On a vu enfin le 3ème épisode de The Last of Us. Une pépite !
RIP Bill et Frank 
Sinon, j’ai commencé l’animé Demon Slayer 
.
1 « J'aime »
Je m’étais dit exactement la même chose après la S01 mais la S02 de White Lotus vaut la peine. Elle comprend un épisode de plus que la S01 et se passe en Italie avec un seul personnage récurrent (la vielle bimbo américaine). Y’a plus de personnages, plus de nationalités, donc plus d’intrigues et d’aventures ! Je l’ai vue en famille, en 3 soirées, et nous avions tous hâte d’être au lendemain pour voir la suite (parce qu’elle est construite sur le même modèle que la S01, avec un cadavre inconnu qu’on devine celui d’un client de l’hôtel mais lequel ? La réponse au dernier épisode !)
Je viens de m’apercevoir que j’ai toujours confondu Yellowstone et Yellowjackets… cftvgbhnjk,l;mkjhg
Bon j’ai fini la saison 4 de Yellowstone (Yellowstone Poulain, pas Yellowjackets 
).
Je pense faire une petite pause avant d’enchaîner sur la 5ème. Ca devient un peu trop gnangnan pour moi, trop de scènes d’amour, de sentiments et pas assez de péripéties haletantes contrairement aux deux premières saisons.
Ca n’en fait pas une mauvaise série, mais quand je regarde une production dramatique, le dernier truc que je cherche c’est les nombreux passages sentimentaux. Je reviendrai quand même finir la 5è saison mais après.
Je pense sûrement enchaîner sur l’ultime saison de Succession, en espérant qu’elle soit aussi riche que les précédentes et qu’elle me captive à force de coups bas et péripéties qui laissent sans voix.
Si j’ai besoin de faire une pause (probablement pas) je me lancerai parallèlement dans The White Lotus.
Sans oublier 1883 et 1923 
(j’ai pas accroché à Yellowstone, mais ces deux prequels sont top !)
Oui je les avais notées ! Mais ça sera après la saison 5 (et donc après la pause qui arrive). Comme pour la musique, je me jette dans ce qui, autrefois, m’aurait repoussée 
.
1 « J'aime »
Il y en a qui ont regardé Caro Nostra vendredi soir sur la 2 ? Mini-série en 5 épisodes rapides narrant les aventures rocambolesques et gastronomiques d’une famille d’ogres quasi-immortels tentant de passer inaperçue dans le Paris actuel.
La première minute, je me suis dit que j’allais changer de chaîne, puis je me suis laissé prendre au jeu. Ca m’a rappelé Highlander et Delicatessen.
Suite et fin la semaine prochaine. Rattrapage pour ceux qui le souhaitent ici :
@Skullbones : Bien que tu aies des goûts douteux en matière de cinéma, je continue à suivre tes recommandations concernant les séries TV. J’avais complètement oublié que c’était toi qui m’a fait découvrir Station Eleven (merci aux archives et au nouveau moteur de recherche performant 
). Je l’ai revue 14 mois après le premier visionnage (truc que je fais pourtant jamais) et après la lecture du roman dont la série est l’adaptation et j’ai encore plus kiffé le show ! J’ai compris plus de trucs dans les dialogues (car extraits de la BD fictive), j’ai aussi plus de recul par rapport à la pandémie qu’on vient de vivre, le propos a trouvé encore plus de résonances en moi et mes sentiments se sont intensifiés… Bref, Station Eleven vient de détrôner Breaking Bad dans mon coeur 
En plus, j’ai réalisé que l’illustratrice qui a pondu les images de la BD dans la série s’était inspirée de veilles estampes japonaises d’un artiste relativement peu connu et dont je suis un fan aussi. Nous possédons tout deux le même ouvrage monographique rare qui m’avait couté un bras. J’en avais même reproduit une en mural avant la pandémie. Le hasard n’existe pas.
