Prochain concert SLIFT à Angers au Chabada!!!
Est-ce qu’il y en a ici qui y vont? (pour se retrouver là-bas)
Bienvenue à toi ! Pour ce coup là, je n’ai pas prévu d’y aller (même si j’adore SLIFT), mais comme je ne suis pas très loin d’Angers, ça pourra se faire sur une autre date
Merci pour cet excellent report ! Tu as le sens du mot juste, c’est fluide, c’est drôle, et ça donne envie de découvrir Helga (je connais déjà un peu Oranssi Pazuzu que j’apprécie, et j’ai beaucoup de mal avec Solstafir, surtout avec leurs postures scéniques qui me paraissent bien souvent être un enchaînement de clichés, comme le coup des guitaristes dos à dos qu’ils vous ont fort heureusement épargné haha).
Merci à toi pour ce « petit » report
Merci @Enufsed. Je ne pourrai voir mes chers Oranssi Pazuzu (que j’écoute en ce moment même en portant un de leurs tishs…) ni sur cette tournée ni au Roadburn (absent les deux premiers jours
), et ton report est une procuration bienvenue. Et je note Helga dans la liste des groupes à voir un jour.
[Je poste mon « report » du concert du 14/11/24 et ma découverte du Dropkick Bar d’Orléans, que je n’avais pas pris le temps de publier parce que… trop la course !]
Jeudi, il est enfin 19h, je termine ma journée de boulot et vois un SMS sur mon portable :
« Salut, tu viens au concert ce soir ? »
Et m…rde.
J’ai zappé le concert de Witchorious.
Enfin pas « zappé », car il me tardait de voir, pas trop loin et pour trois ronds, ce petit groupe qui m’a tiré l’oreille dès la première écoute, il y a quelques semaines (merci le forum ou le Discord, je ne sais plus^^).
Mais j’ai tellement la tête dans le guidon que j’ai perdu le fil du calendrier…
J’ai mes fringues et ma tronche fatiguées du taf, mon manteau et le plaid de 8kg qui me sert d’écharpe, et surtout je n’ai pas mes protections auditives, mais yolo.
Je taille la route et rejoins à l’arrache le pote qui m’a heureusement rappelé cette soirée au Dropkick Bar d’Orléans, avec à l’affiche les sorciers de Seine-et-Marne et les Orléanais des Bâtards du Roi.
Nous fendons la foule qui occupe le bar-restaurant pour nous engouffrer au sous-sol d’où provient la musique.
Dans l’escalier, un jeune homme tient la caisse : c’est 6€ l’entrée (5€ en prévente), mais lui comme moi sommes en rade de monnaie ; il refuse les 15€ que je lui tends et n’en prend que 10.
Pour la peine je le complimente sur son t-shirt Kanonenfieber ().
Witchorious (« doom »)
Vu nos goûts personnels, nous sommes un peu déçus de constater que c’est Witchorious qui assure la première partie et non l’inverse, car nous avons manqué le début du set.
La salle est clairsemée et ça me pince le cœur, moi qui ne suis encore habituée qu’aux « grosses » salles dans lesquelles le public se fond en un blob anonyme…
Nous nous plaçons au centre-gauche de la scène, à ce que l’on pourrait appeler deuxième rang, mais il n’y a personne sur les premiers mètres : est-on tous aussi timides que moi, dans cette foutue salle ?… Honnêtement, le son explique aussi cette configuration : c’est réglé très fort (j’irai chercher des bouchons mousse à la caisse dès le 2e morceau), et la qualité est meilleure avec un peu de recul.
On peut regretter d’être peu nombreux et placés à la mode Covid, mais à y regarder de plus près, les personnes présentes sont attentives, chacune à son rythme et à son amplitude…
Car assez parlé de motifs de déception : le groupe, fondé en 2019, a les épaules, le talent et l’envie, je vous invite à les suivre !
C’est drôle car je retrouve dans les attitudes des musiciens sur scène l’incarnation de la combinaison de couleurs qui m’a plu dans leur musique : le chanteur-guitariste a une posture théâtrale, très expressive et portée sur la narration, avec un regard incisif vissé sur le public. Le batteur est focus sur son jeu : il mène le rythme, le rythme le mène. La chanteuse-bassiste est une entité poétique toute en introspection, qui apporte une tension groovy à l’ensemble.
Les titres s’enchaînent avec conviction et font mouche sur moi, mon ami et, je crois, les gens qui nous entourent.
