Hellfest 2025 : Focus sur un groupe

Petit changement le sujet s’étoffant on déplace le Focus Cypress Hill et on met un sommaire ici :tada:

Le sujet est ouvert à tous bien évidemment, pas besoin d’exprimer des sentiments profonds ni de faire preuve d’une sensibilité de poète, ici il s’agit de proposer des Focus factuels, on cherche des infos sur un groupe et on les synthétise, en essayant de donner aux gens l’envie de se pencher sur le groupe et de les ajouter à leur RO !

Lancez-vous !

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Merci pour ce focus très intéressant ! Cypress Hill fait partie des bonnes surprises sur cette affiche, et ca risque d’être un très bon concert ! Et peut-être aurons-nous droit à un featuring live avec Mike Shinoda de Linkin Park sur le titre Carry Me Away !

J’ajouterai également que Cypress Hill a fait office de première partie pour plusieurs groupes déja passés au Hellfest, notamment The Offspring et Slipknot !

Tar Pond : Une plongée dans le Doom’n’Gloom suisse

Tar Pond est un groupe suisse de Doom’n’Gloom formé en 2015, qualifié d’anti-supergroupe en raison de la richesse des talents qui le composent. Fondé par des figures légendaires de la musique heavy et de l’art, le groupe inclut notamment Martin Ain (ancien bassiste de Celtic Frost, décédé en 2017), Marky Edelmann (batteur et parolier de Coroner) et Thomas Ott, un artiste renommé dans le domaine du scratchboard. Leur musique est une exploration sonore des ténèbres, un mélange de désespoir et de mélancolie, qui les distingue dans la scène underground mondiale.

Les membres du groupe

  • Thomas Ott : Chant. Connu pour son style vocal unique et son passé dans des groupes rockabilly comme The Playboys.
  • Marky Edelmann : Batterie. Ancien membre de Coroner et parolier talentueux.
  • Chris Perez : Basse. Rejoint après le départ de Monika Schori, qui avait succédé à Martin Ain.
  • Stefano Mauriello : Guitare.
  • Daniele Merico : Guitare. Intégré au groupe après plusieurs changements de line-up.

Discographie et anecdotes

Protocol of Constant Sadness (2020)

Le premier album du groupe, enregistré entre 2016 et 2017, a été marqué par la tragédie avec le décès de Martin Ain avant sa sortie. Cet album, composé de quatre morceaux, est une œuvre sombre et introspective qui mêle des riffs lourds à une atmosphère oppressante. Enregistré aux New Sound Studios avec Tommy Vetterli (Coroner), il capture un esprit analogique authentique. Les paroles et les compositions reflètent un univers désespéré, souvent comparé à des groupes comme Black Sabbath ou Saint Vitus, tout en incorporant des éléments plus rock et expérimentaux.

Une anecdote marquante entoure le clip du morceau « Please », tourné sur pellicule 8mm lors d’un voyage au Nouveau-Mexique pour un projet artistique parallèle de Thomas Ott avec Louis Vuitton. Ce clip illustre parfaitement l’esthétique brute et mélancolique du groupe.

Petrol (2023)

Le deuxième album, sorti sous le label Prophecy Productions, marque une évolution dans leur son tout en restant fidèle à leur esthétique sombre. Composé de cinq morceaux, il alterne entre passages lourds et ambiances plus éthérées. Des influences allant d’Alice in Chains à des sonorités shoegaze se font sentir dans cet opus qui explore les thèmes du désenchantement et du désespoir avec une intensité remarquable.

Thèmes abordés dans les textes

Les paroles de Tar Pond sont profondément introspectives et explorent des thèmes tels que la douleur, l’angoisse existentielle et la perte. Thomas Ott puise ses inspirations dans des fragments d’idées qu’il consigne dans ses carnets avant de les assembler pour créer des textes poignants qui s’accordent parfaitement avec les compositions musicales du groupe.

