Ah ben… sur ce coup là, je passe mon tour : mes parents sont de la génération Salut les Copains et a l’exception d H.F. Thiefaine, que j’ai largement lâché depuis, ma sœur et moi ne partageons absolument rien !
Je ne pourrai donc pas vous proposer Frédéric François, Michèle Torr ou Claude François (ça, c’est pour ma sœur 
) parce que je ne m’en suis jamais saisie (je n’ai donc pas eu à les lâcher 
).
Mince, l’ennui avec ce sujet, c’est qu’il arrive bien trop tard. Perso, j’ai déjà joué avec tous les artistes que m’a fait découvrir ma famille. Mais bon, puisqu’on est sur le nouveau forum, on va dire qu’il faut relancer la machine et donner une nouvelle impulsion et donner envie aux nouveaux membres de participer.
Alors voici les Doors que m’a fait découvrir Jean-Paul, mon père, vers mes 11 ans via un best of qu’il possédait. Dans mon souvenir, c’était juste avant de voir le film d’Oliver Stone qui m’a conforté dans l’idée que le groupe était vraiment spécial. Mais comme j’ai une mémoire de merde qui flanche, si ça se trouve c’était après. Je préfère dire « avant », ça fait plus trve. En tout cas, une chose est sûre, c’est que j’étais avant tout séduit par le son de l’orgue (qui remplace la basse d’une formation ordinaire).
Je choisis leur titre le plus connu, Light My Fire, extrait de leur premier album paru en 1967, via une vidéo play-back beaucoup moins connu d’un de leurs premiers passages TV (qui date du 25/08) complètement WTF?
Aujourd’hui, je suis devenu un super gros fan. On va dire que c’est le niveau juste en dessous du fan hardcore. Je collecte TOUT ce qui touche au groupe sur le plan strictement musical. Je dispose par exemple de tous les albums en 3 versions (originale, avec le son du vinyl qui craque, la dernière version CD des 50 ans avec des bonus, et la version Perception Box avec un son en 5.1), plus toutes les archives live officielles, plus des bootlegs des 71 concerts qu’il est possible de détenir, plus tous les documents vidéos possibles. Ça représente plus de 30Go dans des formats compressés.
EDIT : La preuve
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Crutte, désolé Valhallalalalalallaaa…
Hé ben moi la dernière fois que je suis allé chez ma môman j’ai commencé de toucher mon héritage « j’ai plus de quoi les écouter t’façon » qu’elle me dit et entre autres y avait 4 Pink Floyd 
et ça :
Extrait : Scorpions « China White » (« Blackout » - 1982)
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C’est là que je me rends compte à quel point je reviens de loin 
Je te voyais écrire en même temps puis plus rien, je m’en suis douté
Au regard de l’inculture musicale de mes parents, je vais m’abstenir pour ce thème.
On peut inclure les cousins, si ça change quelque chose 
nope, comme Mac Seb. C’est moi qui ai sauvé mes frères et soeur de Nana Mouskouri et Michel Sardou 
OUI, ça change quelque chose !
On pourrait même inclure les neveux ? 
Pour l’anecdote, en 1999, j’ai découvert un pass VIP Motörhead dans le tiroir du bureau de mon père. Il était alors biker et faisait plus ou moins parti du club des Desperados avec lesquels il avait fait un roadtrip aux Etats-Unis (et Arte en avait fait un super documentaire sous-titrés : Les Bronzés aux USA, il me semble). Bref, quand je lui posa la question de savoir si le concert était bien et s’il avait rencontré le groupe, il m’a dit un truc du genre : « j’sais pas, j’suis pas allé ». xrdctfvygbuhnijo,kpl;mùkljkhgjyfhtghjkl
Et les nièces / oncles / tantes et grands-parents et c’est tout !
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Ah ouais et les familles recomposées? T’es passé ultra catho tu ne reconnais pas le divorce ?
Les parâtres et marâtres peuvent crever? 
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Si tu considères ton beau-père comme faisant partie de ta famille proche au même titre que ton frère et qu’il t’a fait découvrir des trucs, on espère pour toi que c’était de la musique, sinon c’est pas ici qu’il te sera le plus utile de le partager…
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Je vais m’abstenir aussi : mes parents ne sont jamais allés à un concert et la musique n’a jamais vraiment fait partie de leur vie. Ils ont même réussi à échapper à la guéguerre Beatles/Stones alors que c’était pendant leur jeunesse. Est-ce que mon père enregistrant les émissions de variétés des années 70 genre Carpentier sur son magnétophone à bandes compte ? 