Je suis ravie de constater que le couple de voix qui m’a tant plu sur enregistrement se retrouve bel et bien sur scène : c’est juste, ça a du coffre, et l’alchimie entre les deux vocalistes se vérifie.
Pour autant que mon inculture technique me permette d’en juger, le niveau instrumental est bon - mention spéciale à la bassiste, qui, en plus du reste, gère le thérémine posé nonchalamment à ses pieds comme si c’était un banjo (notez que, ne sachant même pas siffler, je suis facilement impressionnable. Même par un banjo, en fait. Mais quand même !).
Le chanteur et frontman remercie plusieurs fois le public - j’espère qu’ils ont eu un auditoire plus dense sur leurs autres dates, et que notre retenue ne leur aura pas sapé le moral…
Des applaudissements, quelques cris d’encouragement (ou alors c’est juste l’écho de ma voix dans mes bouchons), mais à la fin du set, les gens sortent pour la plupart sans un regard pour les artistes à 2m d’eux ?!… euh… encore la timidité, j’imagine ?…
On va attendre les musiciens au merch, où je leur prends un vinyle (que je n’ai pas fait signer : pourquoi ?) et mon ami un t-shirt. Cette fois j’ai insisté pour qu’ils gardent ma monnaie. On les remercie pour le concert, et on les assure de la qualité et de la pertinence de ce qu’ils proposent. On parle de la fertilité de la scène metal, de la beauté de leur artwork, des dates qu’ils ont à venir (première partie de Monkey3 à Paris le 02/12 !)…
Le Dropkick Bar d’Orléans
On finit par leur ficher la paix et nous quittons la salle de concert, composée d’une scène à peine surélevée, d’une fosse, et d’une étroite mezzanine qui accueille la régie et un micro stand de merch dans le fond de la pièce.
On remonte au RDC pour manger un bout (se péter le bide, pour être honnête) aux burgers et frites maison baptisés en l’honneur de la scène metal (une honte que le « Gojira » ne soit pas végétarien ).
La qualité et la quantité y sont, on se fait plaisir et on se dit qu’on reviendra certainement
Les Bâtards du Roi (« black »)
Les reliefs de mon « Metallica » végé emballés, on redescend pour assister aux deux derniers morceaux des stars de la soirée.
Le public est un peu plus dense, et les musiciens se donnent dans le final de leur spectacle en costumes médiévalisants assez sobres, anonymisés par des masques de toile de jute. La musique ne donne pas du tout dans le pouet-pouet foire médiévale, ça raconte de sales histoires dans la langue de Gilles de Rais, inspirées par l’Histoire de France et d’Orléans, si j’ai bien suivi.
Nous restons ces quelques minutes sur le côté de la salle, où le son n’est pas formidable, mais la perf live donne déjà plus de corps au black orléanais, qui ne m’avait pas spécialement charmée en version studio.
Je pense que ça vaut une écoute (ça cite Houle et Non est Deus en inspis ).
La soirée s’achève.
Je suis contente de m’être bougée, d’avoir découvert cette bonne adresse, et surtout d’avoir vu ces jeunes musiciens qu’on retrouvera peut-être dans quelques années sur de plus grosses affiches…
Promis, je me lèverai pour voir Witchorious en Valley quand ils y seront programmés
chronique
Within Temptation - Bleed Out Tour - Toulouse (28 Novembre 2024)
Voici un petit report du passage de Within Temptation avec Blind 8 et Annisokay en première partie.
Blind8
Super énergie de ce groupe Ukrainien, particulièrement du guitariste. Du metalcore sans fioritures mais malheureusement aussi sans originalité. Les morceaux s’enchaînent bien, et c’est une bonne première assez dynamique.Le chanteur se donne à fond mais je regrette les chœurs pré-enregistrés qui aident évidemment. Les bandes enregistrées tuent les vrais concerts. Si l’instrument n’est pas sur scene, ne le jouez pas mais par pitié ne balancez pas une bande Sa voix claire est parfois un peu “criarde” mais très juste et bien en place.
Un groupe engagé pour son pays, un discours politique au milieu, malheureusement nécessaire…
Gros coup de gueule : éteignez les lumières aussi pour les premières parties, elles font partie du concert.
