Je commence la saison 2 de Ragnarock
On a terminé la saison 11 de American Horror Story de notre côté : celle-ci prend place au début des années 80 aux USA et suit la communauté homosexuelle qui va progressivement se faire décimer par un ou plusieurs tueurs.
Une série toujours aussi barrée mais qui cette fois parle d’un sujet on ne peut plus sérieux : la propagation très rapide du SIDA à l’époque, en particulier dans la communauté homosexuelle. J’ai beaucoup aimé la transposition de la maladie (qui est finalement le « méchant » de cette saison) en une sorte de tueur balaise masqué en cuir.
Surprenante saison à plus d’un titre mais qui remet un coup de boost à la série à mon sens.
Sinon, on a commencé le premier épisode de One Piece (l’adaptation live action de Netflix) et c’est étonnamment plutôt sympa !
Il y a quelques semaines j’ai découvert Brimstone sur ma plateforme de streaming préféré (à savoir Shadowz).
Nous ne somme pas ici dans le monde de l’horreur pur (Shadows étant plutôt spécialisé dans le genre), mais face à un western totalement crépusculaire et très violent. Je n’en avais pas entendu parlé et grand mal m’en fasse car j’ai pris une énorme baffe, et je pense que cela aurait été décuplé sur Grand Ecran.
Tous les plans sont hyper travaillés, de vrais tableaux, on en prend plein les yeux. Les personnages sont tous très bons, avec une mention spéciale pour le révérend (Guy Pearce) qui est l’un des pires fdp qu’on ait pu voir sur Grand Ecran. Et cette fin, si désespérée, m’a fait chialer.
Je conseille fortement
Policier sur Arte :
" De Grâce" qui se passe au Havre.
Milieu des dockers, des quartiers, et du traffic de drogues
« portée par des personnages tragiques et une mise en scène majestueuse, nous offre une tragédie qui dépasse l’intrigue policière. »
Ça me parle, vu que j’ai travaillé longtemps au Havre, avec des enfants de dockers et de " quartier" …et c’est prenant…
Belle musique, je trouve en plus ( pas metal )
Je regarde le 2 ème épisode
Je suis dans ton thème plus ou moins, narco trafique mais aux US avec la série Griselda sur Netflix.
Ca commençait avec une citation de Escobar :
The only man I was ever afraid of was a woman named Griselda Blanco
Alors des avis sur Dune 2 ??? Pour ma part très mitigé car fan des romans et de la version lynch. J’ai trouvé des longueurs dues encore à l’aspect esthétique que veut donner Villeneuve à son œuvre. On est bien dans notre époque actuelle où tout doit aller vite… l’histoire devant s’étaler sur plusieurs années l’est en à peine 9 mois… Oui c’est beau, décor grandiose mais après…
Moi je l’ai plutôt apprécié.
Après l’esthétique grandiose du 1, le focus est resserré à échelle humaine, sur les actions et la chaîne des événements.
Je comprends ton point de vue quant aux libertés qui sont prises par le réalisateur lors de l’adaptation, mais je trouve qu’il s’en sort très bien : il a choisi un angle d’attaque qui reste pertinent bien qu’il soit « facile », et parvient à aborder les thématiques fondamentales d’Herbert grâce à ça. Le but du jeu, c’est de rendre rendre digeste un livre hyper dense au cinéma ! Ça signifie laisser de côté certains éléments ou au moins distordre les proportions qu’avait données l’auteur à son épopée à l’origine, et Villeneuve est loin de trahir son sujet.
Pour moi une adaptation doit être fidèle à l’esprit et non à la lettre, et apporter une coloration supplémentaire. Voir Arrakis et les événements de l’Histoire tels que je me les suis représentés lors de ma lecture sur grand écran, ce n’est pas possible - et, selon moi, pas intéressant (un peu comme une reprise, en musique… si ton interprétation est trop proche de l’original… je garde l’original !).
Dans les grandes lignes, j’ai trouvé certains défauts à ce 2e volet, mais je le conseillerais : c’est un beau grand film, sans être un chef-d’œuvre absolu.