Bref, tout ça pour dire que je viens de tenter, sur tes conseils, 1883, dont les critiques sur Bétasérie sont aussi dithyrambiques, et bien je l’abandonne après 2 épisodes. J’accroche pas du tout. Je trouve que ça sonne creux et c’est rempli de scènes déjà vues, voir complètement clichées. En plus, avec leur montage classique, je sais déjà comment tout fini donc l’histoire me parait cousue de fil blanc et je préfère me faire confiance là-dessus. J’ai pas envie de me faire chier comme je m’étais fait chier sur Peaky Blinders ou Boardwalk Empire parce que séries tellement convenues. Se fader ça juste derrière Normal People + Station Eleven, dont je vis leur achèvement comme une sorte de deuil et qui a fait monter la barre très haut en terme d’exigence, c’est juste pas possible. Ce serait comme rouler en Peugeot 205 après avoir voyagé en Ford Mustang : nope !
On a terminé The Last of Us : j’avais une énorme attente, du fait que j’ai adoré les deux jeux. Cette saison 1 reprend effectivement la trame du premier jeu et s’en sort avec les honneurs. Une belle performance !
Hâte de voir la saison 2 qui devrait, logiquement, reprendre la trame du deuxième jeu et là, pour ceux qui l’ont fait, on va monter d’un cran dans la violence… Si le cœur du premier jeu, c’est effectivement la création du lien si précieux entre Ellie et Joël, le deuxième jeu, c’est un énorme cycle de vengeance avec des scènes ultra marquantes.
Je viens de terminer l’arc « Le Train de l’Infini » de Demon Slayer et cette fin… Ouah que d’émotions ! Demain, j’enchaîne avec la vraie saison 2 (Arc « Le Quartier des Plaisirs ») pour être plus ou moins à jour quand la nouvelle saison arrivera (soit dans 3 jours haha !).
Je déclare la 2e saison de Yellowjackets OU… VEEEEEEERTE !!! 
J’ai toujours eu une fascination pour les gens célèbres qui meurt dans l’exercice de leur passion (Ayrton Senna, Bruce Lee, Dimebag, Régine Cavagnoud, Patrick Bourrat, Loïc Leferme, Tabarly, etc…). Cette semaine, j’ai découvert par hasard l’histoire d’un couple de volcanologues français qui a périt en 1991 dans une coulée pyroclastique lors de l’éruption du Mont Unzen au Japon. Ils s’appelaient Katia et Maurice Krafft. Pour en savoir plus, je me suis tapé 2 soirées à regarder des films documentaires sur eux :
- Fire Of Love (Sara Dosa, 2022) :
Celui que j’ai préféré. Il retrace l’histoire du couple, de leur rencontre à leur décès, avec plein d’images d’archives TV et d’extraits sublimes de leur travail vidéo (lui) et photographique (elle) car leur spécialité était de s’approcher au plus près des éruptions volcaniques pour documenter les phénomènes en image. On y trouve entre autre une scène hallucinante où Maurice et un collègue naviguent à bord d’un petit bateau gonflable sur un lac d’acide tandis que Katia se fait un sang d’encre à les attendre sur la berge. Ils mettront plus de 3h pour regagner la rive à cause du vent !!
- The Fire Within A Requiem : For Katia and Maurice Krafft (Werner Herzog, 2022)
C’est un film hommage d’un documentariste à d’autres documentaristes. On retrouve beaucoup d’images vues déjà dans Fire Of Love mais de moins bonne qualité générale. C’est Herzog lui-même qui les commente en voix off en partageant son point de vue sur leur travail. Il aborde également les autres films du couple durant leur nombreux voyages en marge de leurs études sur les volcans.
- Face au Volcan Tueur / Facing the Killer Volcano (Jérome Cornuau, 2011)
C’est un docu-fiction à sensations diffusé sur France2 en 2012 sur l’éruption du Mont Unzen et des derniers jours du couple Krafft. Ce sont deux acteurs français qui interprètent Katia (Claude Perron) et Maurice (Mathias Mlekus). Ils rejouent des scènes vécues (vues dans Fire Of Love) et d’autres fictives à partir de différents témoignages, le tout mêlé à des images d’archives japonaises pour replacer l’action dans son contexte. Il y a un vrai soucis d’authenticité dans les costumes, les décors, les accessoires, la réalisation (qu’on croirait daté de 1991), etc… Le climax du film étant leur mort (et celle de 46 autres personnes restées dans les environs volontairement pour des motifs professionnels).
