Chacun son domaine hein !
Moi je parle de Heavy et d’un mec imaginaire (#Didier) qui sert fort des couilles avec ses mains dans un donjon chelou. Je peux pas tout faire !
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Triste nouvelle, Svalbard cesseront d’exister en 2026, après une tournée d’adieu. 
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C’est dommage en effet, mais la raison évoquée par la frontwoman, Serena Cherry, est très respectable.
D’après une interview donnée à Metal Hammer, elle explique qu’ils sont fiers de leurs 4 albums, et que même si c’est compliqué de s’arrêter comme ça en plein succès, alors qu’ils ont mis toute leur énergie pour construire le groupe pendant ces 15 dernières années, ils veulent éviter que le déclin créatif et le manque d’inspiration les amènent à sortir des albums simplement pour sortir des albums, en surfant sur leurs succès passés.
C’est clairement pas une décision simple à prendre, c’est même très courageux !
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Merci pour ce complément, je n’avais pas cette info. C’est clairement louable de prendre une telle décision sur une courbe ascendante. Peut-être commencent-ils déjà à voir l’essoufflement de leur inspiration (ce n’était même pas fait exprès!), j’espère les voir ailleurs dans d’autres projets inspirants.
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Serena a un projet solo de black metal, Noctule, dont le premier album s’inspire de Skyrim. Elle a un autre album dans les tuyaux il me semble.
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Part 2 de la tournée de Hatebreed avec quelques dates en France, pour ceux qui habitent pas loin de Clisson ou en Vendée comme moi, le 1 Aout. Au plaisir de croiser certains là bas, musicalement.
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Je les verrais au 666 
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A l’occasion de leur passage dans un festival Norvégien, les Slomosa ont diffusé un visuel d’un artiste local 
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Les photos sont magnifiques @nomnomnom. Merci !
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Pas trop habitué de reports mais il y avait Cryptosis Onslaught hier dans ma Bourgogne…
Crypto, fidèle à eux mêmes, de grands musiciens et un accent sur le dernier album.
Onslaught, le chanteur était remplacé et ils ont fait quasi uniquement les premiers albums, plus Thrash Punk que le dernier album.
Superbe ambiance avec envahissement de la scène en final…
Traitement de : IMG_20250604_113445.jpg…
Téléversement : IMG_20250604_114712.jpg…
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Alta Rossa + Proudhon à Petit Bain le 10 Octobre 2025
Merci l’ami FMK pour la nouvelle qui fait plaisir !
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Ça faisait un moment que je n’avais pas eu de concert à faire pour la première partie. C’est réparé, avec nul autre que DVNE
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Night Verses c’est très bien aussi , tu devrais passer un bon moment 
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Je pense les avoir vus (ou loupés) en première partie de quelque chose mais dans mon souvenir leur musique ne m’avait pas plus emballée
STEVEN WILSON à l’Amphithéâtre / Lyon / 28/05/25.
Quand je me suis installé dans la salle, 45 mn avant le concert, et que j’ai réalisé que nous aurions de l’Alice Coltrane pendant un bon bout de temps, j’ai su que nous étions entre de bonnes mains.
Salle en arc de cercle, fauteuils rouges. Je suis loin - mais même là les places ne sont pas données - et derrière moi, pendant le premier morceau (je parle d’Objects outlive us, une merveille de 20 mn tiré du dernier album), des types s’amusent à se parler en criant. Pas un endroit où la connerie ne s’impose pas, …mais je n’aurais pas parié sur ce concert-là. Je change rapidement de place pour m’asseoir sur un fauteuil vacant cinq rangs plus bas, seul, avec la musique de Steven Wilson.
Le premier set : les 40 minutes du dernier album, The Overview (2 morceaux d’environ 20 mn chacun). On n’est pas loin du chef d’œuvre de prog rock, mais je vais rester muet : peu probable que le style soit apprécié ici. J’avais été peiné par l’accueil reçu par Porcupine Tree au HF 2023, mélange d’indifférence et, parfois, de grossièreté. Quelques semaines auparavant, ils donnaient un merveilleux concert au Zénith de Paris devant un public acquis.
Un truc bizarre : les effets stéréo balancés pendant le concert pour donner un effet « surround » (souvent le son de l’un des claviers, parfois des ajouts programmés). C’était parfois tellement fort et soudain que ça me faisait sursauter.