Pour moi il est indissociable du 1, car leurs rythmes, leurs thématiques et leurs focales sont différents et complémentaires.
Je me fais les épisodes de…Shogun!
Nouvelle adaptation sur Disney+
Avec des dialogues en japonnais en partie, de superbes décors , costumes, armures…acteurs, combats etc…
Des intrigues entre différents seigneurs, entre l’ eglise catholique et le pouvoir, l argent…les coutumes japonnaises .
J’avais lu le livre, y a longremps et vu le film de 1980 :
" Il s’agit d’une adaptation du roman du même titre de James Clavell, ayant déjà été adapté dans une mini-série diffusée en 1980, avec Toshirō Mifune et Richard Chamberlain."
Sinon, demain sur Arte 2 documentaires
The Doors :
- 22h 30 When You’re Strange
-23h30 Morrison Hotel
J ai attaqué aussi shogun! Et pour l instant je trouve ca vraiment bien!
On a terminé la dernière saison (11) de Walking Dead : la série a vraiment eu des hauts et des bas mais cette dernière saison fair largement le taff.
On a commencé Black Knight sur Netflix (2 épisodes sur 6) : série Coréenne (je crois) post-apo où l’oxygène est devenu une denrée rare que vous devez payer. On verra ce que ça donne sur les 4 autres épisodes mais pour le moment, j’adhère bien.
Y a 10 épisodes, mais pour l’instant que 4 episodes regroupés en une saison
Rapide petit rapport des 2 premières journées aux Hallucinations Collective de Lyon, 17ème édition qui se tiens comme chaque année au génial cinéma Comoedia. Trois films vus de mon côté :
- Mardi 26 mars : Concrete Utopia de Um Tae-hwa. Une séance d’ouverture dans la Grande Salle comble, ca fait vraiment plaisir pour eux. Le cinéma de Corée du sud est depuis un moment une référence au niveau mondial, et là encore on est face à une œuvre très intéressante. Adaptation d’un web-anime (ca a un nom, mais me souviens plus), je m’attendais à un truc bien plus bourrin et blockbuster. Film d’un genre post apocalyptique, c’est très sombre, nihiliste voir misanthropique, et fait résonner pas mal de sujets d’actualités. Y’a quelques passages qui envoie du lourd niveau action, mais sans que cela soit trop tape à l’œil. Superbement réalisé, des acteurs hypers convaincants, et une bande son très bonne. Une magnifique entrée en matière pour le festival. Certainement une des dernières projection sur Grand Ecran (le film a fait quelques festoches), puisque ca arrive sur Canal prochainement.
- Mercredi 27 mars : film 1 : Wake Up du collectif RKKS. Premier film en compétition, catégorisé comme slasher, perso je remets en cause cette appellation. Même si on est en face d’un groupe de jeunes qui se fait décimer par un tueur, souvent à l’arme blanche, on n’y retrouve pas toutes les caractéristiques. On est plus dans un genre de Home Invasion inversé (enfin, c’est pas une maison, mais un magasin type Ikea qui est envahit par une bande d’activistes). Plutôt divertissants, avec quelques scènes assez chocs qui font grincer des dents, c’est assez bourrin. Loin d’être inoubliable, mais ca reste plaisant d’avoir la chance de voir ce genre de films de temps en temps sur Grand Ecran. J’ai voté 3 sur 5 en sortie de séance.
