Hellfest 2025 : Focus sur un groupe

C’est vrai que ce topic a de la gueule ! En à peine une semaine on a déjà plein de focus très quali :+1:

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Et toi quel groupe vas-tu choisir ? :star_struck:

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En vrai j’y réfléchis, mais sur l’affiche de cette année je fais beaucoup beaucoup de découvertes (et de très bonnes au fil de mes écoutes!). Je profiterai de ma treve à partir de vendredi pour voir si j’ai le temps de vous pondre un quelque chose sur un groupe de mes favoris.

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Préambule du préambule:
Faire cet exercice est un amusement pour moi. Si je ne suis pas dans les clous de l’attente du focus, n’hesitez pas à me le faire savoir (en privé) afin de ne pas desservir les groupes que je présente

Préambule, contexte, introduction et délire

Dans un soucis de professionnalisation du choix hasardeux du groupe à traiter, j’ai tenu à mettre toute les chances de mon coté et ainsi vous proposer un focus ou une action malencontreuse de ma part sur la roue de l’infortune aurait faussé le résultat du tirage au sort.

Ne reculant devant aucun sacrifice j’ai donc appelé le manager de la personne la plus qualifiée en mouvement de roue, Maitre émérite de la chaire de l’université de TF1/ la Sorbonne .

J’ai nommé VICTORIA SILVSTEDT…

Pour les béotiens du lancement de roue, elle a officié auprès des plus grands avant de passer à la postérité en obtenant sa chaire Château D’ax dans la plus prestigieuse des institutions.

Difficiles négociations (En premier lieu avec Madame Mire) puis avec son agent pour m’attacher ses services. J’ai hypothéqué ma maison, contracté un prêt à la consommation et vendu mon double album de Dorothée de 1982 en version japonaise…

Un cachet qui a un zéro près approche celui de Metallica, des exigences de star et un contrat de 128 pages concernant entre autre :

  • Un canapé convertiblo-ajustable aux jambes de madame
  • Une corbeille garnie de 28 sortes de salades (Pas d’endive car elle ne supporte pas le cri de l’endive sous sa dent)
  • La présence sur le tournage, sans caméra, de son chien Olaf
  • Des bonbons suédois lördagsgodis roses exclusivement.
  • Etc…

Mais le moment tant attendu est arrivé et en grande prêtresse de la rotation de roue, elle a déterminé le groupe qui aura la malchance d’être traité par mes soins.

CHUBBY AND THE GANG: Warzone Vendredi 20 Juin

Mais QUI c’est ce mec là?

Au début j’ai cru à une facétie de la roue (impressionnée par la personnalité de Miss Victoria) et j’ai bien pensé que j’allais devoir m’atteler à la discographie des Kool and the gang.

Mais non il s’agit bien de Charlie Manning-Walker surnommé « CHUBBY Charles ».

Du coup je me suis lancé dans quelques recherches sur le groupe.

Chubby and the Gang est un groupe de Punk rock anglais formé dans l’ouest de Londres en 2019.

Composé à l’origine

du chanteur Charlie « Chubby Charles » Manning-Walker,

des guitaristes Ethan Stahl et Tom « Razor » Hardwick,

du bassiste Maegan Brooks Mills

du batteur Joe McMahon,

Le groupe est formé à partir d’un certain nombre de groupes de punk hardcore britanniques, dont Arms Race, Vile Spirit et Gutter Knife.

La formation à beaucoup changé en 2022 avec les arrivées de

Will Goodey – guitare

Charlie Wyatt - guitare (2023)

Geoff Wilcox – basse

Lee Munday – batterie

C’est ça l’esprit Punk, travailler sur un champ de ruine.