A côté de ça, des moments très bien, des musiciens de très haut niveau (dont le clavier Adam Holzman qui a joué avec Miles Davis), une ou deux longueurs (pour moi) et un enchaînement magique au milieu du 2ème set : Dislocated day - de Porcupine Tree / Pariah (avec l’apparition de la bouleversante Ninet Tayeb sur l’écran géant) / Impossible tightrope, avant un très long rappel (Ancestral / The raven that refused to sing) où je me suis glissé au bord de la scène, devant un Steven Wilson au pieds nus.
Difficile, quand on aime profondément la musique, de ne pas admirer ce gars-là, son intelligence, sa profonde culture musicale, son génie quand il s’agit de composer des mélodies pop et des arrangements prog, et de ne pas être reconnaissant devant la générosité de ce long et beau concert.
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Merci pour ce beau report mon cher Ride 
De mon côté, petite session de rattrapage avec deux reports pour le prix d’un !
Blood Incantation + Minami Deutsch à l’Elysée Montmartre - 07/05/2025
Featuring @Poulain @Jakal @JimmyR @DogEatGod (la fine équipe !)
Blood Incantation a crée une belle hype autour de lui avec la sortie de l’excellent Absolute Elsewhere, sorte de mash-up de Death Metal et de Pink Floyd. Un album qui fut mon top 1 de 2024 pour être franc et pourtant, je n’avais pas pris ma place pour les voir à Paris le 7 mai, quand ils étaient encore annoncés à La Machine du Moulin Rouge.
Après une annonce de sold-out et quelques larmes de Chabounet, le concert fut finalement déplacé à l’Elysée Montmartre, pour ma plus grande joie, puisqu’à l’annonce de ce changement, j’acquérais ma place sans regarder une seconde le prix (j’ai dépensé sans compter comme dirait John Hammond - bon, en réalité, c’était 35 balles donc ça va !).
J’arrive assez tôt devant la salle et rejoins des amis dans un bar, un peu plus loin avant que notre fameux fan de Heavy JimmyR (aka Didier) nous y rejoigne pour notre toute première rencontre irl. Puis direction l’Elysée Montmartre qui a ouvert ses portes : comme un signe du destin, juste après avoir monté les escaliers de la salle, on tombe nez à nez avec Jakal, Poulain et DogEatDog. Je croiserai aussi Pijak du Discord. Mais trêve de bavardage, passons à la musique.
C’est 
Minami Deutsch qui ouvre la soirée avec son Krautrock meets Psychédélique Rock. Un choix original de première partie de la part de Blood Incantation mais pas dénué d’intérêt, loin s’en faut. Je reconnais que le premier titre m’a paru un poil longuet et redondant mais dès le second titre, le groupe a réussi à y apporter assez de variation et de consistance pour me tenir en haleine. Assez chill dans l’ensemble et envoûtant pour peu qu’on fermait un peu les yeux. Ils nous ont invité dans leur univers, fraichement applaudis par une bonne partie du public. Pas sûr néanmoins que j’écoute en version studio tant ce genre de musique me parle bien plus en live. Une belle petite ouverture !
C’est pile à l’heure que 
Blood Incantation monte sur scène. C’est incroyable de voir ce groupe faire sold-out dans une salle de plus de 1000 personnes alors que ce même groupe ne remplissait pas un Klub (150 personnes) il y a quelques années. Ce dernier album, je le disais, a fait grand bruit et le groupe en est bien conscient puisque l’intégralité de celui-ci sera joué, et dans l’ordre s’il vous plaît. Bon après, l’album est composé de deux titres, découpés en 3 parties chacun, donc difficile de jouer ça en vrac !
C’était fabuleux. Et vraiment, je pourrai m’arrêter ici tant tout était incroyable de bout en bout. Que ce soit les parties purement Death Metal avec le growl fabuleux de Paul Riedl ou les moments plus prog/synthés, saupoudrés d’une voix claire que certains ont trouvé un peu juste (ce qui n’est pas mon cas, j’ai trouvé qu’il s’en sortait très bien !). Mon moment préféré fut inévitablement la transition entre la partie II et III de The Message, passant d’une sonorité assez reposante au synthé à un gros blast de batterie et d’un riffing quasi Speed Metal. C’était déjà mon moment favori de cet album et ce n’en fut que meilleur en live, d’autant plus qu’à ce moment précis, JimmyR et moi-même nous sommes regardés en mode « c’est maintenant ! ».