- Mercredi 27 mars : film 2 : A Way To Die - the films of John Balance and Peter Christopherson de Maxime Lachaud & Reivaks Timeless. John Balance et Peter Chistopherson sont les deux fondateurs du mythique groupe Coil. Tout comme la musique de Coil, nous sommes ici devant un film hyper expérimental. J’avais un peu peur de me faire chier, mais au final ce fût tout le contraire. Les deux réalisateurs ont déjà travaillé avec les membres de Coil (tous les deux décédés) dans la publication de livres de photos. Ils sont en relation avec les légataires des deux hommes, et après leurs décès ils se sont fait remettre un lot impressionnant d’images filmées. Ils ont décidé de faire numériser ce qui pouvaitl’être et d’en faire un montage. Le film est toujours en cours de construction, c’était hier sa troisième projection en festival, avec une version jamais vues (des images en plus et d’autre retirées). Cette version ne couvre pour le moment que les années 70 à milieu 80 (il reste une gros paquet d’images, mais dans des formats autres sur fin 80 et années 90 qui devraient être montés dans un temps 2). C’est muet, et donc avec tout du long une superbe bande son avec des musiques de Coil, dont pas mal d’inédits qui étaient fournies avec les bandes vidéos. Certaines images sont plus du domaine personnel, voyages des deux compères, images de famille, mais ces images sont magnifiques pour la mise en avant de la complicité et l’amour entre John et Peter. Des courts métrages beaucoup plus professionnels, assez sombres et extrêmes. C’est très sexualisé (et homosexualisé, on ne verra que des sexes d’hommes dans ces images), fétichiste, sado masochiste, scarification, prise de drogue, bref pour public averti. Quelques extraits de concerts (uniquement des images - pas de son, cela restera du Coil par dessus), dont un passage hyper impressionnant j’ai trouvé avec les Virgin Prunes. Et enfin il y a des rush de clips, avec lesquels les deux réalisateurs / monteurs ont fait l’exercice de remonter des clips assez proches des originaux, mais tout de même différents et uniques. Le film se terminera d’ailleurs avec un montage du clip de l’extraordinaire reprise de Tainted Love. Tout le monde ne sera pas réceptif, normal vu le côté expérimental (plusieurs spectateurs sont sortis en cours de visionnage), mais j’ai vraiment beaucoup aimé.
Rapide petit rapport du 3ème jour aux Hallucinations Collective de Lyon, 17ème édition qui se tiens comme chaque année au génial cinéma Comoedia. Trois films vus de mon côté :
- Jeudi 28 mars : La maison aux fenêtres qui rient de Pupi Avati. Un classique du cinéma de genre italien des années 70, que je n’avait jamais vu. Ca surfe sur le giallo sans en être vraiment un. Bon, avouons le, la séance de 14h30, post repas, en ayant bossé le matin est pas la plus simple à aborder, surtout sur un film avec une narration un peu lente. J’aurais donc piqué un peu du nez par moment. Mais cela ne m’a pas empêché d’avoir une idée de l’ensemble de l’oeuvre. Elle dispense d’une atmosphère assez palpable, avec une bande son qui si elle est bien ancrée dans les années 80, colle parfaitement au film. Quelques passages un peu datés (notamment le twist final), mais c’est bien maitrisé niveau réalisation et l’ambiance est totalement maitrisé du début à la fin. Et la restauration de l’image est superbe. Une chance d’avoir pu le découvrir sur Grand Ecran
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Jeudi 28 mars : Pendant ce temps sur terre de Jérémy Clapin. Premier gros coup de cœur du festival. Alors je ne sais pas si c’est du chauvinisme, nous sommes face à un film français, qui plus est tourné en région Rhône Alpes Auvergne, mais c’est typiquement le genre de film français qui me parle. Jérémy Clapin est issu du monde de l’animation, et c’est son premier film en prises de vues réelles (mais il gardera certains passages en anime). Nous sommes face à une histoire assez simple, avec une petite dose de SF. Mais pas d’esbrouffe ici, pas de CGI et pas d’effets à la mords mois le nœud dans tous les sens. La réalisation est superbe, avec notamment des prises des vues en milieux naturels absolument magnifiques (la forêt d’Orcines