PRODUCTION :

Speed Kills (2020) : Produit par le label Fuzz Club Records

Hommage au punk rock énergique avec des morceaux courts et percutants

« Speed Kills » titre éponyme en est l’illustration

The Mutt’s Nuts (2021) : produit par Franz Ferdinand’s Alex Kapranos

Plus typé punk hardcore avec une pointe de Rock’n’Roll les titres les plus emblématiques de cet album sont

« Coming Up Tough »

« I Hate the Radio »

And Then There Was… (2024) : Produit par Jonah Falco

Seize titres pour un album sorti le 4 Octobre dont le premier extrait est

« To be Young »

Tout ça pour dire que si vous voulez voir un super groupe de punk rock core qui a dépoussiéré le style il faudra être en warzone sur les coups de l’apéro
bouger son corps sur du punk hardcore punk core rock core et faire des moulinets encore et encore sera « the place to be »

Ps: Victoria ne veut plus quitter ma roue de l’infortune donc je lance une cagnotte leetche car je ne pourrai pas suivre son train de vie

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Quel focus génial ! Tu m’en as mis plein les Mire-ettes !! :clap::clap::clap:

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Et pour compléter ce chouette focus sur Chubby and the Gang, il est a noter que le père Charlie « Chubby » Manning justement officie également en tant que Guitariste au sein de The Chisel qui joue le lendemain également en Warzone.

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Slomosa (ou le groupe avec le chameau)

(Je préfère le dire dès le début, je sais qu’il y a pas mal de fan de Slomosa sur ce forum et j’ai peur de les décevoir. J’ai pondu ce texte en essayant d’en écrire pas trop mais suffisamment. N’hésitez surtout pas à me faire vos commentaires si vous voyez des points d’amélioration à apporter. Merci d’avance et bonne lecture).

Quelques mots :

Groupe norvégien classé dans le style Desert Rock ou stoner. Mais si vous voulez mon avis, ne vous arrêtez pas au style et continuez votre découverte en écoutant. Plus d’un m’ont dit
« ah non stoner genre Queens of the Age, tout le monde les imite et ne font que les imiter ». Mais justement à l’écoute, pour moi ce groupe sort vraiment du lot des imitateurs.

Composé à ce jour de 4 membres : Benjamin Berdous (Chant et Guitare), Tor Erik Bye (Guitare), Marie Moe (Basse), et Jard Hole (Batterie), le groupe commence à se faire connaitre de concert en concert timidement depuis 2017. Je dis timidement car pas de méga com commerciale, ou gros égo, ils gagnent vraiment en renommé et se font découvrir au fil de leur prestations live. Je les ai découvert pour ma part en écoutant leur premier album de 2022, de grande qualité.

Je les ai adopté directement à ma première écoute. Mon homme ne retenant jamais le nom de ce groupe, c’est passé dans notre langage commun de le nommer par « le groupe avec le chameau ».

Pourquoi j’ai envie de le faire découvrir

  • Enfin un groupe qui s’approprie le style Stoner et le met à sa sauce.
  • Sur leurs performance live, ils partagent et semblent prendre un plaisir fou.
  • Groupe qui me semble dégagée une certaine humilité que j’apprécie beaucoup (Ex: interview de Metalorgie que je vous conseille de lire : https://www.metalorgie.com/interview/2257-slomosa )
  • Ils sont Norvégiens et je dois l’avouer, j’ai un petit faible pour les groupes de musique Scandinaves. A chacun de mes voyages par la haut, je reviens avec mes oreilles pleines de nouveautés très peu connues à l’international.

Quelques liens pour découvrir en écoute :

In my mind’s desert (de l’album « Slomosa » ) :
Spot :

Youtube :

Battling guns (de l’album « Tundra rock ») :
Spot :

Youtube :

Le moment idéal pour les écouter :

J’ai envie de dire tout le temps! Particulièrement en ballade, skate, road trip perso ce sont les moments ou je les apprécie le plus.

Pour aller plus loin :
Leur site : https://www.slomosamusic.com/
Bandcamp : https://slomosa1.bandcamp.com/album/slomosa

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Merci pour cet excellent focus !
Tout comme toi, je trouve qu’ils vont au delà du « simple » stoner. C’est très énergique, et encore davantage en live. Ils savent occuper la scène et ils ont pas mal d’humour, en plus de paraitre super sympas. Lors de leur passage au Westill, je leur ai offert un sac avec de la bouffe locale et même si c’était le rush à leur stand de merch et que c’était avant leur concert, ils ont pris le temps de regarder dedans (bien que je leur ai dit que ça pouvait attendre).