Style musical et influences

Musicalement, Tar Pond s’inscrit dans une tradition doom tout en y apportant une touche personnelle. Leur son est souvent décrit comme un mélange entre le doom classique (Black Sabbath), le rock expérimental (The Doors) et des éléments post-metal. Les harmonies vocales rappellent parfois Alice in Chains, tandis que leur approche minimaliste et leur lenteur calculée évoquent Sleep ou Saint Vitus.

Leur processus créatif est organique : chaque membre apporte ses idées, souvent sous forme de riffs ou de structures simples, qui sont ensuite déconstruites et retravaillées jusqu’à atteindre l’essence même du son Tar Pond.

Héritage et influence

Bien que relativement jeune sur la scène musicale internationale, Tar Pond a déjà laissé une empreinte durable grâce à son authenticité et sa capacité à transcender les clichés du genre doom. Leur musique a été saluée pour sa profondeur émotionnelle et sa capacité à capturer l’essence du désespoir humain.

En conclusion, Tar Pond est bien plus qu’un simple groupe doom : c’est une expérience artistique totale qui mêle musique, art visuel et introspection philosophique. Leur œuvre mérite d’être explorée par quiconque cherche une musique capable d’émouvoir tout en défiant les conventions.

Pour crâner dans les diners en ville

Leurs premiers concerts ont eu lieu dans un cinéma pornographique légendaire à Zurich, ajoutant une touche subversive à leur lancement public.

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Merci pour cette excellente chronique ! (Et plus globalement, pour le boulot que tu fais sur le forum). Je fini mon album en cours et je lance Petrol juste après !

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Un grand merci @PeteBondurant pour les deux focus ! Je ne me lasse pas de Tar Pond de mon côté et j’ai pris plaisir à me replonger dans un album de Cypress Hill hier :slight_smile:

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Merci pour ces deux éclairages ! J’étais tombé amoureux de Tar Pond à la sortie de leur premier morceau et j’avais été passablement impressionné par la pochette de Protocol of Constant Sadness qui reste à mes yeux une des plus belles qu’il m’ait été donné de voir. Je dois dire que je suis fier d’être en possession de ces deux joyaux d’albums en vinyle.

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Woaw c’est tellement bien vendu que j’ai appuyé sur play.
J’avais besoin de ça ce soir et je crois que je vais aller plus loin dans l’écoute de ce groupe que je ne connaissais pas
Merci @PeteBondurant

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Petite note en passant, faire des focus sur les groupes qui se produiront l’année prochaine n’est pas une chasse gardée, je vous en prie, n’hésitez pas si le cœur vous en dit ! :pray:
Et comme l’idée est d’essayer de rester factuel, l’exercice est plus simple qu’une chronique ou un report dans lesquels on met de l’intime.

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Merci beaucoup pour tous ces rappels sur cypress hill. Ca éclairera sûrement certains.
Perso , j’ai souvenir de la couverture de black Sunday en 94 que j’avais pris pour du métal et que j’avais écouté à la Fnac… pas de regrets et heureux de les voir la…

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Sunn O))) - Une expérience hors norme

Sunn O))), formé en 1998 par Stephen O’Malley et Greg Anderson, est un groupe américain de drone metal originaire de Seattle. Leur musique, souvent décrite comme une expérience sonore et physique unique, transcende les frontières traditionnelles du métal pour explorer des territoires expérimentaux et avant-gardistes.

Musique et style

Sunn O))) est connu pour son approche minimaliste et immersive du drone metal, un sous-genre caractérisé par des compositions lentes, des accords prolongés et des textures sonores massives. Leur musique repose sur des murs de guitares saturées, amplifiées à l’extrême, souvent accompagnées de voix gutturales ou chantées par des invités comme Attila Csihar (Mayhem). Les albums tels que White1 (2003), Black One (2005) et Monoliths & Dimensions (2009) montrent leur capacité à intégrer des éléments de musique classique, d’ambient et d’expérimentation sonore.Leur esthétique sonore s’inspire fortement du groupe Earth, pionnier du drone metal. Cependant, Sunn O))) a su développer une identité propre en explorant les limites du son et en collaborant avec divers artistes issus de genres variés.