). Le son est d’une maitrise absolue, que ce soit la bande originale ou les sons en soit tout du long. Je suis très sensible au son dans les films, depuis toujours, et là j’en ai pris plein les oreilles (je suis tellement content de l’avoir vu dans ces conditions). Un film sur le deuil, un film sur les exclus de notre société, l’actrice principale Megan Northman crève l’écran je trouve. J’ai un moment envisagé avoir deviné la fin du film, et je me suis dis si c’est le cas je lui mets 4/5. Mais au final je suis tellement content de m’être trompé, tellement j’ai bien plus apprécié la vraie fin, et donc au final ce sera un 5/5 pour moi pour ce film en compétition. C’est sobre, ca plaira pas à tous (j’ai entendu des avis assez négatifs dans la file pour le film suivant, notamment de la « presse »), mais j’ai adoré. Et ca sort normalement en salle au mois de juillet. En plus de cela il y aura une séance de question réponse très sympa avec le réalisateur à la fin de la projection
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Jeudi 28 mars : The Fireworks Woman de Wes Craven. Alors, c’est Wes Craven mais sous un pseudonyme. En effet, après avoir débuté, avec Sean S. Cunningham à la production, quelques années avant, avec La Dernière Maison Sur La Gauche, les deux complices se retrouvent persona non grata dans la réalisation de films, du fait du caractère très extrême de ce dernier. Galérant à passer à la suite, Wes Craven discute avec un de ces amis, qui lui propose un deal : réalise un porno qui ramène de l’argent, et si tu réussis, je finance ton prochain film. Le deuxième film de Craven sera donc un porno, toujours produit par Cunningham. Sauf que, même si il est permis d’en diffuser dans les salles, il est interdit d’en réaliser (super le système), il se cachera sous un pseudo. Mais, même si nous sommes face à une œuvre effectivement pornographique, cela reste Wes Craven. Et il va y cracher toute sa hargne, si bien que le film sera copieusement découpé par la censure à sa sortie. On retrouve des gros points de cohérences avec La Dernière Maison d’ailleurs sur plusieurs scènes, mais encore plus poussés à l’extrême. La version découverte hier reste une version quasi non censurée, avec toutes les scènes coupées, mais avec une scène de la version d’origine absente (il s’agit d’une bobine de collection privée, et souvent à l’époque les projectionnistes avaient tendance à couper une scène dans la bobine pour la garder pour eux). Au final nous sommes face à une œuvre qui bouscule un sacré paquet de tabous, le porno de l’époque ayant été souvent très contestataire, en opposition à ce qui peut se faire de nos jour où le seul but est de généré un max de pognon. Une curiosité, à savoir que Craven remportera son pari, et que ce porno rapportera de l’argent et permettra à ce que son ami lui produise son prochain film, qui le fera vraiment découvrir, à savoir The Hills Have Eyes (que je trouve personnellement totalement naze
)
@CORKAGE
" la forêt d’Orcines" au dessus de Chamalières et Clermont- Ferrand?
Yes c’est bien cela
Rapide petit rapport du 5ème jour aux Hallucinations Collective de Lyon, 17ème édition qui se tiens comme chaque année au génial cinéma Comoedia (pas vu de séance sur le jour 4), avec 2 films au programme. Hélas, gros coup de fatigue sur le premier film, que j’attendais de pieds fermes, et qui m’empêchera de l’apprécier dans sa totalité et à sa juste valeur
- Samedi 30 mars : When Evil Lurks de Demián Rugna. Un film dont j’entends parler depuis un moment sur les réseaux, et qui est en train de se tailler une solide réputation dans les festivals de films de genre. Nous sommes dans une œuvre autour de la possession démoniaque, mais bien loin de l’Exorciste. Un petit village se trouve à la proie de cas de possession en chaine. C’est hargneux, violent et sans concessions, et ca mords là où ca fait mal (Spoiler Alerte : en témoigne la scène avec le chien qui a fait beaucoup d’effet dans la salle). Je suis donc désolé d’avoir piqué du nez par moments, pas du tout du fait du film qui était très maitrisé, et typiquement ce que j’attends d’un film d’horreur, mais la fatigue on peut pas faire grand chose contre (et ca n’est pas le seul jour où j’ai eu des coups de barre, je ferais pas de réels conte rendu du dernier jour, parce que là j’ai loupé beaucoup trop des films). Le film doit normalement voir une sortie en salle au mois de mai, diffusé par ESC distribution et Shadowz, je me ferais une séance de rattrapage pour l’apprécier à sa juste valeur.