Le pitch officiel : Le 3 juin 1991, sur l’île de Kyushu au Japon. Tous les regards sont tournés vers le mont Unzen, en activité depuis plusieurs semaines. Journalistes et photographes avides de sensations fortes attendent l’éruption spectaculaire qui s’annonce. Sur le devant de la scène, Katia et Maurice Krafft, les célèbres volcanologues aventuriers, s’apprêtent à être les témoins privilégiés d’une explosion magistrale, avec en point d’orgue, d’impressionnantes nuées ardentes ! Un phénomène que Maurice ne veut manquer sous aucun prétexte. Il voit là l’opportunité de réaliser, une fois de plus, de magnifiques prises de vue. Katia, elle, hésite à s’élancer sur les pentes de ce volcan qu’elle connaît peu. Mais le désir est trop fort. Malgré les risques, les époux Krafft s’approchent au plus près du volcan, pour le meilleur et pour le pire
En bonus, j’ai fini par me mater un quatrième film documentaire sur un thème similaire :
- The Volcano : Rescue From Whakaari (Rory Kennedy, 2022)
Le pitch officiel : Vidéos sur le vif et témoignages de survivants et de sauveteurs sont au cœur de ce documentaire saisissant sur l’éruption volcanique meurtrière de 2019 en Nouvelle-Zélande.
Résumé : des touristes visitent au cours de leur voyage organisé un volcan immergé en pleine mer à 48km du rivage, et dont seul le cratère dépasse. Ils vont jusqu’au lac d’acide fumant et bouillant, prennent des selfies et s’apprêtent à repartir. Pas de bol, le volcan explose à ce moment-là. ll fera 25 morts. Cette fois, pas de fiction, toutes les images sont réelles, prises par les touristes eux-mêmes et les sauveteurs.
3 « J'aime »
Je me souviens d’un reportage dans lequel Katia Krafft disait qu’ils n’avaient pas d’animal de compagnie ni même de plantes vertes car ils pouvaient disparaître à tout moment lors d’une éruption… Elle avait malheureusement raison. 
Dans Fire of Love, les commentaires expliquent aussi que le couple a fait le choix de ne pas avoir d’enfants pour garder leur liberté de mouvement et se consacrer entièrement aux volcans. De mémoire, Maurice a assisté à 150 éruptions et Katia 170.
Je me souviens quand leur mort avait été annoncée rn 93…
J’ai vu un doc sur eux récemment…lequel par contre…
Merci des références et des détails sur les différences 
Désolé si je donne l’impression de monopoliser ce topic et de partager tout ce que je regarde…
mais j’ai encore eu un super coup de coeur hier soir en regardant un film génial que je vous recommande absolument et dont je n’avais jamais entendu parler avant : Don’t Look Up (Adam McKay, 2021).
C’est une satire de la société occidentale contemporaine et de l’Amérique en particulier, qui peut être vue comme un cri d’alarme sur le changement climatique et plus largement sur la gestion politique, médiatique et scientifique des graves crises qui bouleversent le monde. C’est plein d’humour (je rappelle que l’humour ne cherche pas à faire rire) et bien réalisé et le casting défonce tout (Cf. les noms sur l’affiche). Ce film n’est pas sorti au cinéma et c’est bien dommage. Il s’agit d’une production Netflix qui mériterait d’être vue par le plus grand nombre. Je vous livre pas le pitch officiel parce qu’il en dit beaucoup trop et vous priverait de la surprise du récit 
Eh bin pour une fois (non c’est pas vrai) je vais être à l’opposé de ton avis. J’avais DE-TES-TE ce film. Cliché à souhait, les gentils vs les méchants, la simplicité avec laquelle ce sujet a été traité, rien n’allait pour moi. Un film fait sur la base d’émotions et du « rien » s’agissant du fond, pour traiter un sujet très complexe. Et surtout surtout, le catastrophisme du film me dépassait totalement. S’ils l’avaient voulu vraiment comédie, j’aurais pu en rire, mais là ce film ce voulait un shot de réalité pour les spectateurs.