1. Laniakea
2. Nightmare
3. OKP
4. Overcome the darkness
5. Abandoned
6. Bulletproof
Annisokay
Un groupe que j’avais déjà vu en première partie d’Electric Callboy, à l’époque j’avais trouvé leur prestation un peu mécanique et sans âme.Que dire aujourd’hui ? Ils ont bien grandi. Leur présence scénique s’est étoffée. Une chouette scénographie même si simple (deux écrans, quelques lignes d’éclairage) avec une entrée soignée. Leur mélange de chant clair, chant saturé et hip-hop est efficace.
Le titre “Like a parasite” avec Sharon de Within Temptation est un banger et a réussi à réveiller un peu la salle (remplie pour Within Temptation après tout). Respect à elle d’honorer ce petit passage avec la première partie.
Les différents drops de leurs morceaux sont bien bien efficaces et réveillent les rares endormis.
La belle surprise de milieu de set, une reprise de One Step Closer de Linkin Park (assez réussie).
Les deux derniers titres Calamity et STFU sont vraiment bons pour tenter de faire bouger et chanter un public Toulousain un peu amorphe…
(Je mets une petite pièce sur un passage au Hellfest)
1. Throne of the sunset
2. Ultraviolet
3. Like a parasite
4. One step closer
5. Human
6. Calamity
7. STFU
Within Temptation
We go to war
Excellente introduction musicale et visuelle.Bon choix de morceau pour débuter le set. La voix cristalline de Sharon est parfaitement en place (même si bien aidée par les chœurs et les effets).Bleed out
La voix de Sharon est pour l’instant parfaite ce soir. Le choix de démarrer avec des titres du dernier album uniquement est bon car on enchaîne bien avec l’énergie “metalcore” des premières parties qui du coup ne faiblit pas. Le dernier album est beaucoup moins symphonique que les titres de leurs débuts, ça se ressent dans les rythmes et la voix (qui n’est plus une voix de tête sur l’intégralité du morceau).Ritual
Les décors virtuels sont absolument géniaux, un vrai boulot de scénographie a été fait ! Ce titre presque bluesy par certains aspects a un groove plutôt sympa, mais ce n’est définitivement pas le meilleur titre de la soirée ou de l’album.Within Temptation n’étaient pas venus à Toulouse depuis dix ans, et la dernière fois c’était au Bikini une salle bien plus petite dont Sharon de souvient parfaitement. L’accueil de Toulouse me paraît malheureusement un peu froid ce soir, les températures extérieures n’aident pas peut être ?
Don’t pray for me
Je trouve ce titre splendide et magnifiquement interprété ce soir ! Les quelques notes lyriques en voix de tête sont impeccables, les deux guitaristes semblent heureux d’être là et ça se voit, ça se ressent, et ça fait plaisir. Ils étaient bien trop effacés jusqu’à présent. Malheureusement, à part deux petits solos, on ne les reverra pas.Wireless
Les cinq titres issus du dernier album se ressemblent beaucoup et franchement j’ai un peu décroché pendant ce morceau... trop de similitudes avec le reste.The reckoning
Heureusement que ce morceau arrive car il a une énergie de malade. Bon malheureusement Jacoby Shaddix de Papa Roach n’est évidemment pas là mais Sharon assure son couplet. Un morceau presque guerrier qui électrise la salle, je trouve qu’elle était bien calme.Shot in the dark
Les deux guitaristes prennent une pause - mauvais signe - car c’est le synthétiseur pour jouer les faux violons qui prend le relai. Heureusement, ils reviennent vite. On sent que l’énergie est différente sur ces morceaux plus anciens, mais c’est je crois ce qu’attendait toute la salle. C’est parfaitement exécuté, Sharon ponctue son chant de quelques “Toulouse” qui font plaisir à entendre (oui , j’aime les concerts à la maison).Beaucoup de discours de paix, qu’on sent sincères… l’engagement de l’interprète à ce sujet est de longue date.
Stand my ground
Le morceau qui m’a fait découvrir le groupe, toujours une certaine émotion de l’entendre sur scène. Sur ce titre tout le charisme et l’enthousiasme communicatif de Sharon ressort et c’est un delice à déguster pour les esgourdes.A fool’s parade (avec Alex Yarmak)
Ce duo fonctionne très bien, les deux voix s’accordent très bien, probablement le morceau le plus énervé de la soiree avec un break très sympa où Alex Yarmak est en solo.L’occasion de rappeler la souffrance du peuple Ukrainien (puisqu’Alex Yarmak est ukrainien), y a un côté concert caritatif par moments… Qui peut lasser certains.