- Samedi 30 mars : The Boxer’s Omen de Chih-Hung Kuei. Film de Hong Kong produit par la mythique Shaw Brothers. Historiquement la firme était surtout coutumière des films de kung fu, mais à plus tard produit des films de genre (en surfant sur la vague des succès US de fin des années 70), tournant beaucoup autour de la magie noire et des légendes chinoises. Le film est totalement barré, et peut paraître souvent kitch pour le spectateur occidental des années 2020 (le film date de 1983). Ce dernier sera proposé dans le cadre de la Carte Blanche à Robert Morgan (réalisateur du film de clôture). Une curiosité, dans une version magnifiquement restaurée. Je ne suis pas forcément le public de ce genre de film, c’est assez culte, et cela restera un moment plutôt sympa, avec pas mal de rires dans la salle.
Sur le site d’Arte, gros thème sur le Metal tout le mois… juste vu une pub sur Arte : interviews, concerts et reports etc…
Rien que de voir la pub, ça fait du bien!
Oui, vu aussi sur le Arte mag : concert live de Behemoth notamment
Rapide petit rapport du 6ème jour aux Hallucinations Collective de Lyon (et un rapide survol du 7ème), 17ème édition qui se tiens comme chaque année au génial cinéma Comoedia, avec 2 films au programme chaque joue. Hélas, gros coup de fatigue sur le dernier jour, j’aurais au final pas vu grand chose, d’où le rapide survol
- Dimanche 31 mars : Late Night With the Devil de Cameron Cairnes & Colin Cairnes. Un film dont j’attendais beaucoup et je n’ai pas été déçu. Traitant à nouveau de la possession démoniaque, nous sommes entre le found footage et le documentaire. L’histoire d’un présentateur de Late Night Show en perte de vitesse dans les années 70 qui va tenter le tout pour le tour en invitant une psy en charge d’une enfant de 13 ans en proie à ce qui ressemble à un cas de possession. J’ai adoré la manière dont c’est tourné, lorsqu’on est en live action, les images sont très typées 70th, et on bascule sur des images beaucoup plus modernes dès lors qu’on est hors champ, avec un très joli noir & blanc. En terme de possession, on a un grand hommage au maître étalon du genre (L’Exorciste), en terme de maquillage et de bruitage. Ca monte bien en puissance, c’est maitrisé de bout en bout, j’y ai mis 5/5 (film en compétition)
- Dimanche 31 mars : Tank Girl de Rachel Talalay. Adaptation d’un comics visiblement assez culte, et à destination des adultes, dans le cadre de la thématique de cette année « Haro sur l’autorité ». Film post-apo, où l’eau est devenue denrée très rare, et où une jeune punk, accompagnée d’une fille plus sages et d’hommes kangourou hybrides lutent contre une multinationale et son président (Malcolm McDowell). C’est assez foutraque, mais cela reste plaisant à regarder, même si certains passages sont assez foirés à mon sens (Ice T en chef des homo-kangourous, au secours). Ca m’a quand même donné envie de découvrir la BD (le film comprends plusieurs passages en dessins) qui du coup est plus osée de ce que j’ai crû comprendre.
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Lundi 1er avril : Last House On Dead End Street de Roger Watkins. Anniversaire des 3 ans de ma petite dernière le midi, matinée à préparer à manger + repas copieux et un peu arrosé = grosse séance de piquage de nez. Je ne verrais pas grand chose du film, que je connaissais par ailleurs, l’ayant en DVD. Juste dommage de ne pas avoir pu profiter de la chance de découvrir cet OFNI sur grand écran. Même si cela ne montre pas grand chose, c’est sale, poisseux, glauque, tout ce que j’aime
Film dans le cadre de la Carte Blanche à Robert Morgan
- Lundi 1er avril : Stop Motion de Robert Morgan, film de clôture. Robert Morgan était l’invité principal de cette édition, avec la Carte Blanche associée. Il a réalisé jusque là uniquement des cours en stop motion, dont beaucoup ont été projeté aux Hallus. C’est même lui qui réalisera il y a quelques années un rapide clip pour eux, qui est projeté en début de chaque séance. Nous sommes ici sur son premier cours alliant Stop Motion et film avec de vrais acteurs. Anniversaire de ma petite dernière le midi, vous connaissez la chanson, je ne survivrais pas non plus à ce dernier film, qui semble pourtant passionnant. Donc pas vraiment de compte rendu, juste une grosse envie d’avoir la chance de le découvrir dans de meilleures conditions.
