Voici The Cure avec In Between Days, une chanson de rupture avec du synthé, extrait de l’album The Head On The Door (1985).
Le chanteur a un faux air de Mark « Barney » Greenway de Napalm Death ! Après vocalement et musicalement… J’ai presque failli me faire avoir… 
Le Grind, c’est aussi de l’intérêt pour la médecine… (Hors sujet mais idée soufflée par @Skullnbones mercredi 
)
Infester - Premature Rupture Of Infrarenal Inflammatory Aneurysm Of The Abdominal Tract Opening To The Mega Illiac
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Je radote, mais c’est pour mieux faire apprécier -ou essayer en tout cas -certains groupes que j’aime -
« Dust &Shadow » titre de Dool trop beau…
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Encore un titre hyper connu, retour en 1973.
THE ROLLING STONES sortent leur album Goats Head Soup. Le morceau qui va suivre est composé par Mick Jagger et Keith Richards. Chanson qui parle d’une rupture amoureuse, mais qui permet aussi à Keith de parler, de manière imagée, de sa rupture avec l’héroïne?
Voici donc Angie.
Enjoy 
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Rien que sa voix est faite pour chanter des malheurs et des ruptures (et ça tombe « bien »), il en a vécu pas mal…
Nick Cave a sorti l’album The Boatman’s Call suite à 2 ruptures. Ce magnifique album s’ouvre avec cette merveilleuse chanson : Into my arms
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Une chanson de rupture c’est aussi dire à l’autre qui vient de nous quitter « Je n’ai plus besoin de toi, même si je pensais ne pas pouvoir vivre sans toi ».
Cette chanson est une belle réponse à une rupture :
Gloria Gaynor - I Will Survive
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La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur cette terre
C’est leurs robes légères
Qu’est-ce qu’elles nous auront fait pleurer quand même ! Mais parfois ça donne naissance à de belles choses :
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Bleak est un de mes titres préférés de Blackwater Park - Opeth. C’est un homme qui semble avoir découvert des mensonges de sa femme, et qui choisira le genre de rupture fatale. Il raconte comment il passe à l’acte, et le mélange voix claire et growl retranscrivent bien l’idée que j’ai du crime passionnel.
La voix de Steven Wilson ajoute un côté apaisé à cet au revoir sanglant, une sorte de certitude qui me donne des frissons. Et puis les deux dernières minutes du titre …
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Toute la tendresse d’une rupture :
Rupture avec la vie.
Suprême NTM - 1993… J’appuie sur la gâchette - J’appuie sur la gâchette
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bon exceptionnellement ce sera Converge … que je déteste copieusement, enfin la voix surtout, mais ça suffit à me faire fuir :
Converge - The Saddest Day
On a ouvert le notre par Angie des Stones, mais c’était parce qu’on avait oublié à la maison le vinyl d’AC/DC avec Love Song… 
Retour au sujet avec ce qui est pour moi un des plus beaux slows au monde : Can’t Stand The Night d’Accept. Il me fait toujours autant d’effet après tout ce temps, peut-être parce que j’ai passé des nuits entières à pleurer en l’écoutant après une rupture lorsque j’étais ado…
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Et m…e je voulais metttre " All we love we leave behind" avec une intro de malade batterie et bass! Que j’aime…y compris la voix…y a plein de superbes albums! Hâte de les voir au Motoc!!
Je vais trouver autre chose
Je connais un couple qui a dansé sur Stairway to Heaven, pas très adapté aussi…
La fin d’un monde! Detruit avec leur futur aussi
-Sodom-Agent Orange
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Si je me marie un jour (dans une autre vie, hein), je mettrai cette chanson de rupture avec un synthé : Love Will Tear Us Apart de Joy Division.
J’ai déjà joué avec sur le thème des chansons d’amour alors je ne la reposte pas mais elle est ICI. Je vous invite à cliquer sur le lien si vous n’aviez jamais entendu les 3 versions.
@jpkv : Comme convenu, je reviens vers toi concernant les origines du genre dark ambient. L’auteur de mon bouquin place Brian Eno en tête à la fin des 70’s avec des pièces ambient « inquiétantes », « menaçantes » sans toutefois mettre un nom sur ce sous-genre qu’on ne différenciait pas encore de l’ambient. Comme par hasard, il fait référence aux seuls albums de l’époque que je n’ai encore jamais écouté du Monsieur (mais je vais corriger ce tire). Et en deuxième, il cite Throbbing Gristle, les inventeurs de la musique industrielle, qui pratiquaient ponctuellement des pièces assez longues, sans parole, développant des ambiances lugubres et sordides, mais qu’on ne différenciait pas encore de leur musique industrielle
J’adore ce morceau 
Connais-tu la version de Rodolphe Burger ?
Je ne connaissais pas mais je t’avoue que j’ai du mal. L’originale est tellement parfaite que la reprendre non fidèlement est la dénaturer pour moi. Les Swans en avait fait une aussi, insupportable. Mais j’aime bien celle de Squarepusher.
Summoning - Farewell
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