Par moment, ça me fait penser pour le chant. à Niklas de Shining à d’autres à Dagon d’Inquisition …( From the Dark park par exemple)
Du coup, ça me fait plonger dans les basics! Merci.
@Infestus et ceux que ça intéresse
Grâce aux recherches pour le jeu Titr-O- Rama
Je me disais que Sinister me disait quelque chose en temps que groupe. Donc vu au Netherland Death Fest de 2017.
J’ai retrouvé un report :
lis le petit report d’Horna …interessants commentaires sur ce que leur musique apporte et sur les différences entre certains groupes musicalement…
Court, mais bien.
Et à chaque fois, que je lis des reports sur ce Fest que j’ai fait en 2017, 18, 19 avec Erzewyn, Dextronaut, Lestan , Chrisôô, et Harry666, j ai un gros pincement au coeur, mais me dis que j’ai eu une sacrée chance de pouvoir y aller avec cette team et de faire d’énormes découvertes de groupes…
@Infestus
CoreAndCo a fait un report sur les concerts du Garmonbozia 1 er jour…j’adore les éclairages , sur les backdrops suivant les couleurs, ça met en valeur certaines parties et créent une ambiance différente qui accompagne la musique bien sûr!
J’ai bien aimé les 2 groupes mais j’ai un petit doute sur l’utilité des 12 minutes de la 2ème chanson d’ Asarhaddon.
Et pour Hauntologist, on est encore plus chez Mgla qu’à première vue car c’est M, créateur et chanteur de celui-ci, qui s’occupe du mix et du mastering de l’album. Du bon travail en famille.
A part ça, au rayon sortie à venir, Darkspace sort son nouvel album, Darkspace -II, dans 2 semaines. Leur 1er depuis en 10 ans. 1 seul titre de 47 minutes dont voici les 3 premiers extraits.
Il y a également le nouvel album de Vredehammer à venir prochainement. Les 2 morceaux parus récemment, dont l’un est prévu sur la nouvelle galette nommée God Slayer, nous amène dans un Black/Death plutôt moderne et de qualité supérieur. Si on prend en compte la présence de Nils « Dominator » Fjellstrom en batteur de session derrière les fûts, cela ne peut être que de haute facture en terme de rythmique.
Vu que je n’arrive pas à conclure la présentation de mon dernier groupe australien, je m’en vais vous proposer les recalés de cette excursion en terre aborigène. Pour diverses raisons, ceci n’ont pas eu le droit à leurs focus.
Le Black froid et violent du One-Man Band Paroxysmal Descent.
Le Black mélodique de Thrall.
Le Black atmosphérique du « super groupe » Unfelled (avec des membres de Drudkh, Woods Of Desolation et Austere).
Le Black tendance Brutal de Christ Dismembered.
Le Black instrumental d’Úkryt.
Le Black raw et dépressif des éphémères Nox Inferi.
Le Black mélodique de qualité des tauliers de Pestilential Shadows.
Et j’espère à bientôt pour la conclusion de ce voyage.
@ Infestus
en évoquant les souvenirs et The Great Old Ones, j’ai retrouvé aussi ce report
très belles impressions sur TGO et sur ( of Course ) Der Weg Einer Freiheit!
@ syagrius-29
un autre concert, cette fois au Ferrailleur en 2015 de TGO et de Shining ( Nicklas ) . Je comprends mieux pourquoi, j’avais pu avoir une photo avec lui…Gros moment d’émotion pour moi, grâce à Mordred qui avait intercédé auprès du mec de la com
Ultime proposition de cette fournée australienne qui se sera étalée sur de bien trop nombreux mois. Direction la Nouvelle Galles du Sud et la ville de Sidney pour clôturer ce voyage en terre aborigène.
J’ai aimé, beaucoup aimé cet album quand je l’ai découvert il y 3 ans.
Je l’ai écouté, beaucoup trop écouté pour pouvoir l’oublier un jour.
Je me devais de finir par ces inconnus.
chronique
EOS - THE GREAT ASCENSION
Unique sortie de cette entité sans visages nommée EOS, The Great Ascension n’en est pas moins une réussite incontestable. Semblant avoir sommeillé pendant plusieurs années avant de sortir en 2020, cette œuvre est pourtant résolument moderne. Je me rends compte depuis quelques temps que je trouve de plus en plus mon bonheur dans un Melodic Black Metal qui essaye de sortir des sentiers battus et rebattus depuis des années. On est ici sur une version Raw et agressive de cette mouvance mais tout en y trouvant une part d’Atmospheric dans les compositions. Ce mélange n’est pas courant et là est bien l’intérêt de cette création. Cet album est un concentré de violence musicale et vocale de bout en bout. J’y capte une sincérité et une brutalité qui me touche au plus profond de mon âme d’amateur de cette musique. La douleur exprimée de différentes manières par le chant est une composante des plus importantes de cette œuvre désabusée. La souffrance qui transpire de la voix de ce chanteur dont on ne connait pas le nom me semble inédite dans les très nombreuses écoutes que j’ai pu faire de cette musique depuis 25 ans. Tant de bestialité passe par le son de sa voix que cela en est écrasant. J’ai rarement été marqué par une tessiture comme celle-ci dans le Black Metal. C’est tout simplement remarquable. Pour accompagner cette fureur, des mélodies rapides et rythmées emmenées par des guitares en première ligne créent un écrin englobant le tout sans le noyer dans du blast étouffant. Passant d’un déferlement de batterie destructeur à du mid-tempo mélancolique posant une tristesse palpable, le déroulé de cette pépite est juste parfait dans ce que j’attends de ce style. Des riffs accrocheurs, des passages presque Doom ou légèrement Heavy, des superpositions de voix comme dans Draugar, il y a plein de choses plaisantes. Certains trouveront probablement l’enchainement monotone car les morceaux semblent se ressembler à la première écoute mais ils sont pourtant bien différents les uns des autres et cela pour créer un bloc homogène formant un tout. Et puis, pour couronner l’ensemble sans le terminer puisqu’il reste un titre à suivre, pourquoi ne pas se lancer dans un petit cover ? Il n’est pas courant de reprendre une chanson d’un groupe culte (Lord Belial pour ne pas les citer) et d’en faire un morceau encore meilleur. C’est pourtant le cas ici. Black Winter Bloodbath est d’une puissance brute des plus réjouissantes. Un bel hommage envers les vétérans suédois. En somme, 7 chansons et moins de 35 minutes de ce que devrait plus souvent être un album de Black Metal : De l’émotion dans sa plus simple expression, celle qui vient des tripes. Un point c’est tout. Putain, que j’aime cet album.