On aura le droit (comme sur toute la tournée à priori) à titres en plus avec « Inner Paths (to Outer Space) » (tiré de l’album précédent - « vous savez l’album où il y a du bleu, du vert et un alien » dixit Paul Riedl !) suivi d’un solo de synthé (et l’apparition d’un… gong géant ?) pour terminer la soirée sur « Obliquity of the Ecliptic » et ses quasi 9 minutes.
On quitte la salle, plein de souvenirs en tête, avec du Scorpions et du Hällas en fond sonore. Une bien belle soirée qui se terminera pendant un long moment sur le trottoir central devant la salle, à discuter avec tout le monde ! (et un retour en RER avec DogEatDog !).
Scowl + Modern Color + MSS FRNCE - Trabendo - 23/05/2025)
Featuring @JimmyR, encore lui ! Il est partout ce Didier !
Une belle journée ensoleillée donc avant le concert, on se pose avec des amis dans le Parc de la Villette, à deux pas du Trabendo. Car en ce 23 mai, je vais ENFIN voir Scowl, au grand damn de @zitoun qui aurait préféré que j’abandonne cette idée saugrenue pour venir voir avec lui Mannequin Pussy, au même endroit, quelques jours plus tard.
Je tombe sur notre JimmyR national dans la salle et passerai donc, encore une fois, une bonne partie du concert à ses côtés.
Je vais passer rapidement sur 
MISS FRNCE pour la simple et bonne raison que je n’ai pas aimé. Ils n’ont pas réussi à m’accrocher, ni via leur musique ni leur intervention, malgré toute la bonne volonté du monde et quelques fans du groupe dans le public.
Modern Color arrive sur scène pour balancer leur Indie/Post-Emo-Hardcore devant un public pas bien nombreux. Pour résumé, vous voyez Title Fight ? Ba c’est pareil mais en plus récent. Et c’est tout aussi bien, entre moments émotionnellement très forts et quelques envolées plus violentes (via les hurlements du batteur, sur deux morceaux notamment). J’aime bien sur album mais en live, ça prend une autre dimension : leur son a plus de masse, de volume, de texture et prend finalement bien plus aux tripes que sur album. Une première partie de choix que je suis bien content d’avoir vu sur scène.
Quand Scowl déboule sur scène, je suis comme un gamin le matin de Noël : je suis tout excité, prêt à danser et chanter sur les tubes des Californiens. Je ne suis pas objectif sur ce groupe, vous le savez donc pas la peine de tourner autour du pot : je me suis amusé comme un fou, c’était tout simplement génial de les voir à fond sur scène. Les nouveaux titres sont plus énergiques que sur album (B.A.B.E, Not Hell Not Heaven, Fleshed Out, Special en particulier), les titres de l’EP précédent sont toujours autant tubesques (Psychic Dance Routine, Shot Down, Opening Night) et on a eu le droit à quelques vieux titres (Bloodhound, Fuck Around). L’ambiance était d’ailleurs très cool (pas eu de baston de notre côté @Ride_One_Hell_Of_A !), avec pas mal de stage dive (puisque pas de barrière au Trabendo ce soir). D’ailleurs, je craquerai sur le dernier morceau, Special, me faisant plaisir avec un petit bain de foule bien mérité ! Et bien sûr, difficile de ne pas parler de Kat, frontwoman du groupe : au delà d’avoir nettement amélioré son chant clair (par rapport à ce que j’avais pu voir sur des anciens lives), elle dégage quelque chose de magnétique sur scène. Je vous renvoie au report de Ride sur le concert de Lyon qui en a très bien parlé car j’ai ressenti la même chose en la voyant à Paris.
Heureux je suis, de les avoir enfin vu et j’y retournerai sans aucune hésitation possible ! A tous ceux qui pensent que Scowl ne fait plus du Hardcore, vous vous mettez le doigt dans l’oeil ,
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J’exige un droit de réponse : j’ai jamais dit que c’était pas top en live. J’étaisa la barrière au HF et j’ai kiffé 
Juste, et si on peut être objectif et sérieux 5 mn hein! 
. Le dernier album est très efficace… Pour une ado rebelle de 15 ans
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Qui dit que je ne suis pas une ado rebelle de 15 ans 
?
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