Et très bons choix de titres pour les mettre en avant ! Battling Guns est parmi mes préférés ! :heart_eyes:

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Pas mal oui. Je decouvre tout juste et s’il n’y a rien d’autre en meme temps qui m’interesse je serai devant (et si j’arrive a choppr un pass bien evidemment :stuck_out_tongue: )

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Super découverte pour ma part merci beaucoup pour le focus :star_struck:

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Dopethrone : Un Voyage dans les Abysses du Sludge

Dopethrone, un trio de sludge/doom metal formé en 2008 à Montréal, est devenu un pilier du genre avec leur son lourd, sale et hypnotique.

Histoire et Biographie des Membres

Dopethrone a été créé par Vyk (basse), Thomas Polychuck (batterie), et Vincent Houde (guitare/chant). Leur premier album, Demonsmoke, sorti en 2009, a été autoproduit et a établi leur réputation dans le monde du doom metal. Vincent Houde, le guitariste et chanteur, est souvent décrit comme le cerveau derrière les riffs lourds et les mélodies hypnotiques du groupe.

Contexte Musical et Influences

Dopethrone s’inscrit dans la lignée du sludge et du doom, des genres qui puisent leurs racines dans le heavy metal des années 70 et 80, avec des influences notables de groupes comme Sleep, Candlemass, Saint Vitus, et Cathedral. Leur musique est souvent comparée à celle d’Electric Wizard, un autre groupe pionnier du doom metal, connu pour son album Dopethrone qui partage son nom avec le groupe canadien.

Thèmes et Lyrisme

Les textes de Dopethrone explorent des thèmes sombres et nihilistes, souvent liés à la drogue, à l’occultisme, et à une vision dystopique du monde. Leur musique évoque une atmosphère de désespoir et de rébellion, avec des paroles qui célèbrent la liberté psychédélique et la rébellion contre les formes traditionnelles de contrôle.

Caractéristiques Musicales

Le son de Dopethrone est caractérisé par des riffs de guitare lourds et distordus, une basse puissante, et une batterie qui martèle des rythmes lents et hypnotiques. Leur approche de la composition est souvent improvisée, avec des jams en studio qui donnent naissance à des morceaux longs et épiques. Les chansons de Dopethrone sont connues pour leur structure non conventionnelle, avec des transitions fluides entre des sections de groove et de discordance.

Anecdotes et Tournées

Le groupe a une réputation de performances live intenses, où l’énergie brute et la lourdeur de leur musique sont amplifiées par des fréquences sub-bass qui peuvent littéralement secouer les voisins. Lors d’une tournée en Hollande, certains spectateurs ont trouvé leur son trop lourd.

Conclusion

Dopethrone est plus qu’un simple groupe de doom metal; c’est une expérience auditive qui plonge l’auditeur dans un monde de sonorités lourdes et de thèmes sombres. Leur musique, bien que souvent décrite comme « trop lourde » par certains, est une célébration de

Si vous chouffer le clip

Vous verrez qu’en plus d’être lourd, ils ne manquent pas d’humour, bon sludge l’humour mais humour tout de même!

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Merci pour le focus ! J’ai beaucoup aimé le dernier album de mon côté :slight_smile:

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Tu as très bien présenter le groupe :+1::+1::+1:

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Turnstile : du groove, du groove et du groove !

Biographie

Après avoir reçu diverses sollicitations et encouragements (et des menaces aussi !) de notre PeteBondurant national, il est temps pour moi de participer à ce merveilleux topic. Et quoi de mieux, pour commencer, que de me lancer dans le focus sur la tête d’affiche Warzone du samedi ?

Turnstile a débuté son aventure en 2010, du côté de Baltimore (USA). Formation de Hardcore où le groove est le maitre mot, les petits gars ont pondu un tout premier EP dès l’année suivante : « Pressure to Succeed » (sur le label Reaper Records). La signature du Hardcore Baltimorien est présente : ça groove de partout ! « Death Grip » est un petit hit en puissance, on a même un peu de mosh-part avec « The Dream » et, de manière générale, le son se rapproche pas mal d’un Trapped Under Ice dans lequel officie également le frontman de Turnstile (mais à la batterie).

Deux ans plus tard, le groupe sort un nouvel EP, « Step 2 Rhythm » (toujours sur le même label) qui est, de mon point de vue, LA meilleure sortie du groupe (rien que l’introduction « 7 » est une pépite de groove). On voit apparaître sur cet EP un peu plus de « chant » (entendez par là un chant plus clair, loin du chant Hardcore) comme sur le refrain de « Keep It Moving » ou sur la fin de « Better Way ». Le chant est un peu juste mais qu’importe, ça sonne authentique.