Au final, Late Night With The Devil recevra le Grand Prix, et Pendant Ce Temps Sur Terre le prix du jury jeune, et c’est amplement mérité de ce que j’ai vu (mais je n’ai pas vu la totalité des films en compétition, j’ai mis 5/5 à ces deux là). Un festival vraiment au top, avec une programmation pointue, vivement l’édition 2025 !
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Cela donne bien envie, merci pour ces retours !!
De mon côté, tellement à l’écoute de tout ce qui sort niveau musique en ce moment que je n’ai pas le temps de regarder grand chose. De mon côté du moins car avec Madame, on a avancé sur quelques séries.
J’avais parlé de Black Knight il y a un mois, on a bouffé les 6 épisodes assez rapidement. Une série Coréenne sur Netflix, post-apo, où l’oxygène est devenue une denrée rare. Plutôt sympa, ça se regarde d’une traite sans déplaisir. Quelques effets spéciaux un peu cheap (budget limité j’imagine) mais ça tient la route.
On a regardé également les 4 premiers épisodes (les autres ne sont pas encore disponibles) de American Horror Stories S3, le spin-off de American Horror Story. Le spin-off propose donc un épisode = une histoire (contrairement à la série de base qui propose une saison = une histoire).
Le premier (BFF en ligne) parle d’une adolescente qui se lie d’amitié avec une autre fille en ligne qui la pousse à s’assumer et à faire ce qu’elle veut, sans soucier du regard des gens. Forcément, ça part assez loin et la relation fusionnelle se termine en jalousie qui va mener vers une fin, certes prévisible, mais tout de même bien ficelée. J’ai plutôt apprécié.
Le second épisode (Daphne) met en avant un riche marchand d’art qui se lie d’amitié avec une IA très développée, pendant un confinement (quelques années après le COVID). J’en dis pas plus, c’est plutôt sympa à regarder, vu que c’est du AMH, ça se termine forcément assez mal (une constante dans la série hein !), un petit côté Black Mirror sur cet épisode qui n’est pas déplaisant.
Le troisième épisode s’appelle « Ver Solitaire » et voit une jeune fille qui veut devenir mannequin et qui est prête à tout pour avoir le bon poids. Je vous laisse imaginer, au vu du titre et du synopsis ce que vous allez voir pendant l’épisode. Je l’ai trouvé intéressant car c’est une belle critique de tout ce métier et ce que ça engendre comme problèmes chez les femmes qui veulent percer dans ce milieu. Bon, la fin de l’épisode termine en gros nanard horrifique, c’est presque drôle honnêtement.
Le dernier épisode m’a mis mal à l’aise car ça parle de trafic d’organes (donc de prélèvement d’organes sur des personnes sans leur consentement). Il y a donc un peu trop de bistouri pour moi dans cet épisode, le genre de truc qui me met très mal à l’aise personnellement. L’épisode qui m’a moins marqué, la fin étant assez capillotractée que je trouve.
Du coup, en attendant la suite des épisodes, on a commencé Parasyte (la série, pas l’animé) qui est justement inspiré et adapté librement de l’animé. Deux épisodes de vue, c’est très très fun (un peu dégueu vu la gueule des parasites) et un peu kitschouille donc forcément bien !
De mon côté, en solo, j’ai enfin terminé les 64 épisodes de Full Metal Alchemist Brotherhood : quelle claque ! Je comprends pourquoi cet animé a tant marché. Les personnages sont ultra attachants, ça parle d’alchimie, de transmutation humaine, de guerre, de sacrifices du plus grand nombre pour en sauver quelques uns. Et c’est bourré de combat épique aussi. Content d’avoir pris le temps de me le mater dans son intégralité !