Concerts - Annonces & Reports

18 février au Supersonic

𝐎𝐅𝐅 𝐝𝐮 𝐏𝐎𝐒𝐓 : Love Letter • Heavy hex • Dad Magic / Supersonic (free entry)

C’est notre grosse annonce post hardcore de la rentrée pour vous! Après un été à poncer leur nouvel album incroyable 𝘌𝘷𝘦𝘳𝘺𝘰𝘯𝘦 𝘞𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘚𝘰𝘮𝘦𝘵𝘩𝘪𝘯𝘨 𝘉𝘦𝘢𝘶𝘵𝘪𝘧𝘶𝘭 on retrouvera Love Letter, nouveau projet de Jay Maas de Defeater et Quinn Murphy de Verse en concert au Supersonic, en compagnie de Heavy Hex et Dad Magic !

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Ouah quelle chance. J’ai écouté l’album de Love Letter cette semaine, il est vraiment dingue.

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Ce que j’ai entendu du dernier album tout à l’heure ne m’a pas franchement enchantée :confused: Alors que j’ai un très bon souvenir du seul concert que j’ai fait avec eux en tête d’affiche.

Ça j’en serai :blush:

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Ah je pensais te voir contente car ils passent par Toulouse. À voir la setlist s’ils font suffisamment de titres en dehors du dernier album ?

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il y a + de 30 ans 110 francs pour aller voir Metallica à Paris en 92 je crois

THE EX - Épicerie Moderne – Feyzin.

LILA EHJÄ + RENDEZ-VOUS – Transbordeur (club) – Villeurbanne.

THE EX.

Bien sûr, il y a cette joie de jouer / ces petits riffs répétitifs / cette énergie qui ne s’essouffle pas depuis 45 années (The Ex a été fondé à Amsterdam en 1979, dans la coquille éclatée d’un mouvement punk arty et d’avant-garde, bientôt mâtiné de post-punk et d’influences des Balkans ou d’Afrique). Bien sûr il y a cet humour qui les rend si humains et si proches d’un public frôlant la soixantaine, comme on frôle avec délectation la peau d’un être aimé / avec qui on a passé maintenant quelques décennies (Arnold de Boer a commencé le concert en disant « Bonjour. Nous avons 10 nouvelles chansons et nous allons les jouer une par une » et j’ai rigolé / la bonne blague / et c’était vrai). Bien sûr le concert était génial. Mais ce que j’ai aimé par-dessus tout, c’est un son, LE son de la très belle / cabossée / rafistolée / guitare baryton de Andy Moor / regroupant les cordes pour faire remonter du passé l’énergie du punk // intercalant une règle de métal dans celles-ci pour refroidir / métalliser / électriser cette énergie // les jouant une par une pour épeler chaque note / se délecter / jouir des fréquences les plus basses. En rappel, deux classiques – The heart conductor / Soon all cities) et oui, comme Berthe Silva (un peu), on peut chantonner : On n’a pas tous les jours vingt ans / parce que soixante c’est trois fois vingt / et avec The Ex c’est trois fois mieux.

LILA EHJÄ

J’étais venu pour elle / première partie d’un second Rendez-Vous qui me passionnait moins. Ce petit bout de femme / portant l’étendard de Darkthrone / seule avec sa guitare et ces loopers / empile des vignettes glacées de froide wave / batterie électronique / sons de basse électronique parfois / nappes de guitare qui vont du glacial / black metal / stridences / vers des vagues d’énergie / badigeonnées sur des murs froids par une guitare saturée. Le concert se termine par une sorte de jouissance solitaire / pourtant partagée avec un public clairsemé / et deux morceaux dont le premier nous dérouille / malgré cette rouille qui gangrène le titre (Rust) / et un second que je n’ai pas identifié / espèce de rave / ou de rêve proche du cauchemar / salement électrifié / qu’elle a laissé mourir sur la scène qu’elle a quitté / pendant qu’agonisaient les boucles et les larsens. Restent les froides fragrances de Lila / d’un mauve glauque / fleur d’hiver / le cœur réchauffé.

RENDEZ-VOUS.

Les partisans d’Ehjä se retirent au balcon / ou au fond de la salle / pour cultiver les dernières fleurs. Un public très jeune s’amasse devant la scène. Rendez-Vous, que j’avais peu préparé / repéré des titres sur lesquels j’avais rédigé l’étiquette post-punk / ajoute à cette froideur et aux lignes de basse / une et souvent deux guitares saturées / double dose de percussions / des paroles parfois scandées / des hymnes chantés à l’unisson (Sentimental animal / Distance / Euroshima) / dans une fosse en ébullition. Ce groupe / je crois / a rendez-vous avec demain / tant ce public de gamins / honore la convocation.