Je ne risque pas de faire référence à mes parents…
Dans les 45 tours de mon père y avait le chant de la legion, un truc dans le genre, avec sur l’autre face " tiens voila du boudin" ( il avait fait du parachutisme et son service militaire dans le ski alpin je crois).
Par contre, y a pas si longtemps dans ce qu’écoutait une de mes filles et sa cousine…
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Rhapsody- Emerald sword
( faut bien que je radote encore )
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Si tu l’as pas découvert grâce à elles c’est hors sujet, désolé pour vous les plusieurs concernés, surtout pour les vous jeunes qui ont subi tout ça 
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Ma première découverte musicale grâce à (à cause de…) mes parent fut le vinyl « Dans la forêt Magique » de Chantal Goya en 1980. Et du coup enchaînement sur mon premier concert au Palais des Congrès d’Orléans en 1981 avec la mythique tournée « le soulier qui vole »… Cela mérite t-il le post Youtube d’un morceau ???.. Je ne suis pas certain…
Dans la discothèque de mes parents il y avait ce truc là, une compile de chansons françaises contestataires.
Une fois adulte au début de priceminister je m’en suis procuré une copie.
Le rapport avec le metal? C’est que c’est probablement grâce à ça que j’ai très vite aimé la musique et le prog’.
Il y avait au moins deux morceaux d’Henri Tachan, il me semble avoir vu @emerswordmontei en parler, Servat, Brassens, Moustaki, etc
Mais il y avait surtout Catherine Ribeiro + Alpes, qui se retrouvera des années plus tard dans la Nurse With Wound list, et que Wolvenest cite comme référence 
@Skullnbones : Est-ce que ça compte si le disque que nous a fait découvrir un parent ne figure pas dans sa discothèque personnelle mais qu’il l’a emprunté à la médiathèque dans ce but précis ? (dit oui, comme ça je pourrais peut-être finir la semaine )
Pour aujourd’hui, je présente un de mes albums de chevet, fondateur : Dive, des Burning Heads (1994). C’est ma soeur, âgée de 3 années de plus que moi, qui a acheté le CD à sa sortie à la Fnac d’Orléans. J’imagine aujourd’hui qu’il devait être mis en avant dans les rayons puisqu’il s’agissait d’un groupe local et que ma foutue frangine n’était pas punk pour un sous, elle traversait juste sa crise d’ado. Elle a certainement eu un coup de coeur spontané en l’écoutant sur place, voilà tout. Un de ses très rares instants de grâce. Mais il faut aussi replacer les évènements dans leur contexte : la mode était au grunge et Kurt Cobain du groupe Nirvana, auteur du tube à succès Smells Like Teen Spirit, s’était suicidé quelques mois plus tôt, ça avait fait la une partout. Si bien qu’en tant que collégien, même si tu ne te passionnais pas encore pour la musique, t’écoutais Fun Radio et t’étais forcément branché sur la tendance du moment et sur Offspring. Bref, quand ma soeur a rapporté ce disque à la maison, j’étais curieux. C’est avant tout l’artwork qui m’a attiré, avec sa pochette colorée plutôt hippy et les dessins qui se trouvent à l’intérieur. J’ai pas été fan tout de suite mais je commençais à me poser des questions : Pourquoi l’adresse inscrite sur le livret indique « 45100 Orléans » ? Comment savent-ils que j’habite ici ? Pourquoi les noms des musiciens ont-ils une consonance française ? C’est quoi le rapport entre ces américains et la France ? (je précise que tout est écrit en anglais à l’intérieur)… C’est en allant les voir en concert 3 ans plus tard à Bourges que j’ai trouvé toutes mes réponses. Après ça, j’ai volé le CD à ma soeur, je ne lui ai jamais rendu. Il est à côté de moi au moment où j’écris ces lignes. Je sais même pas si elle s’en est rendu compte ni même si le nom des Burning Heads lui dit encore quelque chose.
Cet album contient 13 titres. Je suis fan des 13.
EDIT : ouais, signalons quand même que le mec qui a produit ce disque est le même qui a produit le premier album de Nirvana, Jack Endino.
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Oui. oui. Oui oui 15 caractères
Pareil sur l’inculture des parents mais j’avais une tantine qui était fan d’Adriano Celentano (origines italiennes obligent). J’aime toujours