Temple
Artiste non présent en 2024
Je ne sais pas si j’ai encore envie de faire des chroniques après avoir eu tant de mal à réussir à trouver les mots justes pour mettre en lumière cet album. Des semaines d’aller et retour sur ce fichier Word qui n’avançait pas m’ont découragé.
Rotting Christ (2024)
Extrait du futur album des grecs avec un titre mélodique, aux parties de guitares magnifiques.
Toujours la grande classe ce groupe
L’album sortira le 24 mai.
J’espère que ce n’est pas ton requiem mon cher Infestus ! Tu nous fais découvrir plein de belles choses (mais ne t’oblige pas à faire des chroniques à chaque fois bien sûr !). En tout cas, vu le coeur que tu as mis dans la chronique, je me suis noté d’écouter l’album dans la semaine . Merci à toi !
Moi aussi je me mets l album de côté…
Merci encore pour cette chronique. Mais, on est quelques uns à lire…
j’écoute souvent, mais plus tard et j’ai fait de très belles découvertes, grâce à tout ce que tu disais…je les aurais pas faites sinon .
Pause pour mieux rebondir, comme dit Valhalla?
Dommage de priver le forum, de découvertes potentielles, de ce grand style!
Je sais que tu es découragé par le manque de réactions, mais ne crois pas que ça a été pour rien et la meilleure preuve ,c est quand tu as redéterré des pépites de l ancien topic…et que ça a intéressé des personnes qui ne seraient pas allés chercher là bas! ( perso j y aurais pensé, mais facilité quand y a du rappel
Après, tant pis…on fait ce qu on peut! Et garder le moral est important…surtout quand on sort ses tripes, qu’ on passe du temps, et qu’on a l’impression que tout part dans le vent…
Grâce à toi @Infestus : j’ai fait de belles découvertes musicales et tu m’as permis d’aller voir des trucs autrement pointus « sous la tente des voisins » à Clisson. J’espère également que c’est juste une pause.
2 éme écoute de cet album! Et ce ne s’arrêtera pas là…
J’ai pleuré sur Draugar…il m’en faut pas beaucoup? Chuis une petite chose fragile? Ecoutez vous verrez…sur Draugar d’autres voix viennent à un moment…ce sont des voix enregistrees du chanteur ou les autres musicos accompagnent?
Le chanteur a une sacrée voix, voir Memento Mori.
Sur Black winter Bloodbath, par moments, il chante moins fort ( batterie plus mise en avant? ), mais c’est tout aussi puissant…et ces guitares, par exemple vers 3’10, un air prenant…!!
Y a plein de moments plein de puissance, et d’émotions!
Je te suis vraiment reconnaissante Infestus pour les découvertes que j’ai pu faire en black et que je n’aurais jamais eu l’occasion de faire autrement.
Désolée pour mon manque d’assiduité, les problèmes d’oreille et de migraine ne me permettent pas souvent d’écouter des growls ou des batteries bien énervées, mais j’ai une vraie liste dans laquelle je pioche et des découvertes que j’écoute régulièrement comme Khold ou Nyrst que j’ai absolument adorés.
J’espère que ce ne sera pas définitif et même si ça l’est, je te remercie infiniment pour le temps que tu prends à nous faire découvrir des pépites.
Très bon album que j’ai beaucoup apprécié à la première écoute, mon titre préféré étant « Black Winter Bloodbath » d’une efficacité remarquable. Merci pour cette belle découverte !
J’en ai profité pour écouter les 3 titres de Hyrgal (je n’avais jamais écouté le groupe avant) et, effectivement, c’est très intéressant. Les albums passés sont du même acabit ? Le chant Français se marie tellement bien avec le Black Metal de toute façon.
@Gonzo49ers je ne sais jamais sur quel pied danser avec Rotting Christ. La frontière est fine entre épique et kitsch, surtout avec eux ! Mais j’aime bien ce nouveau titre, sans non plus le trouver incroyable.
va sortir son nouvel album cette année sur le label Les Acteurs de l’Ombre. Un premier titre en écoute :
) Der Weg Einer Freiheit!
tu es le seul à me faire écouter du black 
. Merci à toi !