En 2015 sort le tout premier album du groupe, celui qui les fera connaître, d’une part auprès d’un public plus large (mais restant tout de même un public adepte de la scène Hardcore) mais également auprès de labels voyant le potentiel futur du groupe. Car si cet album est sorti en 2015 sur Reaper Records, il a surtout été réédité en 2016 chez la machine de guerre Roadrunner Records (qui reste le label actuel du groupe). Mais revenons à nos moutons : c’est avec cet album, comme beaucoup de Hardcore Kids de l’époque, que j’ai découvert Turnstile. Et il faut dire que si la recette n’a pas fondamentalement changé, elle a été peaufinée à l’extrême. Chaque titre est une pépite groovy et reste ancré dans le crâne dès la première écoute : la rythmique simple mais addictive de « Gravity », le refrain ultra efficace de « Fazed Out », les titres influencés par Rage Against The Machine (« Stress » et surtout, SURTOUT « Out of Rage ») ou encore « Blue by You » uniquement chanté en « chant clair » par le bassiste, sorte de Pop-Punk feel-good. D’ailleurs, pour l’anecdote, j’ai eu la chance de voir Turnstile à cette époque, dans une toute petite cave et le bassiste chantait… extrêmement faux en live ! Bon, c’est un peu mieux maintenant donc pas d’inquiétude :wink: .

Entre deux albums, le groupe sort un EP, « Move Thru Me » sur leur propre label Pop Wig Records (label sur lequel j’ai fait un focus il y a un petit moment et que je vous invite à lire si le cœur vous en dit). Un EP pas super intéressant si vous voulez mon avis, sympa mais sans plus.

Non, passons plutôt au second album du groupe pondu en 2018, l’excellent « Time & Space » qui voit le groupe continuer dans son groovy Hardcore ensoleillé (oui, ça me fait penser au soleil cet album, ne me demandez pas pourquoi). Par contre, j’y ressens moins l’influence RATM présente sur le premier album mais plutôt un Hardcore à la Snapcase. Un petit changement bienvenu, évitant la redite mais gardant toujours le son si unique du groupe. On y retrouve de nouveau un titre entièrement chanté par Franz (bassiste) avec « Moon » mais également… de la musique d’ascenseur (« Disco », « Bomb »). Ne me demandez pas pourquoi, je n’en sais foutrement rien mais ça m’a toujours fait rigoler. Le groupe commence à remplir des salles un peu plus grande (on passe d’une centaine de personnes à 400/500, en tête d’affiche).

Nous sommes en 2021. « Glow On », troisième album du groupe sort. La bombe est lâchée : le groupe ajoute une forte dose de « pop » dans sa musique (ouh le vilain mot) et, mine de rien, divise les fans de la première heure. Si certains y voient un côté beaucoup trop mainsteam (selon moi, cette évolution était quand même prévisible), d’autres adhèrent complètement au propos. Et pour cause, quel album mélange aussi bien l’énergie du Hardcore au côté mainstream de la Pop ? Là où Angel Du$t n’a justement pas réussi à bien doser le mix des deux, Turnstile explose tout avec ce skeud. C’est simple, chaque titre est un énorme banger, de « Mystery » à « Holiday » en passant par « Endless » ou « Blackout ». Deux featuring sont également présents avec Blood Orange (artiste Londonien de Synth Pop), preuve que le groupe assume totalement ce parti-pris de mélanger les genres. Cet album leur ouvre des portes, touchant un plus grand public (dont une grande partie n’étant pas du tout connaisseur de la scène Hardcore) et leur permettant de jouer à Coachella ou au Rolling Loud (festival hip-hop à Miami. Ils ont joué le même jour que Offset ou A$AP Rocky !). Bref, Turnstile a explosé et leur présence en tête d’affiche de la Warzone est plus que légitime !

En live, ça vaut quoi ?