Collaborations marquantes

Sunn O))) a collaboré avec une pléiade d’artistes issus de scènes musicales diverses :

  • Merzbow, maître japonais du bruitisme, sur Flight of the Behemoth.
  • Scott Walker, figure avant-gardiste, pour l’album Soused (2014).
  • Ulver, groupe norvégien d’expérimentation musicale, sur Terrestrials (2014).
  • Des musiciens classiques comme Eyvind Kang ou Stuart Dempster sur Monoliths & Dimensions.

Ces collaborations enrichissent leur palette sonore, intégrant des instruments tels que violons, trombones ou cornemuses à leur drone massif.

Travaux parallèles de Stephen O’Malley

Stephen O’Malley est un artiste prolifique et multidisciplinaire. En dehors de Sunn O))), il a fondé ou participé à plusieurs projets musicaux notables :

  • Khanate (doom expérimental), Burning Witch (doom metal) et KTL (musique électronique/expérimentale).
  • Il a collaboré avec des figures comme Jim Jarmusch, François Bonnet (INA GRM), Kali Malone et Gisèle Vienne pour des œuvres mêlant musique contemporaine, théâtre et arts visuels.

O’Malley compose également pour orchestres et ensembles divers, explorant les limites entre musique amplifiée et acoustique. Son label Ideologic Organ met en lumière des artistes expérimentaux du monde entier.

L’expérience live : un rituel sonore

Assister à un concert de Sunn O))) est bien plus qu’une performance musicale : c’est une immersion totale dans un univers sonore et sensoriel. Voici ce qui rend leurs lives si uniques :

  • Puissance sonore : Les concerts utilisent une configuration massive d’amplis (souvent plus de 20) pour produire des vibrations physiques ressenties dans tout le corps. Le volume est si élevé qu’il devient une expérience tactile autant qu’auditive.
  • Scénographie mystique : Les membres apparaissent vêtus de robes monastiques sombres, entourés d’un épais brouillard. Ce choix vestimentaire renforce l’aspect rituel de leurs performances.
  • Immersion totale : Le public est plongé dans un flux continu de drones harmoniques qui altèrent la perception du temps et de l’espace. Certains spectateurs décrivent ces concerts comme méditatifs ou transcendantaux.
  • Interaction physique : Les vibrations sonores sont si intenses qu’elles font trembler les murs, les vêtements et même les cheveux des spectateurs. Cette physicalité transforme chaque concert en une expérience viscérale.

Conclusion

Sunn O))) est bien plus qu’un groupe ; c’est une exploration artistique qui repousse les limites du son et du genre musical. Leur travail incarne une quête constante d’innovation, tant dans leurs albums que dans leurs collaborations ou performances live. Que vous soyez amateur de métal ou simplement curieux d’expériences musicales inédites, Sunn O))) offre une immersion unique dans un monde sonore où chaque note résonne comme un écho cosmique.

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Si je trouve le temps je vous en sortirai quelques unes :sparkles:

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(Je déplace ici le focus sur Skindred que j’avais proposé dans le salon des Chroniques, car ce salon est fait pour ça).

SKINDRED : Le mélange des genres et des gens

Annoncés en même temps que Nervosa et Novelists FR comme faisant partie du line-up de la prochaine édition du Hellfest, les Gallois de Skindred font partie de mes très bons souvenirs de concert. Et pour cause, leur frontman très charismatique, Benji Webbe, a su retourner le public matinal de la Main Stage 2 d’une bien belle manière, un 22 Juin 2019 en terres Clissonnaises, avec leur mélange Ragga-Metal survolté.

Les membres du groupe

  • Benji Webbe : Chant
  • Mikey Demus : Guitare, Chœurs
  • Dan Pugsley : Basse, Programmations, Chœurs
  • Arya Goggin : Batterie
  • Dan Sturgess : DJing, Programmations, Chœurs

Influences

Au milieu des diverses influences de Webbe, on retrouve notamment le groupe de Ska anglais The Specials, dont le mélange des genres et les messages invitant au mélange des gens ont eu un impact considérable sur les choix musicaux de Webbe. Avant la création de Skindred en 1998, Benji Webbe avait préalablement fondé le groupe Dub War en 1993, groupe qui proposait déja des compos mélangeant Reggae, Rap, Punk et Metal. Mais suite à un désaccord avec leur label, Earache Records, qui refusait que Webbe enregistre un album solo orienté Hip-Hop, le groupe se sépare.