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sur Tours en novembre



le 11/11/24 the exploited au Bateau ivre Tours

[CONCERT] TOEKAN + HAVE the MOSKOVIK + UNDER THE SWELL @Le Jéricho

  • Date: 9 novembre 2024 19:00 – 23:00
  • Lieu: Le Jéricho à Saint Pierre des Corps
    TOEKAN
    Post Metal • Tours • Release Party
    HAVE the MOSKOVIK
    Musique populaire post-mélodramatique • Orléans
    UNDER THE SWELL
    Post-rock . Tours

Normallement je sors le 9 novembre…

Ah ouais, je confirme, j’y étais. Excellent souvenir !

Bonjour a tous, petit retour sur le concert de Powerwolf au Zenith de Paris ce jeudi 17 octobre.
Temps pluvieux et bien mouillé, mais on a réservé une chambre à l’hôtel The Remix a coté donc on a pas trop a marché sous la pluie.
Arrivé au Zenith 17h30 pour un début de concert a 18h30, très peu d attente au niveau de la fouille.
Un petit tour pas le merch et ensuite on s’installe en gradin (envie de changer de la fosse),
le concert démarre avec WINDROSE (6 chansons), groupe italien connu pour sa chanson Diggy Diggy Hole, très bonne ambiance, public réactif, juste un peu déçu qu’ il n’est pas passé le remix techno de Diggy Diggy Hole, que nous avions eu au Transbordeur à Lyon et qui était très sympa.

L’enchainement se fait bien avec Hammerfall, groupe que je connais et aime un peu moins mais qui a su tenir le public (peut être un peu trop de chansons a mon gout , 12 chansons).
Installation du décor, la salle se remplie bien.

Powerwolf démarre et le public a très bien répondu, debout dans les gradins aux moments opportuns, battement de pieds et applaudissement entre chaque chansons.
On sent le public de fan qui connaissent bien les chansons car le chanteur (qui s’exprime en francais), n’a pas pu finir ses moments de chants avec le public tellement celui ci anticipait.
Bref d’apparence un tres bon moment pour le public et pour le groupe, avec un public qui rentre dans le jeu du pianiste et scande son nom : Falk!
Une petit spécialité pour le public Français avec la chanson Bete du Gévaudan en Français.

La fin du concert gâchée pour moi par un mec bourré, qui avait rien a faire du concert, et qui s’amusait a aller taper plusieurs fois sur l’épaule des gens puis partir en courant, jusqu’ a ce que ca s’énerve. Et qui du coup m’a sorti de l’ambiance du concert.

Mais dans l’ensemble un super souvenir,
Quelques changements de chansons pour intégrer le nouvel album, plutôt réussis et une belle communion avec la meute.

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Merci pour ce report ! Powerwolf, c’est pas ce que j’écoute, mais je garde un bon souvenir de leur passage au Knotfest à Clisson en 2019. J’imagine que c’est le genre de groupe avec une scénographie assez balaise. Tu confirmes ?

oui, décor en forme de ruine de cathédrale, effets de fumée, jets de flammes, écran arrière avec représentation des loups garous selon la thématique de la chanson, et figurants habillés en moines portant des torches en flammes

Cool ! Ca doit plaire au public !

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Vu au zenith de Nantes quelques jours avant et effectivement, très bon concert, grosse scéno’ ! J’étais en fosse et l’ambiance était assez folle, ça bougeait énormément, bien plus que je n’imaginais ! Je les avais vu 2 fois en festival avant, j’avais donc peur d’être un poil déçu par la redit de certains passage mais pas du tout, on se laisse totalement embarqué.

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C’était hyper efficace, et rarement vu le public parisien aussi joyeux et festif. La dernière fois que j’ai vu un bordel comme ça, c’était pour Amon Amarth, mais la salle était clairsemée (et les gens se barraient pendant Machine Head, qui assurait le co-plateau.
C’est pas mon groupe coup de coeur, mais la prestation de la semaine dernière, oui.

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Merci pour le report, ça semble avoir été une excellente soirée. J’avais hésité à prendre une place, j’avais beaucoup apprécié leur passage à Clisson en 2023. A faire à leur prochain passage !

Obituary prolonge un peu après la tournée de Sepultura. 30 Novembre au Cabaret Sauvage avec Sadus. Bon c’est du Live Nation hein …

Merci pour le report :slight_smile:

Vraiment chiant les mecs bourrés en concert… (les mecs bourrés tout court d’ailleurs :smiley: !)


Limp Bizkit de retour en France à l’Accor Arena en avril!

