cadre d’un évènement que j’évoque dans les commentaires de la battle cette semaine puisqu’un des groupes en course en assurait la première partie.
Mon tour, en dehors des deux hurluberlus qui ont squatté le topic aujourd’hui, je ne pense pas que beaucoup connaissent et encore moins qui aiment ce truc !
Peter Brötzmann, Mats Gustafsson et Paal Nilssen-Love interprètent The Fat is Gone, c’est clair qu’ils l’ont plus que dépecé, ils l’ont lardée à l’os la musique !
D’habitude je ne participe pas à ce jeu car j’ai jamais d’idée et je trouve toujours celles des autres géniales. Je me lance aujourd’hui avec Scarlet, un groupe suédois découvert par hasard (ca se trouve tout le monde connait dans ce cas tant pis, j’ai perdu). L’album Obey the Queen, sorti en 2020, alterne entre le bon et le mauvais mais j’aime beaucoup ce morceau d’ouverture
Difficile pour moi le thème de la semaine car je ne crois pas être en capacité de vous faire découvrir quoi que ce soit , outre les pépites d’amour de ma scène locale d’origine (Petrocorie Powaa ! et la superbe asso Some Produkt) pour laquelle je ne suis pas sûre de trouver assez de sources en ligne., d’autant que ça risque de dater pour l’essentiel des années 1990.
Je tente néanmoins ! A défaut d’ANAH (groupe de noise porté notamment par Orion Bouvier), je vous propose Andy’s car crash, estampillé Hardcore mélodique, mais je doute :
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