Mass Mental

Webbe a ensuite fondé le projet musical Mass Mental, avec un line-up assez fou constitué de Robert Trujilo (Bassiste actuel de Metallica, Ex-Suicidal Tendencies, Ex-Infectious Grooves), Armand Sabal-Lecco (Ex bassiste de Paul Simon) et Brook Wackerman (Batteur actuel d’Avenged Sevenfold, Ex-Bad Religion, Ex-Infectious Grooves, Ex-Suicidal Tendencies). Le projet existe encore de nos jours mais monte sur scène de façon erratique. Il n’a abouti qu’à un seul album (que je recommande vivement à tous les amateurs/amatrices de compos groovy, Funky et barrées dans la veine d’un Mr.Bungle, et vous pouvez trouver le lien vers l’album en question en cliquant sur le bouton Youtube en bas de cette chronique) et à plusieurs collaborations live dont notamment Phil Campbell (Ex-Motörhead), Joey Castillo (Ex-Queens of the Stone Age) ou encore Brant Bjork (Ex-Kyuss).

Skindred

C’est donc en 1998 que Webbe crée Skindred. 8 Albums plus tard, le line-up du groupe a très peu changé (il est le même depuis 2002). Leur dernier album en date, Smile (2023), signe également le retour de Webbe chez Earache Records, label qu’il a longtemps blâmé pour la séparation de Dub War, avant de se rendre compte que leurs relations passées étaient plutôt bonnes. Webbe a également collaboré avec Soulfly et Bullet for My Valentine.

One for the books

Au cours de la carrière du groupe ou de Webbe, plusieurs concerts leur sont restés en mémoire, notamment leur concert à la Brixton Academy au lendemain de l’attentat du Bataclan, un de leurs passage au Woodstock Festival Pologne devant plus de 600 000 personnes (les chiffres varient d’une source à l’autre), ou encore le remplacement imprévu de Jonathan Davis au Download 2006. En effet, le frontman de Korn ayant du être hospitalisé d’urgence, Webbe était monté sur scène pour reprendre A.D.I.D.A.S, tout comme Corey Taylor de Slipknot, M.Shadows d’Avenged Sevenfold, Dez Fafara de Coal Chamber ou encore Matt Heafy de Trivium montés également sur scène pour reprendre divers titres de Korn. « One for the books » comme disent les anglais pour qualifier les évènements mémorables.

Par quels albums commencer ?

Si je devais vous recommander un seul album de Skindred, ce serait Babylon, sorti en 2002. Mais si celui-ci ne vous plait guère, Big Tings (2018) et Smile (2023) ont un style plus « moderne » qui pourrait davantage vous convenir.

Et si Webbe profitait de sa venue à Clisson en Juin prochain pour pousser la chansonnette avec les gars de Korn ?

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Merci pour ce focus très intéressant sur Tar Pond que je ne connaissais pas avant l’affiche. :pray:t3:

J’ai pu écouter le dernier album (2023) qui m’a convaincue et qui, je trouve, s’assombrit et s’alourdit au fil des morceaux.

La pochette de leur premier m’a captivée dès le début et vu ce que tu en dis, je pense avoir trouvé mon écoute sombre post-Amenra.

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Je connaissais pas skindred et j’ai kiffé dans une playlist hier…
Ça me fait presque penser à certains morceaux de fff par moments. En plus heavy ( ce qu’était fff dans les 90s) mais ils n’ont pas l’air de s’être assagi.

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White Ward : Black Sax

White Ward est un groupe de post-black metal ukrainien, formé en 2012 à Odesa. Leur musique, décrite comme « intensément déviante » et teintée de noirceur, mélange habilement le black metal avec des éléments de dark jazz, créant une atmosphère unique et captivante.

