Rupture? Fin?
A part les Doors, une rupture ( sentimentale) qui m’avait fait du mal, était accompagnée pour moi par ce titre que j’écoutais malgré tout
-Gainsbourg- Je suis venue te dire que je m’en vais
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Avant qu’on ne me le prenne, vite, vite, partageons ce joyau qu’est le « Schism » de Tool, classique me direz-vous, mais c’est un morceau dont la charge émotionnelle (notamment des paroles) arrive à me faire hérisser les poils et me monter les larmes aux yeux pour peu que je l’écoute dans les bonnes dispositions.
En bonus, une version live de 2002 (donc l’image est bien dégueu) mais dont la version alternative me touche particulièrement (bien davantage que la version avec le solo de batterie au milieu qu’ils jouent depuis)
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C’est l’heure des slows avec les Quireboys, sur leur premier album en 1990, titre qui sert à l’heure actuelle de rappel sur leur tournée en cours :
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Les adieux de Freddy Mercury au monde dans Show Must Go On me font monter une petite larmichette à chaque fois.
La fin d’une aventure mais la votre doit continuer
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« Cuir et latex dans la musique extrême » n’a pas été proposé… 
Je fais le malin parceque le thème de la semaine , c’est chou blanc… 
Mais je vais faire un effort pour toi @Skullnbones et trouver au moins un titre !
Ouais désolé c’est loin d’être le thème le plus facile… Par contre pour les idées de thème, c’est bien de les envoyer ou de demander la main pour une semaine en privé au « maître du jeu », histoire de garder l’élément de surprise pour le plus grand nombre 
Il y a parfois des albums étonnants, qu’on aurait jamais cru aimer pour x raisons un peu débiles et on se surprend à l’écouter toujours régulièrement et avec plaisir bien des années après sa découverte. C’est le cas de l’album Mystère du groupe La Femme sorti en 2016 sur le label Born Bad (celui de Frustration dont le batteur gère aussi la boutique du même nom à Paris). J’ai déjà présenté un titre de ce disque sur jesaisplusquelthème, en voici un autre, avec des paroles plutôt cruelles : Elle ne t’aime pas. Je dédie ce morceau à tous les fans de synthés. D’ailleurs, petit défi : je vais tenter cette semaine de jouer qu’avec des titres contenant du synthé pour réhabiliter cet instrument merveilleux.
Olala! y’a une version live plus parlante. Attention les yeux !
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Excellente boutique Born Bad, à Bastille effectivement 
. Je vais écouter La Femme car je ne connais pas du tout !
Doublé (challenge personnel inclus) !!! On ne peut plus soft et en plein dans le mille !!!
Serge et Jane - Je suis venu te dire que je m’en vais.
Ah ouais, c’est vrai : le clavier c’est pas toujours du caca ! J’en veux pour preuve ce titre que d’aucuns diront que c’est un mauvais exemple mais je m’en fous moi j’aime bien et ouais ça dénote un chouïa dans ce que je propose d’habitude 
Bon Jovi « Runaway* » (sans titre - 1984)
(*fugueuse, dans la langue de Molière)
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Je ne suis vraiment pas dedans cette semaine…
Je ne suis vraiment pas dedans cette semaine… Je vais être dans l’obligation de chercher des ruptures plus brutales du coup…
D’anévrisme (au moins !) par exemple 
On va rester dans la chanson française.
Vous demandez souvent à avoir le RO, voici donc le RENAUD
Quand il doit réconforter son pote Manu qui vient de se faire larguer.
Titre de l’album Le Retour de Gérard Lambert (1981).
Enjoy
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Très fan de Renaud de mon côté donc j’adhère totalement à ta proposition . Dommage qu’en live… voilà quoi 
!
Quand je lis Rupture, je ne peux que penser au dernier album des Français de Lost In Kiev. Après recherche, ça ne parlerait pas vraiment de rupture d’un couple ou de séparation d’amis mais plus une rupture sur notre façon de voir le monde. Après sur des morceaux instrumentaux, on peut comprendre ce qu’on veut, non ?
J’adore. Des hectolitres de salives échangés sur cette chanson lors des boums de mes 14 ans.
Totale nostalgie 
Pour moi voici le morceau évoquant le plus la fin d’une histoire, Jean-Louis Aubert - Voilà, c’est fini :
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C’est @jpkv qui m’a fait sentir tout nostalgique avec les Quireboys.
Mes gouts musicaux ont beaucoup évolué depuis mais il restent quelques groupes de cette époque qui resteront toujours. Comme les Dogs d’Amour (When the dream has gone) :
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