The Promise
Encore une utilisation incroyable des décors virtuels pour introduire ce titre avec Tarja avec une intro musicale sur laquelle vient se glisser la voix de tête de Sharon (sans une fausseté) puis la voix de Tarja se joint à la sienne dans une parfaite symbiose (bluffant). Quel beau moment de musique ! On retrouve les premiers amours de Within Temptation avec ce moment de métal symphonique pur et dur. Par contre, un jour Within Temptation jouera avec des vrais violons et pas avec un synthétiseur… je l’espère car ce son fake j’en peux plus.I feel immortal
Parenthèse poétique avec ce titre de Tarja repris à deux voix qui s’accordent si bien. Un doux moment de complicité sur scène. Mais franchement, je ne suis pas client de ce genre de titre un peu mélancolique.Supernova
Un des titres de l’album Resist avec ses passages electros. Un titre que personnellement je trouve très réussi ! Sur scène on trouve la même énergie que sur le disque. L’utilisation des écrans et de ces décors virtuels est parfaite, c’est vraiment un spectacle dans le spectacle.Faster
Bon choix pour conclure (avant le rappel) c’est un morceau rythmé avec un refrain entraînant. Maintenant, la voix de Sharon fatigue un peu en cette fin de set, le morceau est toutefois bien réussi et tout le groupe y met du coeur.Rappel - Our solemn hour
Que serait du métal symphonique sans un peu de latin ? Il est temps de réviser ses déclinaisons “Sanctus Espiritus ! Sanctus Espiritus ! Sanctus Espiritus “. Incroyable de voir comment Within Temptation a vraiment deux versants : tous les titres de la génération précédente ont ce son caractéristique du métal symphonique du début des années 2000 et les titres plus récents se sont nourris d’autres influences. Mais à l’applaudimètre ce sont les anciens morceaux qui ont la faveur du public.All I need
Nouvelle parenthèse “lumières et briquets”, c’est agréable et la voix de Sharon est douce et berçante. Clairement pas pour moi mais le public semble apprécier, tant mieux pour eux, mais ce registre ne m’emballe pas.Paradise
C’est le retour des violons synthétiques pour ce titre et de Tarja par la même occasion. Ce titre dansant (oui dansant), rythmé envoie le pâté (*enfin le foie gras on est dans le Sud-Ouest*) et ces deux voix sont définitivement faites pour aller ensemble.Mother Earth
On ressort un vieux titre des placards, tout en voix de tête (contrairement aux titres plus récents) et on sent le batteur qui se fait enfin plaisir. Je l’ai trouvé très discret jusqu’à présent. Je n’en ai pas assez parlé mais il est quand même plutôt bon. Ce n’est pas dans ce style-là que je préfère le groupe mais je comprends que pour de nombreux fans c’est ça le vrai Within Temptation.Le concert se termine sur de belles acclamations et de longs applaudissements. Mérités car au global c’est un concert réussi et bien cadencé, un plutôt bon choix de set list avec un focus sur le dernier album au début qui a pu décevoir les fans de la première heure.
Les points positifs :
- la voix de Sharon impeccable de bout en bout, son sourire et son magnétisme
- l’utilisation des décors et des écrans
- les échanges nombreux avec le public
- les guests, heureux d’être là
Les points négatifs :
- Le son pas au niveau pour Blind 8
- Les musiciens qui font parfois un peu plante verte autour de Sharon
- L’abus de chœurs pré-enregistrés
MainStage 2
Artiste présent en 2023
Merci pour cet excellent report, ça donne envie de creuser Oransi et de découvrir Helga (j’aime beaucoup Sylvaine déjà, ratée au HF pour clash, rattapege depuis en ouverture d’Eivor).
Merci @Mythrandil pour le report ultra complet. On sent que tu aimes sincèrement le groupe ! Je garde un bon souvenir de Within Temptation au Hellfest 2016, même si ce n’est pas ma came (mais faire un concert en compagnie de ma femme, c’est toujours bien de toute façon !).
Merci également @iroenna pour cet excellent report. Je vois justement Witchorious lundi en ouverture de Monkey3 et j’ai hâte . En tout cas, tu fais assez peu de report sur le forum mais j’aime beaucoup ta plume, il y a un côté « storytelling » que j’adore !
Merci à tous les deux
Madball Rebellion tour 2025 avec cette année Speed et Guilt Trip notamment (l’an dernier on avait eu Scowl). Dommage, pas de date en France, seulement une à Courtrai pour les ch’ti à la limite
Merci pour cet excellent report !