Origines et Formation : Fondé par le guitariste Yurii Kazaryan, White Ward a connu plusieurs changements de membres au fil des années. Le nom du groupe fait référence à une salle d’asile psychiatrique, reflétant les thèmes de maladie mentale explorés dans leur musique.

White Ward se distingue par l’utilisation du saxophone, ajoutant une dimension mélancolique et atmosphérique à leur son. Leur musique est souvent décrite comme une exploration des états de mort, des mondes après la vie, et des troubles mentaux.

Ils s’inscrivent dans une lignée de groupes qui ont contribué à l’évolution du black metal vers des formes plus expérimentales et atmosphériques, souvent désignées sous le terme de « post-black metal ». White Ward a d’abord puisé ses racines dans le black metal dépressif, un sous-genre qui met l’accent sur des thèmes de désespoir, de maladie mentale et de mélancolie. Cependant, dès leurs débuts, ils ont commencé à explorer des territoires musicaux plus vastes, s’inspirant de la littérature sombre comme les écrits de H.P. Lovecraft et I.M. Banks, ainsi que de l’atmosphère urbaine et des troubles mentaux.

Le terme « post-black metal » a été initialement attribué aux groupes de black metal atmosphérique qui intégraient des structures post-rock dans leur musique, comme Agalloch et Altar of Plagues. White Ward a rapidement adopté cette approche, mélangeant le black metal avec des éléments de jazz, ce qui leur a permis de se démarquer dans le paysage musical.

Avec des albums comme « Futility Report » (2017) et « Love Exchange Failure » (2019), White Ward a continué à évoluer, incorporant des éléments de jazz, de post-rock, et même de dark folk, tout en conservant une intensité et une complexité croissantes dans leur musique. Leur utilisation du saxophone et d’autres instruments non conventionnels pour le genre a ajouté une dimension unique à leur son, les plaçant dans la catégorie des groupes de black metal expérimental.

La sortie de « False Light » (2022) s’est faite dans un contexte particulièrement difficile, avec l’invasion russe de l’Ukraine. Bien que l’album ait été enregistré avant le début de la guerre, il reflète indirectement les tensions et les luttes du pays, ajoutant une couche supplémentaire de profondeur et de résonance à leur œuvre.

White Ward est devenu une figure de proue du label français Debemur Morti Productions, connu pour son soutien à des groupes innovants dans le metal extrême. Leur capacité à fusionner des genres si distincts tout en explorant des thèmes profonds a attiré l’attention et les louanges de la critique, les plaçant parmi les groupes à suivre dans le post-black metal contemporain.

En résumé, White Ward représente une évolution naturelle du black metal vers des formes plus expérimentales et atmosphériques.
Leur musique, riche en émotions et en expérimentations, reflète non seulement leur parcours personnel mais aussi les bouleversements historiques et culturels de leur pays, faisant d’eux un groupe à découvrir pour ceux qui cherchent une expérience musicale profonde.

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Excellent groupe que j’aimerai voir sur scène ! Je connais surtout le dernier album… mais quel album !

Et il y a maintenant une page PeteKennypedia dans le forum ! :star_struck:

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Excellente découverte de ce groupe lors de la Battle grâce à @Olivier08 si je ne dis pas de bêtises. Merci pour le focus !

Il ne faut surtout pas que la Temple joue en même temps que la Valley, sinon il nous faudra choisir entre White Ward (que l’on attend depuis 2023!) et Tar Pond et ce ne serait pas juste pour nous, pauvres festivaliers qui aimeraient voir les deux !

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Nope, il faut que ce soit collaboratif :pray:
Tu veux pas présenter deux trois groupes qui te tiennent à cœur?

@kenny_pecheur a fait un sur Skindred, et pis si vous ne comptez que sur moi, ça va manquer de diversité !

Et @Ride_One_Hell_Of_A comme tu l’as certainement remarqué ainsi que d’autres je me contente de compiler des infos prises ailleurs :grimacing:

T’es devenu un fin connaisseur de Gorilla Biscuits, je te laisse faire leur présentation ? :joy:

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