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Live-report : Speed + End It + Life’s Question + Whispers + Deviant - Glazart (20/10/24)

LE gros plateau Hardcore de ce dernier trimestre 2024 à Paris, c’est bien celui-ci. Arak Asso revient aux affaires avec le « Flatspot World 2024 » soit la tournée de 4 groupes signés chez Flatspot Records. Le public a bien compris que c’était la date de l’année puisque le Glazart fut complet hier soir.

Après avoir retrouvé un nombre très très conséquent de potes et connaissances (dont Miilu, @Mikaka et marmoudah du Discord), Deviant attaque les hostilités. Seul groupe Français (et Parisien) de l’affiche, remplaçant Silver (Hardcore Italien) ayant annulé sa tournée, Mathias et sa bande envoie du gros Hardcore tough guy bien vénère pendant les 20 minutes de set qui leurs sont alloués. Je suis très content de les revoir (3ème fois !) car depuis, ils ont sorti un excellent EP, « Dark City », forcément bien représenté dans la set-list ce soir. La salle est déjà bien remplie et les mosh arrivent dès le premier titre. J’ai rarement vu autant de monde mouliner dès le tout premier groupe pour être honnête. Je me prêterai bien sûr un peu au jeu, faut bien se dégourdir les jambes (et les bras !). Deviant a évidemment pris du niveau, même s’ils m’avaient déjà fait une excellente impression lors de leurs précédents passages. Très bonne prestation de nos locaux, observés de très près par le chanteur de Speed présent sur le côté de la scène, le sourire aux lèvres.

Je vais aller direct dans le vif du sujet : ma plus grosse attente de la soirée, c’était Whispers. Premier passage en France (et Europe je pense) pour les gars de Bangkok qui font du Hardcore très inspiré de… Kickback. C’est impressionnant de voir l’aura et l’impact qu’à eu ce groupe Français sur la scène Hardcore nationale mais également mondiale. D’ailleurs, le chanteur déboulera avec justement un t-shirt Kickback sur les épaules, histoire de rappeler que c’est quand même leur influence principale (rien que la voix est sensiblement la même). Bref, Whispers déboule et… ba j’ai rarement vu un pit aussi énervé en concert. C’est simple, c’était littéralement une guerre ouverte au milieu du Glazart. Impossible d’aller mosher sans s’en prendre une au passage, c’est dire ! J’ai tenté une ou deux fois (mon côté maso sûrement) mais j’ai vite fui sur les côtés. Niveau son, on a vraiment l’impression d’entendre le Kickback période « Forever War » avec tout ce qu’il faut de négativité et de violence. Whispers a aussi joué son nouveau titre « Retribution » (tiré d’un EP à venir cette année) où la voix s’éloigne justement de ce côté « worship Kickback », du moins en studio (en live, j’ai pas franchement vu la différence pour être franc). Puis arrive ce moment où le QI, déjà bien bas, a fini en négatif : des membres de Headbussa/Worst Doubt montent sur scène, prennent la place de Whispers (c’est un peu le bordel en vrai, tout le monde sur scène, on ne sait plus trop qui fait quoi haha) et jouent une reprise de Kickback (« Forever War »). Vous vous doutez bien que Whispers x Headbussa x Kickback, ça ne fait pas dans la finesse. Bon, on a un peu dépassé la limite à mon sens quand Hugo de Worst Doubt a balancé le pied de micro dans le public, blessant une personne dans la foulée (pour le coup, c’était vraiment pas malin de faire ça). Un set d’une intensité (et d’une violence) rare, avec son lot de blessés (j’ai cru comprendre qu’il y a eu quelques cocards mais aussi des doigts cassés !) mais un concert tellement incroyable qu’il finira dans mon top de l’année.

Les Ricains de Life’s Question prennent donc la suite et je savais d’avance que l’intensité allait descendre d’un (gros) cran. Pas forcément une mauvaise chose après le côté ultra vénère du set précédent. J’avais une belle attente également concernant Life’s Question car j’ai adoré leur dernier EP, tantôt groovy, tantôt mélodique, tantôt plus rentre dedans. Seul hic, de ce que j’ai compris, une partie du groupe n’a pas pu venir, remplacé par d’autres musiciens. Rien de dérangeant en soi sauf que la guitariste qui chante de temps à autre en voix claire est absente (remplacée par une autre guitariste qui ne chantera pas). Du coup, le frontman s’occupera également des voix claires et, soyons honnêtes, c’était pas fameux. Du coup, pas de « Something Out There » du dernier EP (majoritairement chanté par la guitariste), mon titre préféré que j’attendais vraiment avec impatience. Sur les parties plus Hardcore, rien à dire, le gars maitrise son sujet mais on sentait quand même que le groupe était moins carré qu’à l’accoutumé (je garde un bien meilleur souvenir de leur set avec Pain of Truth en 2022 au Klub). Sympa mais pas inoubliable.