Concernant la « timidité », je comprend ce que tu veux dire, je suis un peu pareil. Mais en concert, c’est différent. Je passe complètement au dessus de cette timidité car je me met à la place du groupe qui monte sur scène pour se dévoiler et communiquer via la musique. Ils doivent également ressentir ce genre d’appréhension (trac, timidité, peur,…) à ce moment là, et ça doit les aider de voir quand le public est proche de la scène. Donc je me met le plus proche possible pour leur apporter du soutient.
Merci à toi aussi @Mythrandil pour ton excellent report !
Et je te rejoint complètement, la présence de lumière des salles sur les premières parties est assez dommageable à l’expérience Live (même si ça fait des années que je n’ai pas fait un concert dans une grande salle).
Merci @Chab77
Monkey3 + Witchorious ça promet une excellente soirée !
Moi je vais voir Monkey3 à Massy demain soir, la bassiste de Wichorious m’a consolée de ne pas avoir pris ma place pour le 02/12 : Mars Red Sky en première partie ça devrait être bien aussi
@kenny_pecheur c’est un aspect des petites salles qui m’a prise de court. J’ai hésité à me forcer à me rapprocher pour soutenir, mais avoir un son moins bon et être moins à l’aise (déjà que j’étais encombrée avec tout mon barda^^), et il m’a fallu quelques minutes pour assumer profiter du concert sans chercher à compenser le comportement général. Un vrai dilemme !
Je me rassure en me disant que les « eye contact » avec le chanteur et les échanges après le set rattrapent un peu
Merci @Enufsed pour la découverte de Helga… et il faut que je prenne le temps de découvrir Oranssi Pazuzu, ce n’est pas la première fois que je vois passer ce nom !
En effet, comme tu dis, la qualité sonore pèse dans la balance. On s’est posé la question avec @Steppe pendant le Westill, savoir si on restait devant ou si on reculait un peu pour avoir un meilleur son, mais au final on a opté pour la proximité avec les groupes. Mais le choix n’est pas toujours simple en effet. Content que tu aies pu profiter du concert tout de même et que tu aies pu échanger avec le groupe après le concert !
On rigole mais ils ont quand même réussi à glisser High Vis, Lankum, LANDMVRKS et Kneecap dans leur prog chelou.
Jamais rien compris à leur programmation tellement elle est hétérogène.
Au westill, j’ai opté pour le milieu à 10/15m de la scène. Et j’ai trouvé le son plutôt bon
GAROROCK avec LANDMVRKS !!!
Premier nom du In Theatrum Denonium pour nos amis amateurs de capuches, de blast et de corpse paint
1ère annonce de ce nouvel acte d’In Theatrum Denonium, les allemands d’Imha Tarikat !
Le théâtre denaisien lèvera le rideau sur le Black Metal tantôt brutal et violent, tantôt mélodieux et envolé, mais toujours passionné et brûlant sorti de l’esprit torturé de son leader lyrique et musical d’origine turque, Kerem Yilmaz, aka Ruhsuz Cellât.
Fondé en 2015, à la tête de 3 albums qui ont chacun reçu leur lot d’éloges, le quatuor allemand écume les festivals et joue parmi d’autres très beaux noms de la scène BLack Metal, laissant son empreinte parmi les meilleurs events !
Rendez-vous le 22 mars 2025 pour l’ouverture de la Messe noire d’In Theatrum Denonium !!!
Je suis preneur d’un retour sur la tournée de Monkey3, j’hésite à prendre ma place à Wasquehal car je les ai vu cet été mais comme il s’agit d’un one night band alors pourquoi pas?
Je passe en coup de vent.
NeO le 5 novembre à Nantes : excellent encore.
Solstafir j etais à quelques mètres à droite de toi , à côté de la grande blonde qui prenait plein de photos.
J ai reconnu des têtes vues à Nantes et aux lunatiques.
Seul bémol de la soirée : ceux qui parlent pendant les concerts …
Helga j ai eu exactement le même ressenti, beaucoup apprécié.
Pazuzu c était vraiment particulier mais ils étaient bien dans leur truc. Étonnant et pas désagréable.
Pour Solstafir je suis par contre à l opposé, cela fait 10 ans que l on écoute mais premier live au top ! Couchés un peu tard mais ça en valait la peine.
Prochain live dans pas longtemps.