J’ai eu la chance de les voir 4 fois en live et, surtout, pour la tournée de chaque album. J’aurai envie de dire « c’était mieux avant » (et dans un sens, c’est vrai : les voir dans des petites salles sans barrière, c’était quand même dingue) mais il faut reconnaitre qu’encore aujourd’hui, Turnstile en live, c’est une leçon. Les titres du dernier album (majoritairement présents dans la set-list) sont d’une efficacité dingue en live et quand le groupe s’aventure sur les anciens titres, avec un public connaisseur, ça devient vite la grosse fiesta dans le pit.

Le groupe est actuellement composé de :

  • Brendan Yates – chanteur (depuis 2010)
  • Daniel Fang – batteur et percussionniste (depuis 2010)
  • Franz Lyons – bassiste, percussionniste et deuxième chanteur (depuis 2010)
  • Pat McCrory – guitariste (depuis 2016)

Mais il s’adjoint aussi depuis 2023 les services de Meg Mills en guitariste suppléante. Elle joue également dans Big Cheese (groupe de Hardcore UK qui a pondu un excellent album en 2020) et a dépanné, en partie, Life’s Question sur sa tournée Européenne (ceux qui étaient à Paris pour la date en novembre, c’était elle à la guitare !).

La curiosité discographique

Turnstile aime s’associer à d’autres artistes pour sortir des EP de « remixes » de leurs titres. En 2020, ils ont fait une collaboration avec l’artiste Mail Grab (musique électronique) mais c’est surtout en 2023 qu’ils vont sortir « New Heart Designs », un trois titres collaboratif puisque BADBADNOTGOOD (groupe de Jazz Fusion Canadien) remixe les titres « Mystery », « Alien Love Call » et « Underwater Boi » de l’album « Glow On ». Perso, j’adore !

En espérant vous avoir convaincu d’aller les voir en juin :wink:

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chronique

KIM DRACULA : le Diable de Tasmanie débarque au Hellfest !

album

Historique : l’ascension

Samuel Wellings, alias Kim Dracula (en référence au titre de Deftones) est originaire de Tasmanie, ce territoire sauvage qui semble avoir inspiré sa personnalité. Kim Dracula explose en notoriété en 2020 sur TikTok grâce, entre autres, à sa reprise atypique de Lady Gaga Paparazzi. Les succès s’enchaînent rapidement sur YouTube avec des clips marquants : Make Me Famous, Drown ou encore Seventy Thorns feat Jonathan Davis.

Puis vient l’album tant attendu, sorti en 2023, où apparaissent les trois titres cités précédemment mais également de nouvelles pépites telles que Land Of The Sun, Superhero ou Luck is A Fine Thing

Mais alors, c’est quoi comme style ?

On pourrait parler de neo trap goth indus metalcore avec des touches de bossa nova et d’electro, mais on ne serait pas plus avancé. Kim Dracula, c’est un vrai specimen musical. Imaginez Marilyn Manson, Jonathan Davis, Mike Patton (oui j’assume), le Joker et le Jim Carrey déjanté de The Mask, fusionnés en une seule entité. Le résultat ? Une musique déstructurée où il ne faut chercher ni couplet, ni refrain, ni même de logique. Son album, à mi-chemin entre le medley et la parodie, est un véritable sketch musical. Seul fil rouge : la folie pure. Tantôt extravagant, tantôt absurde, Kim Dracula s’amuse à briser toutes les règles pour nous offrir un mélange sonore improbable et irrévérencieux.

Préparez-vous, car sur scène, ce diable de Tasmanie promet de faire souffler un vent de chaos en MainStage !

MainStage 2

Artiste présent en 2025

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Merci pour le focus ! J’avoue ne pas du tout être attiré par cet artiste mais j’irai écouter ça à l’occasion, histoire d’être sûr de ne pas passer à côté d’une pépite qui pourrait me plaire :slight_smile:

Je peux comprendre que ça ne plaise pas :+1: En plus j’ai peur que ça clash avec SLOMOSA, CHAT PILE, ou THY CATAFALQUE :grimacing:

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Donc toi non plus t’iras pas? :scream:

Ouais y’a malheuresement un gros risque de clash. Mais j’essaierai d’y passer au moins 10-15 min par curiosité.

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J’irai le voir de toute façon :smile: Mais c’est vrai que cette journée va être épuisante, y a des trucs bien de partout !

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