End It avait foulé les planches du Glazart il y a moins d’un an, en compagnie de Stick To Your Guns, Get The Shot et Koyo. Ils m’avaient déjà mis une claque mais il n’y avait pas énormément de monde devant leur set. Cette fois, ce fut bien différent puisque c’est un Glazart complet qui s’est massé devant la scène pendant leur set. Beaucoup trop de monde pour espérer faire un peu de 2 step et même réussir à faire des side to side correctement. Pas grave, je prends du repos pour le reste de la soirée et préfère, au bout de quelques titres, prendre mes distances pour être un peu moins écrasé. End It n’a pas une longue discographie (mais elle est qualitativement irréprochable) et se permet donc de prendre son temps : le chanteur n’hésitera pas à parler de longs moments entre les morceaux (un peu trop quand même) mais cela permettra de créer une ambiance chaleureuse et très conviviale. Le Hardcore d’End It est groovy (Baltimore oblige !) et s’éloigne totalement du Hardcore moulinet-friendly. Influences Punk Hardcore old-school, sens du groove indéniable, voix vraiment reconnaissable (et il chante aussi bien que sur skeud, même fortement alcoolisé ! Car oui, le chanteur nous a fait comprendre qu’il avait un peu envie de vomir - l’abus de boisson n’aidant pas !). Je reste toujours aussi fan de leur son, leur concert donne le sourire et le titre « The Comeback » joué vers la fin du set me rend complètement dingue. End It détient également le record du plus grand nombre de stage dive réalisé au Glazart tant il y avait quasiment toutes les 20 secs quelqu’un montant sur scène pour gentiment rebondir sur le public de la fosse. Un public qui connaissait d’ailleurs très bien les paroles du groupe, n’hésitant pas à piquer le micro au chanteur dès que celui-ci s’approchait un peu trop de celui-ci. Enfin, End It, au delà de l’aspect fun de leurs concerts, reste un groupe assez engagé. Rien d’étonnant donc à ce que le public ait chanté un certain slogan en « hommage » à notre police ou un « Free Palestine » repris en chœur par l’assemblée. Une belle claque.

Je commence à être bien fatigué mais je tente quand même de m’approcher de nouveau pour le dessert de la soirée : les Australiens de Speed viennent promouvoir leur premier album « Only One Mode ». Ils avaient déjà retourné le Glazart avec Zulu en 2023, les voici de retour devant un public conquis d’avance. Introduction avec le chanteur qui nous joue un air de flûte (tout le monde adore ce gimmick et, il faut le reconnaitre, ça marche vraiment bien !) pour ouvrir le titre « REAL LIFE LOVE » puis le Glaz’ s’est déchaine. Comme End It, si vous vouliez pratiquer vos meilleurs pas de danse, c’était mission impossible vu le monde présent. Donc pareillement, après deux/trois titres (après « NO LOVE BUT FOR OUR OWN » de souvenir), je pars en retrait (en profitant pour aller prendre un verre au bar, vu qu’il n’y avait personne) et regarde le set des Australiens de derrière (anecdote : j’y croiserai d’ailleurs Max de Worst Doubt et en profiterai pour le féliciter pour son premier show avec Moldy, vu 10 jours avant au même endroit). Rien à dire, Speed maitrise l’art de la scène à la perfection, les mecs sont juste des piles électriques que l’on n’arrête plus pendant quasiment 40 minutes. Leur album a été joué quasiment en intégralité (8 titres sur 10 si j’ai bien tout reconnu !), complété par des titres des EP/démos précédents. Certains titres sortent vraiment du lot en live comme « THE FIRST TEST » et son refrain incroyable ou encore « KILL CAP » qui donne envie de tout péter. Bref, Speed n’est pas original (sauf pour la flûte bien sûr) mais bordel, qu’est-ce que c’est bon !

Après une soirée comme ça, difficile de redescendre mais il faut bien rentrer à la maison car le réveil est prévu pour 6h le lendemain matin (je vous dit pas la tête que j’ai aujourd’hui…). Direction donc le métro en compagnie des Discordiens, avec un petit souvenir photo sur le quai. Je termine donc ce report en vous mettant ci-dessous la dite photo (vous permettant de voir le sweat sans capuche End It que je me suis pris) et en remerciant chaleureusement Arak Asso pour cette très belle date.

Prochaine étape : Chain Cult (Post-Punk Grec) mercredi soir !

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