1 « J'aime »
AHAHA ! Clichés ? Mais c’est une satire ! C’est justement le but de porter en ridicule nos comportements ! Le personnage de la présidente des USA incarnée par Meryl Streep est grotesque, on est d’accord, mais n’empêche qu’il est fictif et qu’un mec décérébré comme Donald Trump existe bel et bien et il a réellement occupé cette fonction et qu’il s’est vraiment demandé si s’injecter de l’eau de Javel pouvait neutraliser le Covid-19 !!
C’est pas les gentils contre les méchants, c’est les scientifiques dotés de savoirs, de connaissances et de lumière contre les gens ignorants et/ou cupides.
Le sujet est sérieux mais il n’est pas si complexe que ça. Il suffirait que la majorité de la population s’informe au lieu de croire et se cultive au lieu de se divertir pour faire bouger les choses dans le bon sens. Il n’est pas normal que, dans une société soi-disante développée, le mensonge voyage plus vite que la vérité et que des faits soient démenti par des opinions. Ce film est une loupe sur la société. En ce qui me concerne je raffole de l’humour absurde et j’ai été servi jusqu’à la fin (il y a une scène post générique délicieuse !).
Regarder un film et constater que ceux qui l’ont fait sont d’accord avec moi (et une poignée d’autres) pour dire qu’on marche sur la tête, que les pouvoirs publics sont pires que des clowns puisqu’un clown n’aura jamais la prétention d’agir pour le bien public autrement qu’en nous divertissant 5 minutes, qu’on va droit dans le mur pied au plancher et le sourire aux lèvres, etc., etc. : ha-ha-ha oui qu’est-ce que c’est drôle 
1 « J'aime »
Je pense que là est la source de notre vision différente. Pour moi, la satire doit avoir pour base la réalité. La réalité aujourd’hui n’est pas celle des scientifiques qui écument les plateaux pour prévenir des risques et conséquences qui nous attendent. Ces plateaux voient invités des idéologues, des militants, des catastrophistes (parce que ça vend mieux), plutôt que des scientifiques au regard objectif et factuel sur le sujet. Pour un exemple plus concret, en France, on invite rarement ceux qui ont produit les rapports en préférant ceux qui les interprètent. C’est donc pour ça que ce film ne m’a pas convaincue et c’est pour ça que je parle de gentils vs méchants. Et je vais m’arrêter la dans la critique du film, car au-delà, je rentre pleinement dans le débat sur le climat et sors donc du sujet du topic.
Et je tiens à préciser tout de même que le fait que je n’aie pas aimé ce film ne veut pas dire que je ne crois pas qu’il y ait un souci.
Si tu cherches, il existe au moins 2 vidéos extraites d’émissions TV françaises (28minutes sur Arte et un débat animé par Pascal Praud sur une chaine que je ne citerai pas) où des scientifiques sont invités sur les plateaux et leur paroles complètement raillées et moquées par les animateurs secondés par leur équipe parce que leur discours catastrophique ne plait pas. On n’est pas dans la fiction là. Le film se base bel et bien sur une réalité et elle est certainement plus établie aux States qu’ici. D’ailleurs, je trouve ça absurde de l’affirmer tellement ça crève les yeux !
Après, toi ou Skull, avez le droit de ne pas apprécier le traitement, de trouver qu’il ne faut pas parler avec légèreté de sujets sérieux parce que ça le décridibiliserait, etc… Je trouve pour ma part qu’on touche plus facilement au but via l’humour quand c’est fait avec intelligence et créativité mais tout le monde n’y est pas sensible et c’est très regrettable.